Landry a écrit:
Ce genre de recherche me semble totalement biaisée et assez fantaisiste, mais il faudrait la lire.
Les très intelligents vont à l'université. et donc picolent comme des trous, ce qui est de plus en plus fréquent aujourd'hui. Pendant ce temps-là les "stupides" sont encadrés dans des instituions, ou doivent aller trimer depuis tous jeunes... Il me semble qu'il y a un net déplacement en tous cas de la consommation d'alcool, c'est certain. Loin de l'image de l'Assommoir et de la misère sociale alcoolisée, on a aujourd'hui une inversion. Mais elle me semble plus "socio-culturelle" que directement liée à l'intelligence "pure". Je me risquerais aussi à l'hypothèse que les très intelligents sont beaucoup plus vulnérables aux phases dépressives et aux comportements à risque (selon l'adage, "heureux les simples d'esprit").
L'avenir du prolétariat et sa revanche par la sobriété et l'auto-destruction des classes dominantes. Ça ne manque pas de charme.
Je vois pas en quoi consiste un "encadrement des institutionsl, et surtout en quoi ca empeche les gens de picoler.
1/ Tu fais un lien entre intelligence et reussite sociale.
2/ c est evidemment bien connu que les gens qui ne reussissent pas de grandes etudes ne font pas la fete ou meme que l'echec social n'est pas facteur d'alcoolisme.
3/ il y a les vendéens et les manchois
4/ parce que lol
5/ c'est a la limite des theories deterministes.
6/ une fois de plus c'est tres limite.