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Et que tous les poutinophiles aillent bien se faire cuire le cul.

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I need to be myself, I can't be no one else.

Et puis votre avis de commentateurs de canapés on s'en quart le cul.

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I need to be myself, I can't be no one else.

Ouais je suis très cul ce soir.

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I need to be myself, I can't be no one else.

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"I didn't like the idea you screwed my wife ! But I like even less that you want to screw me as well !!"

Je me pose des question sur la réelle pertinence de cette carte censée montrer l'avancée vers l'est de l'OTAN pour "légitimer" ou expliquer ou comprendre le sentiment d'agression ressenti par les russes.

Sur cette fameuse carte qui circulent pour expliquer pourquoi la Russie serait agressée par l'expansion de l'OTAN, on voit les membres de l'OTAN en 90 et ceux du Pacte de Varsovie. Après, on nous montre la carte des pays de l'OTAN "contre" la seule Russie.

On pourrait peut-être aussi d'abord regarder quels sont les pays qui "font progresser" l'OTAN vers l'est.
Et après se demander pourquoi ils n'étaient pas à l'OTAN avant 1990 et pourquoi ls ont rejoint cette alliance après.

Qu'est-ce qui peut motiver les états qui ont subi le joug de Moscou pendant des décennies à prendre des mesures une fois redevenu souverains pour se protéger du joug de Moscou ?

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Tel est mon bon plaisir.

[Tiens, je me permets de rebondir là-dessus en singeant les thèses des experts alarmistes exposées en 140 signes sur Tw.]
La question c'est aussi "Qui" peut motiver ces états ? Les cercles d'influences ? Les groupes pétroliers et gaziers ont massivement investi dans un lobbying de haute volée, ces 5 dernières années, pour convaincre les états de sécuriser leur modèle énergétique. FdM rappelait hier, avec un certain panache, que les états de l'Est avaient plus d'intérêts à défendre que d'alliés à trouver. Des intérêts qu'ils doivent avant tout sécuriser, donc. Mais sécuriser ne signifie pas forcément menacer… Au contraire, ça oblige les états à ménager la chèvre et le chou. Et si aujourd'hui on ne coupe pas le robinet financier aux Russes, c'est dans la crainte qu'ils barrent la route du gaz. D'un point de vue pratique, c'est par Swift que passent les transactions des sociétés européennes lorsqu'elles achètent du gaz ou du pétrole aux Ruskoïs. Bref, on nous promettait une série de mesures à l'encontre de Poutine hier, comme d'hab, on réalise aujourd'hui que c'est encore prématuré, comme d'hab.
C'est à se demander si le marché n'est pas plus raisonnable que le politique. *part en sifflotant*

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Alors Baliballon, quelle est votre analyse ?

Un bref historique bienvenu par le dessous des cartes :

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Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.

Mais j'ai rien dit !
Par contre il faudrait préciser à la censure, je ne pense pas non plus l'avoir écrit, que la famine de 1932, si elle a à la base une récolte en deçà ou bien en deçà des estimations ou des rendements habituels, cela n'a pas été du goût de Staline qui ne voyant rien ou pas assez rentrer , et au cas où "on" l'arnaquerait peut-être, demanda au Polit Bureau (du Parti) Ukrainien de chasser le moindre grain chez le moindre traître-saboteur-affameur-ennemi du peuple- .
On imagine bien qu'en cas de disette moins on engrange plus il réquisitionne.
Amenant les conséquences que tu énoncés : Des plus terribles aux enrôlements chez les nazis en 42.Qui , 10 ans après des millions de morts dont les zélés membres traîtres du Polit Ukrainien , un peu gênants avec un nombre de morts à 6 zéros, on s'en doute , ne se gêneront pas pour finir le travail et éradiquer tout judaïsme.
Elle était naturellement dure et est devenue idéologiquement (alors ne confondons pas un Polit local réticent et plié par un Josef ivre de contrôle pour finalement accomplir la tâche avec zèle et être récompensé par la mort pour traîtrise, pratique) insupportable.Le Parti, qui plus est non russe, plus que Staline était tenu pour responsable.Je pense que c'est l'inverse et que la dérive stalinienne seule et non une idée est coupable.
On comprend que Staline comptait sur cette récolte. Il n'avait qu'à la pondre, en tous cas ce n'est pas Staline qui récoltait les grains c'était le Parti, sur ordre, ça explique l'engagement nazi des ukrainiens.
Poutine veut l'Ukraine, il monte des gouvernements, il annexe a flotte de la mer du sud en 2014 , balancerait un peu partout des néo-nazis ( peut-être drogués) , institutions mise la corruption.Raide , il cligne des yeux c'est déjà bien.Il le veut, il se fait raccompagner ses TU-160 (01/17=nouveaux réacteurs pour augmenter de 1000km le rayon d'action , construction de nouveaux exemplaires et même la version civile, 01/21=Poutine est pressé, 01/22=C'est livré) qui pénètrent via le Channel jusqu'au Golfe de Gascogne, mais plus volontiers par l'Europe l'Angleterre et la Scandinavie, tous les 6 mois.Ils semblent chercher l'accès à l'océan Atlantique.Au bord de la Manche, bon par là rien de stratégique.À part les états baltes.L'Atlantique histoire de gratter.L'Alaska feront une bonne tête de pont.
En face, près qu'un branleur à côté de l'ex agent dompteur de tigroux.Au bilan de politique intérieur pas à la hauteur du score.Bon à sa décharge c'est complexe.Au point de voir ses soutiens réformateurs démissionner et appeler des pro-russes au gouvernement.Avec cautions? Aux postes non clés en cas de guerre sans doute histoire de donner le change.
La tactique guerre asymétrique/symétrique est la chose à faire, Poutine déteste les freluquets insoumis à SON autorité.Il y a eu aussi pas mal de morts dans les manifestations pro-européennes.
La planche est pourrie.Il va la brûler. Et crac, les anti-pro russes savent quoi faire pour un jour compter.
On est ici on est là. Il est là et lui aussi.Une fois éteint, tu peux être sûr que la dispersion aux 4 coins cardinaux augmentera la chance de se retrouver.
L'Onu , une delagation internationale , devrait envoyer des observateurs.
Les russes devraient se demander si ils veulent Poutine ou le droit de véto. Ce n'est pas celui de Poutine c'est celui de la Russie.Mais, isolé non pas dans son pays , mais physiquement et ayant peu de miroirs et critiques extérieures , il pourrait , au conditionnel, être sujet aux flagorneries des oligarcs qui attendent le moment de se battre pour avoir une chance de pouvoir.Ils devraient en nommer un et composer une chambre avec les autres.Un Polit Bureau...Poutine , vieux, moins sur ses gardes, sûr de lui et arrogant face à un branleur star de TV qui gouverne sur posture ce qui en temps de paix est une catastrophe, mais dans le contexte actuel est plutôt malin, s'est énerve et aura fait le coup de trop.
Bah , je l'ai toujours trouvé bizarre et inquiétant.À l'Élysée on en vient à demander à ceux qui l'ont rencontré comment il est en vrai.(hors champs ?). La riposte est déjà sur-mesure.Le sauvetage des vendeurs de gaz sont déjà dans les tuyaux.

ça dépend du critère, mais d'une certaine manière, oui : le marché chercher la stabilité et va agir de manière rationnelle. Si la politique était rationnelle, ça se saurait.

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Tel est mon bon plaisir.

Je ne m'inquiète pas, les Avengers vont nous sauver. Et n'oubliez pas de voter Skynet, pour un monde plus juste.

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Prions l'atome.

L'économie c'est la rationalisation de fluctuations hypothetiquements irrationnelles.
La politique se veut rationnelle , mais seule l'application. d'idées ( contradictoires entre elles se serait simple sinon, donc irrationnelles globalement) est concrètement rationelle, et ce dans l'idéal.
Bonjour migraine.
Bonne journée.
Les corses et les oranges.

une petite synthèse :
Le grenier de l'ogre russe après être une composante de territoires mer du Nord/Mer Noire tampon avec l'Europe, annexée par la Russie tsariste, les bolchéviques, et brièvement mais durement les nazis (cauchemars de l'Europe, base idéologique de mercenaires déstabilisateurs russes), eu après la chute du Mur de Berlin, l'indépendance.Comme un préalable à tout, car bien placé dans le classement en armement nucléaire, les U.S.A., veillent, avec la Russie, à ce que tout armement et vecteur nucléaire soit restitué ou détruit.Très vite, la Russie et surtout son dirigeant revient à revoir l'implication stratégique et comprend qu'en perdant sa zone d'influence son ennemi d'hier est à ses portes.On ne peut éviter que des États desoais souverains aillent voir dans l'ère post URSS , ailleurs.
Peu prompt at la détente, et avec des arguments stratégiques issus d'une vision auto-centrée, il est évident qu'un pays frontalier, dont la population épurée voit sa population "russe" passer de presque la moite à moins de 30%, sur la base du contrat formulé par le mandat des élections présidentielles ukrainiennes de 2019.Les parties frontalières annexées favorisant les destabilisations souvent corrolaires aux velléités anti-russes, exaspérant la population.
Dans ce contexte, le pays s'est vidé de sa substance, inconsciemment ou non, comprenant la psychologie de Poutine.Seul son contraire parfait le poussera à la faute et alertera la communauté internationalle et surtout européens et occidentale.(les contraires?: jeune/vieux ,Services secrets/Télévision, Inexpérience politique /expérience politique, seul le désaccord et le prénom là c'est le plus beau, le plus cristallisant,, est le point commun : le dossier parfait pour un recrutement.Refusant l'ex filtration, mais reste à authentifier la suite, la tactique est bien mûrement réfléchie. Reste l'adhésion de notre opinion publique, démocratique).
La stratégie est posée de part et d'autre et les propositions sont irréconciliables, les accords de Minsk sous l'égide de Merkel et Hollande sont un flop.Veto.Fini.On veut bien mais on peut pas.
La tactique fera la différence.Gouvernant sans programme , avec une volonté de fond d'éliminer la corruption mais peu de réformes fondatrices, le président concède aux pro-russes, tandis-que la Russie boude.L'ex président géorgien Saakachvili lui,rentrera quelques mois avant l'invasion en Géorgie à la veille d'élections, quittant la présidence du conseil de réformes ukrainien pour 8 ans de prisons assureés, garnies de ses opposants.Il avait pourtant l'art de la chose, la preuve.Le pays a eu depuis la possibilité de se tenir prêt pour de bon car c'était le moment.
Poutine en vieux renard goûte peu la nouvelle direction. ukrainienne qui a tiré les leçons des conflits armés, en particuliers américains, en comprenant qu'une armée régulière a peu de chances mais que la tactique asymétrique permet de gagner du temps.Brasser de l'air et se préparer.La corruption est trop ancrée il faut un électrochoc.
Il appellerait les russes à se débarrasser de Poutine , lui qui leur promet de les rendre forts.Au contraire, ils doivent prendre conscience que le veto leur appartient.Poutine l'emportera pas dans sa tombe, pour autant qu'il soit mortel.C'est leur seule chance.
L'Europe doit être subtile et nuancée. Mais ferme dans ses valeurs, qui peuvent se décliner universellement, face à la guerre.
Les ukrainiens viennent de lancer une grenade qui pètera en l'air, alertant le monde.Des soldats réguliers souvent en civils (Poutine appliquera la convention de Genève ? Ils ont l'air motivés, ils ne se rendront pas , pas maintenant) qui tiendront tant qu'ils pourront en attendant de l'aide, savent-ils que l'eurovision est en différé ? On ne les entend pas chanter l'hymne à la joie.Les nationalistes purs doivent ravaler leur fierté, l'Ukraine seule n'y arrivera pas, mais les russes ne l'auront pas.
Poutine fera pression en bloquant les frontières de la Roumanie pour empêcher tout ravitaillement par l'ouest.Monopolisant l'effort sur les négociations diplomatiques sur ce point, ayant le champ libre pour organiser à sa guise et appliquer à sa façon les autonomies.
La balle est dans le camp de l'Ouest.1) si rien n'est fait Ukraine et ukrainiens n'existent plus.2) Les aider risque de froisser la Russie, et les russes.
Et il faudra refaire une ligne de tension est-ouest.Mais de même que Poutine a ourdi l'annexion lentement mais lourdement, la Russie se retrouvera un jour sans lui , mais ses problèmes.
Gagner du temps,vite.Autant , au vu de la manière, revenir en arrière et autonomiser, au prix d'une tutelle de l'ONU, les zones réclamées.

Et flûte, je me relis je vois mon avatar, il est joli, je lis pas ce qui est écrit dessus d'habitude mais là le subconscient m'alerte.Je vais tricher aux cartes aujourd'hui, d'autant plus que l'accès à diplomatie.gouv.fr m'est refusé par Google, pour raisons de sécurité de connexion.

+1
Surtout que bon, le côté "les pauvres Russes qui sont attaqués par l'OTAN", ça va bien deux minutes. La Russie de Poutine est tout à fait capable de se défendre sur un plan économique (au hasard, en coupant les livraisons de gaz ?) plutôt que de réagir comme il y a un siècle. On est en 2022, les frontières héritées de l'histoire ne sont pas parfaites (euphémisme), mais le seul truc autorisé pour y toucher ça reste éventuellement la libre détermination des peuples, pas la loi du plus fort. Et l'autre règle c'est la défense de la démocratie, même imparfaite, face à la dictature, même torse nu.
Donc ceux qui viennent ici nous donner les mêmes leçons de géopolitique que Florian Philippot et Nathalie Artaud devraient quand même se poser quelques questions.

En effet, la base du problème est le non respect par Poutine de la souveraineté des États, mais aussi du droit de Veto au conseil de sécurité permanente de l'ONU.Tout autre pays autre que ceux-ci auraient déjà reculé depuis longtemps.
Il est acceptable dans le temps de concevoir une dialectique territoire/giron-ideologie normée dans le temps.
Poutine n'a pas d'excuse,dans la forme encore plus que le fond (même si ce dernier a moins de pour depuis quelques années, loin du plébiscite les russophiles subissent violemment la présence russe), comme le prouve le consensus mondial.(Quelques états pas voyou mais isolés conscentent ou soutiennent. Et encore certains risquent de se désolidariser si ça traîne).
Je sens Poutine marionnetisé par son entourage tel un président de l'URSS gaga afin de précipiter sa chute et utiliser le veto.
C'est cool un droit de veto.
Ça permet de bloquer plein de trucs, à commencer par la reconnaissances de crimes (au hasard famine de 1932 en Ukraine) , même si le régime est un peu différent, ça aide à la prise de conscience et interroge la morale du libre-arbitre.
Le problème si il n'en faut qu'un est redéfini en :" l'utilisation par Poutine du Veto russe à l'ONU".
Question : Qu'en advient-il, l'enjeu mérite de ne pas écarter l'hypothèse, en cas de guerre civile et de régime instable.La condition d'obtention étant , à la base, un régime assez fort pour gagner la II guerre Mondiale. Dans le cas contraire? L'ONU ne servirait pas ?."
Vous avez 3 heures. Tic Tac 1 seconde voilà c'est fini j'ai compté à partir de 4h trop tard de touts façons , j'envahi petit tigre tu es dompté.

Un autre soucis serait un agent russe élu massivement, cristallisant le sentiment anti-corruption et pro-européen, qui appelle le moment venu à combattre contre une armée rouge qui est supérieure.
1) ils résistent, font des prisonniers. Soit il faut les garder, et donc demande un nombre croissant de geôliers au détriment de combattants utiles sur les lignes de front.Pensons tactique.Soit il faudra un jour répondre de certaines choses.
2) Il ne peut y avoir génocide , au pire un envahissement certes cavalier, le dompteur fait marche arrière et repaie un beau parlement aux ukrainiens , les vrais seront morts cependant, obligés par leur président souverain. Le dompteur a compris,ça il respecte. Et a les mains preeesque à peu près propre.

La grenade atteint l'apogée. Le sniper attend les ordres.Il tire pour la faire péter en l'air ou elle tombe sur le sol pas encore complètement russe.Même si la proximité russe pourrait faire penser que la guerre restera conventionnelle, les fantassins réguliers pourraient être suppléés, si aucun oeil attentif observe, par les mercenaires russes (de type Wagnériens, mais les milices en place sont aussi déjà connues de longue date) engagés par des citoyens pro-russe aux abords de zones litigieuses à partir desquelles les excursions restent possibles, le Père de Toutes les Bombes reste une arme non-nucléaire redoutable.Et d'usage idéal.L'effet de blast décrit ici et là suggère l'emploi de bombes thermobarriques.Pour l'instant.

Après, les leçons de géopolitique de Philippot et Artaud (et des autres), c'est assez simple :
1 - Choisir un sujet, n'importe lequel
2 - Regarder la position des USA
3 - Etre contre (parce que)



- Mais voyons Jean-Pierre, c'est idiot comme approche, ça dépend des sujets, quand même ?
- Ah non

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Si vous voulez, Je fais déjà la réponse pour montrer qu'on n'est pas un cerveau captif :
1 - Choisir un sujet, n'importe lequel
2 - Regarder la position des USA
3 - Etre pour (parce que)

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Tel est mon bon plaisir.

C'est un tôlard qui aura peut-être pesé dans la décision américaine d'aider les ukrainiens.
https://www.washingtonpost.com/opinions ... n-ukraine/
Étonnant tout de même de quitter précipitemment la présidence du Conseil de Réforme Ukrainien pour son pays, à la veille d'élections, où l'attendaient 8 ans de prison, en octobre 2021 il y a 3 mois.Le confort d'élu vaut bien celui des prison géorgiennes , mais l'inverse...Un virus très virulent français se prétendant penseur-rappeur est aussi revenu, affrontant un procès pour violence peu après son retour. Il fréquentait certains de ses soldats ukrainiens, suisses et plus généralement de toute l'Europe.
Je reviendrai au besoin sur les signes précurseurs évidents.Et qui n'auraient pas échappé aux observateurs, pas dupes mais prompts à ne pas alerter l'opinion, afin de susciter une prise de conscience.À commencer par le cas du Tu-160 : souvent intercepté au large de notre Normandie, la prise en charge de sa chronologie par Poutine lui-même est éloquente.Ces vecteurs étaient basés en Ukraine, bien sûr. Évident, désormais, en hâtant la mise en service de ce bombardier lourd supersonique et sortant il y a à peine plus d'un mois le premier exemplaire de sa version renouvellée pour une autonomie accrue de 1000km.
Il. viennent souvent (nombre de journaux le rapportent : (google avion russe au dessus de la Manche).
J'avais déjà écrit la même chose ici : https://www.forumsmc.com/forum/viewtopi ... g#p1409731

https://www.google.com/amp/s/www.lavoix ... amp?espv=1

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Tupolev_Tu-160
le calendrier de mise en service de nouvelles versions, les dates de passages et d'escortes.

Saakachvili a raison : Poutine ne connait que le rapport de force.Et une frontière directe réchaufferait, même en cas de cesser le feu, l'intensité de contact de façon durable.Jusqu'au faux pas.Je pense aux pays baltes aussi.
Les guerres, dans un contexte bi-polarisé en blocs nationaux comme la guerre froide, étaient souvent délocalisées.(Afghanistan, Vietnam ...)
Ce n'est pas le cas aujourd'hui...
Il est question de la définition de la limite Russie/Ouest qui devient dramatiquement critique.
Si on ne fait rien on a donc un accès à l'escalade de façon durable et donner raison à ça pourrait résulter en une situation encore plus ingérable au prochain incident.Ou encore une annexion, sans réaction.
Les USA pourraient bien, et c'est aussi l'intérêt de l'UE car l'armée rouge voudra loger au pied des frontières de la Roumanie, afin d'obtenir des conditions favorables, le jeu du drapeau, faire parvenir un peu de logistique afin d'y sécuriser une tête de pont , voire un corridor qui pourrait être utile à des fins humanitaires aussi.
Imaginons que l'Ukraine gagne, c'est peu probable le coup d'éclat ukrainien fera gagner du temps , la Russie leur appartiendra, ou presque.
Après ils veulent être européens. Bien bien.
La Russie se gouvernerait mal par le Centre, qui est la tendance de l'UE et même des USA.Le Centre ou le barycentre, sorte de moyenne pondérée, pour autant qu'on puisse imaginer une somme d' axes gauche-droite issus d'une centrale d'inerties. A l'infini, dans une associations d'États, on tend vers le Centre.La Russie est vaste et contrastée et a besoin de gouvernements fédérateurs ou forts pour l'unité.
L'Ukraine se veut européenne, j'espère et je pressens de plus en plus que le maquis n'est pas improvisé et qu'il y en a qui ont fini par apprendre de leurs échecs depuis longtemps.
Mais des 2 bords le problème de frontière se traduit fatalement par des éléments nationalistes.De degrés divers.
Les russes ont cassé , avant 2014, les velléités pro-européennes à l'aide de ce type d'éléments. Il se murmure que le ministère dont dépend les armées russes sont liés aux Wagners, bras de la société qui emploie les Trolls qui manipuleraient certaines opinions sur les reseaux sociaux au moment des élections, payés au % de puits de gaz syrien repris aux intégristes, et qui naviguent entre Centrafrique et récemment le Mali.La France n'apprécie pas, par la voix de son Président.Les Wagners ne son pas tant nationalistes que prétendument néo-nazis (bourrage de crâne glavanisateur, idéologies slaves et pureté etc...).
Côté ukrainien des néo-nazis, parfois avec un élu au Parlement, sont utilisés , et composante de mouvement pro-européens paradoxalement, pour contenir les abords de Fédérations Autonomes et Mariupol, avec des financements publiquement affichés privés, et qui seraient ou plutôt sont très efficaces.Le vivier politique peut annoncer ne pas être xénophobe, antisémite mais soucieux de ses frontières et de sa nationalité. Le contexte n'est pas le nôtre.À quelqu'un qui se sert de syntaxe de haine, la syntaxe de haine débouchera sur un conflit.Sans haine, autre chose est possible.
Des éléments du Shaktar Donetsk, Dinamo Kiev aussi...
Depuis les événements de la Place Maïdan, EuroMaïdan en 2013-2014 il y a de fait dans la zone d'activité proche de la frontière russe une guerre.
Une vraie guerre.Avec de vraies troupes.
La corruption qui bloque tout (enchère puis surenchère) a élu au 3/4 de voix au 2nd tour (30% au 1er) un Président qui n'a pas finalement convaincu mais qui a l'air d'énerver Poutine, qui s'applique à rester inamovible et calme.Un contraire qui ne peut que s'attaquer à lui, de façon passive.Qui , en fait, va réussir là où il avait un handicap : il n'est pas de la politique, il est de la TV.Mais, face à la guerre, quand la politique est inutile, les médias sont utiles.Quand personne ne croit Itar-Tas, on est au courant.Et si c'était compris depuis longtemps? La comédie , une couverture idéale pour ceux qui savent déjà comment se servir des deux.
Je pense peu probable, vu l'embrigadement assez profond de néo-nazis de 2 bords qu'ils fraternisent lors d'une guerre et prennent le Kremlin, mais la nécessité de ne pas , non plus, laisser des troupes qui pourraient au final peser sur des conditions d'un cesser le feu, centrer le débat et injecter via les frontières de l'OTAN toutes les aides humanitaires, militaires et doctrinaires possibles afin de sauver les meubles.Le maire de Kiev est un boxeur respectable, la tactique asymétrique peut affaiblir Poutine, il faut alimenter le rapport de force.Le mal est déjà fait : quand tout un pays , ou presque, prend les armes dans ces circonstances, c'est soit que le plan est déjà ficelé, soit que le malheur est déjà derrière lui.
L'Ouest est un symbole de liberté (et de richesse on est pas Tartuffes) face à un Poutine flatté d'oligarques.Ils en connaissent déjà une poignée (cherchez foot ,TV, etc..) mais la stabilité politique non autocratique semble leur convenir.Les nationalistes ont les mêmes pôles que les nôtres, parfois justifié par les limites du territoire seulement et plus chrétiens que paiens..Leurs principes moraux s'y réfèreraient , potentiellement.Un milieu violent fait résonner ces pôles de façon violente.Poutine pourrait même y laisser sa veste.Je préconise un retour de Gorbatchev, ou du moins de quelques pragmatiques ayant connu l'URSS et gouverné un État indépendant à la suite de la chute de URSS, qui composeraient un gouvernement de transition afin d'avoir l'occasion de ne pas livrer, comme cela devrait se passer, la Russie au bébé tigre de Poutine ou un oligarque un peu plus dominant que les autres.
IIIWW.

P.S.: penser à se relire...merci bigdudu.