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Haha, download en cours. Je vais me chercher une bière à la cave.

Benoit Cauet, Esthète.

C'est exactement ce que j'en ai pensé. Mais qu'est-ce qui nous arrive?

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metal up your asses, fuck'n headbangers, the four horsemen are beginning a fourth decade!!

Un été de cinéma.
Entre autres choses vues ces deux derniers mois, je recommande vivement :
- La Isla Minima
- Vice Versa
- While We're Young
- Les secrets des autres
- La Nina de Fuego

Je reste dubitatif devant Tale of Tales et Dheepan.

Au rayon reprise, Les innocents (Jack Clayton) et Sorcerer (William Friedkin). (ci précède une phrase sans verbe incompréhensible. D'ailleurs, si y a pas de verbe, c'est pas une phrase n'est-ce pas?)

Je n'ai pas encore vu AntMan et le Mission Impossible.

Je confirme. J'ai vraiment bien aimé.

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

De retour de Deauville.
Ce que j'ai vu (en sélection) :
- James White : mouais…. Bon, le réalisateur kiffe son acteur qui est de chaque plan. J'ai trouvé ça anecdotique mais [url:http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/james-white-ou-le-difficile-apprentisssage-de-la-solitude-803125.html]d'autres le défendent[/url].
- Dixieland : j'ai déjà listé ici les quelques films des années passées qui abordent l'Amérique profonde, crasseuse et moite. Mud et Les Bêtes du sud sauvage sont les plus connus mais dans le genre, Summertime, Winter's Bone (déjà à Deauville je crois) ou plus récemment Jo avec un excellent Nicolas Cage. Et bien Dixieland est un peu comme ça.
D'ailleurs, si l'Amérique bien des laissés pourcompte bien white trash et violents vous ineteresse ne rater pas le doc de Werner Herzog, Into The Abyss.
- Jeremy Saulnier avait marqué les esprits avec Blue Ruins. Que dire de Green Room? je crois que je n'ai ressenti ces tensions qui vous tordent les boyaux que devant les films de Nicolas Winding Refn (surtout Only God Forgives).

J'ai vu hier Victoria. Le film allemand de 2h30 tourné en un seul plan séquence (c'est la mode).

Au final, c'est une performance, bien sûr, mais il a les défauts d'un film en plan séquence : des scènes inutiles ou inutilement longues, des problèmes de rythme, de cadrage, des flous, des tremblements... Ce film aurait pu être amputé au moins d'une bonne demi-heure, s'il avait bénéficié d'un montage ou d'une écriture plus précise.

D'après ce que j'ai lu c'est le film a été réussi à la troisième reprise.

C'est un plan séquence ?
*inculture*

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

C'est une seule scène tournée dans un plan long. Il y a quelques films connus dans ce cas comme Birdman récemment, constitué de quelques plans séquences montés de manière à ne voir quasiment aucune coupure dans le montage du film.
Ici, dans Victoria, il n'y a aucune coupe; les acteurs et le réalisateur ont fait leur 2h de film sans s'arrêter.

C'est le moment de citer "la corde" de hitchcock, non?

Si tu "montes" un plan-séquence ... ce' n'est plus un plan-séquence.

Plus précisément ça devient un plan-séquence numérique (Birdman, l'intro de Snake Eyes, celle de Lord of War), mais oui, c'est un "faux" plan-séquence.

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Berrichonne, ma cochonne, on te tamponne !

Aidant que les débuts de Casino et de La soif du mal.

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La scène d'ouverture de Boogie Nights…

PF fait son cinéma :

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