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C'est en ce moment au LUX.

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J'ai goûté une mangue. En Colombie. Après une heure et demi de balade à cheval.

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Berrichonne, ma cochonne, on te tamponne !

Moi, j'y suis allé plein d'enthousiasme.


Au bout de 15 minutes on était déjà plusieurs à vouloir se casser.


Bourré de références americano-ricaines incompréhensibles au commun des mortels Français, pas drôle, ennuyant à mourir, un propos politique très étrange...(enfin étrange je ne sais pas mais, encore une fois, difficilement appréhendable avec une grille de lecture culturelle, politique, Française). Des personnages absolument sans saveurs, sans nuances : des gros clichés ambulant. C'est mal joué, y'a du gros retournement de situation psychologico-philisophique de mes deux qu'on voit venir à 200 à l'heure gros comme une maison.


Désolé d'avoir l'air aussi acariâtre mais j'ai détesté comme ça ne m'arrive que très très rarement.



Sur le thème de la ségrégation sociale, spatiale, raciale etc et des préjugés qu'elles induisent un " intouchable " est un bijou de finesse et d'intelligence comparé à cette daube.

C'est dire.


Edit : pfouuu ça fait du bien.

Je te suis. Y'a bien quelques arguments et schémas interessants, néanmoins entourés d'une grosse bouse.

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J'ai goûté une mangue. En Colombie. Après une heure et demi de balade à cheval.

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I need to be myself, I can't be no one else.

Il fait du bien ce trailer. Je suis tout excité. "Espiègle comme un écolier"

Un homme idéal c'est bien.
Le début est tout pourri et la fin est très bien.

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I never forget a number. Names? In one ear and out the other. Places? Nope. Faces? That's rich. But, numbers? I have a gift. I guess that's why I'm an accountant.

J'ai trouvé ça plutôt scolaire. L'impression de voir un film déjà vu, dont on sait à peu de chose près ce qu'il va arriver, mais malgré tout bien filmé et bien joué.

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I need to be myself, I can't be no one else.

Dans le genre film intello en noir et blanc, j'ai vu Crosswind.
L'histoire vrai d'une estonienne, avec son enfant, qu'on a séparé de son mari et envoyé en Sibérie...

Tout le film est ainsi : une femme en voix off lit les lettres écrites au mari et quasiment tout est en 3D "estonienne" : les gens sont figés et la caméra se déplace entre eux... on voit même de temps en temps une personne cligner des yeux. Certainement pour montrer que le temps s'est arrêté en Sibérie, je pense. Bref, la forme est soignée, mais je me suis un peu emmerdifié.
Sinon, j'ai appris encore un truc sur l'URSS de Staline, qui mérite sa place au panthéon des pourritures de l'histoire. Mais ça, on le savait déjà.

Sinon, j'ai commis l'erreur de voir le film de Cornillac en pensant que ça serait sympatoche : une sorte comédie romantique façon mensonge et trahison. Eh bah non, c'est juste très convenu, avec des personnages caricaturaux et des situations pas drôles.

J'ai vu Crosswind aussi, bien vu la 3D estonienne !
J'ai trouvé ça bon et beau, vu que les séances de ciné sont devenues aussi rares que des sessions restau à plus de 50€ par personne je me suis pas emmerdé une seconde, néanmoins, dans des conditions de frustration moins critiques peut être que ça aurait été le cas.

J'ai résilié ma carte UGC, je vais truander en gardant ma carte inactive pour passer le contrôle avec des places obtenues avec la carte de ma compagne.
*comme un singe*

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
This is such a mind fuck.

Frustration de ne pas avoir une séance VO de Mad Max. Il arrive pourtant à l'UGC d'en proposer.

Je suis allé voir My Old Lady et c'est très bien.

J'aurais pensé te voir au Lux pour "La tête haute".

Alors Mad Max, c'est un incroyable trip cinématographique.
INCROYABLE.

un peu longuet par moment quand même, mais les effets spéciaux et la BO sont assez décoiffant !

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Le scandale du calendrier
Jean-Michel Aulas (Canal+) : "Ça avait commencé avec l'automne. Puis il y a eu l'hiver et puis il y a maintenant le printemps"