C'est parce que J'ai eu l'élégance de ne pas rebondir sur :
Citation:
il est "autorisé" de jouir de son bien comme on l'entend
Parce que ce qui est ici décrit se rapproche plus ou moins de "usus, fructus, abusus" que Je laisserais les mieux qualifiés que Moi en droit expliciter, néanmoins, ici ça ne s'applique pas comme ça, parce qu'avoir des droits sur les actions c'est pas tout à fait "faire ce qu'on veut de l'entreprise", parce qu'il faut respecter le droit des sociétés etc.
Et surtout, un club de foot, ça doit prendre en compte d'autres éléments puisqu'il s'agit d'une entreprise dont les "clients" peuvent tout autant se prétendre propriétaire ; même si cette propriété n'est pas patrimoniale, elle est symbolique et très très forte.
Ils étaient certes libres de changer de président (mais c'est marrant de le faire là et pas avant quand la porte était ouverte pour), certes libres de ne pas vouloir évoluer dans un monde en évolution constante alors qu'il était flagrant que ça allait crasher : on est toujours libre de mal gérer, d'arriver en disant vous allez voir ce que vous aller v... ah euh merde on est relégués. Et c'est bien, ça marche encore aujourd'hui.
Après, merci parce que ça Me donne l'idée d'adapter la théorie des deux corps du roi de Kantorowicz au domaine du foot pro, en dissociant la propriété juridique des actionnaires de la propriété symbolique des supporters. Va y avoir de la référence dans la prochaine WAMLEMISSION.