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J'ajoute que le résumé de Francky est impeccable.

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"Life's a bitch and then you meet one."

+ 10 000 évidemment.
Ah, et c'était pour ses..... 21 ans. *re-vomit*

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tu ferrais bien de t'y mettre à la rando, sinon tu vas finir au Cap d'Agde comme bouée tractée !

A ce niveau c'est même plus la débauche de moyen qu'est choquante, je pourrais me permettre de dépenser autant d'argent que jamais j'en ferai quoi que ce soit d'approchant.
Moi c'est la déliquescence intellectuelle que ça représente, la fête de l'idiotie la plus acre qui aime à croire qu'elle suscite l'adhésion qui me donne envie de meurtre.

Mais elle est passée ou la classe et l'éducation putain si même les aristos ont le niveau 205 GTi ?
Ce mec est le PDG d'Hachette, le premier éditeur de livre en France bande pour Loana et se vautre dans ses propres déjections David Guettaesques.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
This is such a mind fuck.

On s'est rencontré dans mon bureau parce qu'elle avait un travail à faire.


Je pense que c'est un sketch.

Ou pas.

*vomit toute sa bile*

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tu ferrais bien de t'y mettre à la rando, sinon tu vas finir au Cap d'Agde comme bouée tractée !

N'empêche qu'il s'était bien planté avec le Matra Racing.

*Bien fait*

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L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.

putain ça me rappelle quand je suis allé sur la tombe de Camus à Lourmarin, dans le Luberon.

j'étais en pleine crise littéraire et après avoir avalé l'anthologie des philosophes grecs et romains, je m'étais préparé pour mon BAC (qu'il est loin désormais ce niveau d'étude !!!) avec les grands auteurs français des quatre derniers siècles.

c'était en été et j'avais fais le chemin depuis Cucuron à pied, ayant besoin de cette marche intellectuelle pour rendre un hommage très personnel et duquel Albert Camus m'aurait sans doute beaucoup remercié je pense, grand connaisseur en valeurs fondamentales de l'être humain.

je marchais donc en lisant à voix haute l'Homme révolté, déclamant le texte avec un talent en harmonie avec ma personne ; je ressentais encore davantage la prose à travers ma peau.

il faisait beau, il faisait chaud, et pourtant j'avais tant de pertinence dans l'empathie que je portais à cette oeuvre que je distinguais presque des ombres et des lamentations de chaque côté de la route.

le bitume, dans mon illusion fusionnelle, entamait mes espadrilles abrasées et je me retrouvais bientôt à même le sol incandescent.

rien n'entamait ma transe et je cessait d'être un homme en acceptant d'être ce que je suis.

je quittait alors la route et coupais à travers les champs de vignes, puis d'oliviers. Les arbres se faisant plus denses, je m'accrochais aux épines lorsqu'une branche entremêlée me tomba sur le crâne.

Imperturbable j'ai persévéré dans ma course et arrivais bientôt au cimetière de Lourmarin, les vêtements de lin déchirés, tachés par le sang de mes égratignures crâniennes et les pieds décharnés mais vaillants.

Je trouvais la tombe rapidement, conforme à la description faite par beaucoup (et quelques années plus tard par Saint-Prolixe de le Forum), modeste et sans apparat.

Je fus alors saisis par toute l'ampleur du message de Camus comme s'il s'adressait à moi comme l'ayant compris et me mis à sangloter éperdument, touché par la reconnaissance d'un père spirituel.

la tombe d'Albert détourée :

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j'ai gardé le dessin d'un badaud qui m'avais croqué, ébloui par ma beauté et ma prestance :

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Livio is inside Me - We're Together - For Life - Keep the Peach

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Elle mesure 2 m, la compagne de Lagardère ou c'est lui qui est tout petit ?

une collègue qui s'immole en pleine cours

il est vrai qu'en cas de conflit avec un élève, il arrive que la direction calme le jeu pour éviter une confrontation avec les parents qui prennent position pour leur gamin sans se poser la question de la responsabilité de celui-ci

http://actu.orange.fr/une/une-enseignan ... 65868.html

et comme d'hab des messages à la con des internautes sur orange

Arf, les commentaires d'Orange c'est toujours un festival. Dimanche, ma mère perdait son temps et son énergie à répondre à certains d'entre eux au sujet des primaires. Tout y passait.

Je me permets cependant un petit hors-sujet, qui n'a rien à voir avec ce triste fait divers mais qui rejoint le compte-rendu de pèlerinage brillamment proposé par K : je me suis rendue, il y a de cela quelques semaines, sur la tombe de Jacques Brel (et sur celle de Gauguin, donc, puisque distante de quelques mètres seulement).

Le rapport des marquisiens aux chanteurs est tout simplement incroyable. Nul n'oublie ce qu'il a fait avec Jojo, son Beechcraft Twin Bonanza, apportant à une population alors quasiment autarcique vivres et courriers et réalisant plusieurs fois des voyages à caractère sanitaire ou social vers et depuis Papeete et les îles marquisiennes. Le musée qui y est consacré, dans le petit village d'Atuona où il vécut, n'est pas sans évoquer une sorte de quatrième dimension. Le principal intérêt du lieu est Jojo en lui-même, fièrement exposé au milieu d'un hangar, depuis lequel s'échappe la musique du Grand Jacques. Et là, au beau milieu du Pacifique Sud, on l'entend chanter ses titres les plus émouvants.

Nous sommes retournés sur sa tombe une 2ème fois. Il s'agissait pour moi d'un double pèlerinage (en Polynésie, sur les traces de mon défunt papa, et sur la tombe de Brel, qu'il s'était promis d'aller voir sans avoir eu le temps de le faire). Un français, rencontré sur place, nous a prêté son lecteur MP3. On a pu alors vivre un moment d'exception : écouter "Les Marquises", devant la tombe de son compositeur (elle aussi sommaire et chiche). Face à la mer qu'il aimait tant.

Je ne sais pas si Brel et mon père boivent un coup quelque part à l'heure qu'il est. Mais au moment de réunir leurs destins, je n'ai pas pu retenir mes larmes.

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J'aurais pas aimé être en cours avec cette prof.

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Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
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Tiens ça me rappelle ça :
Il y a environ une quarantaine d'années, je faisais une longue course à pied, sur des hauteurs absolument inconnues des touristes, dans cette très vieille région des Alpes qui pénètre en Provence [...] C'était, au moment où j'entrepris ma longue promenade dans ces déserts, des landes nues et monotones, vers 1200 à 1300 mètres d'altitude. Il n'y poussait que des lavandes sauvages.
Je traversais ce pays dans sa plus grande largeur et, après trois jours de marche, je me trouvais dans une désolation sans exemple. [...]
C'était un beau jour de juin avec grand soleil, mais sur ces terres sans abri et hautes dans le ciel, le vent soufflait avec une brutalité insupportable. Ses grondements dans les carcasses des maisons étaient ceux d'un fauve dérangé dans son repas...

Mais, Marie n'est pas prof !

En fait, si, ça m'arrive. J'ai donné des cours à des élèves de licence pro l'an passé, et à des élèves de DUT il y a quelques jours.

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Ne t'enflamme pas !