C'est bien 4-0, le 5e devait être hors jeu, on regardait plus trop sur la fin.
Martin affirme que le premier quart d'heure était pas mal, j'arrive au stade, Malherbe touche le poteau, et encaisse le premier pion dans la foulée.
"Hier, t'es arrivé à D'Ornano à la 93e, non?" me demande notre webmaster.
Gros coup de mou, 2-0, puis 3-0, c'est plié en 10 minutes. Avant la pause, Malherbe touche la tranversale.
A noter l'énorme mouvement rennais sur le troisième but; 3 passes en une touche de balle dans le couloir droit, le tout en accélérant, et pour terminer une maîtresse ouverture dans l'axe vers l'attaquant lancé tel une Clio Estate 115Cv et qui trompera le joel caennais sans aucun souci.
A la pause, nous croisons Bannier et Caveglia, qui est donc bien salarié du club.
Retour des vestiaires, la maîtrise du ballon est caennaise, bien aidés par les rennais qui laissent venir, mais quand même. Nangis est meilleur à la télé que sur le terrain, il ne se fera remarquer que dans les dix dernières minutes, le reste du temps il se promène sans rien branler.
Le 4e but est l'aboutissement du premier contre rennais.
Le fait du match à la 80e, quand un milieu offensif caennais, un grand marqué 12 dans le dos, rentre dans la surface, perd le ballon et s'écroule en hurlant "Haaaaaaaaaaa" d'une voix de castra. Rires dans le public, Martin et moi même contemplons nos chaussures.
Bref une bonne raclée, mais sous le soleil cette année, on progresse.
|