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Forum des supporters du Stade Malherbe Caen
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Répondre en citant le message  MessagePosté: 19 Aoû 2006 17:35 
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Inscription: 25 Sep 2005 15:04
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Localisation: dans la niche de Le forum
Hier soir t'étais qd-même tout saoûl mon pascalou!!
T'as marqué?

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waf waf!


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 19 Aoû 2006 17:42 
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Bon c'est pas le sujet,mais j'etais pas du tout saoul,j'aime bien m'amuser;sinon je n'ai pas marqué,une passe décisive,jouait demi droit,car on est trop de gaucher,alors comme cela ne me géne pas et que ça marche....

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LET'S DANCE...


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 19 Aoû 2006 17:45 
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PUBLICITE : "Celui qui a un problème avec l'alcool, c'est Pascal."


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Localisation: Je suis là Den Boer et je te lâcherai pas
Ca me fait pas beaucoup rire

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Ma passion, les rats-trompette


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 20 Aoû 2006 13:20 
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Le résumé de France 3 : http://jt.france3.fr/regions/popup.php? ... o_number=1


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 20 Aoû 2006 13:24 
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Inscription: 31 Aoû 2005 22:06
Messages: 19380
Si vous préférez la version corse : http://jt.france3.fr/regions/popup.php? ... o_number=1

:lol:


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 20 Aoû 2006 14:51 
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A moitié vénère le Bernard :lol:


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 21 Aoû 2006 21:14 
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Inscription: 24 Avr 2006 18:40
Messages: 1574
:arrow:

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ah bah beh hein !


Dernière édition par @l1 le 28 Aoû 2006 15:28, édité 1 fois.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 22 Aoû 2006 00:24 
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Messages: 2387
moi aussi ca m'interesse les pages foot merci d'avance

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Champion MPG 24/25


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 28 Aoû 2006 15:11 
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Messages: 5147
Vu sur le forum grenat des CDF :

"A propos de Caen, d'ou et de pourquoi, j'entendais leur president a la radio vendredi : son ambition n'est pas simplement de remonter (ca, c'est le minimum), mais de finir la saison invaincu."

Il a vraiment dit ça, Fortin ?

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videosmc.raidghost.com


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 28 Aoû 2006 15:23 
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Messages: 1128
Localisation: Non loin de Tornado
Ce serait très fort de sa part. :lol:


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 29 Aoû 2006 12:11 
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Messages: 919
France Foot du jour :

Les notes (Le Havre-Caen) :

Planté 3
Hengbart 3
Thiam 3
Sorbon 3
Seube 4
Proment 4
Deroin 3
Gouffran 3
Florentin 3
Compan 3
Samson 3


Proment est dans l'équipe type:

Wimbée
Stinat-Rodriguez-Sikimic-Deroff
Jouffre-Proment-Obraniak-Periatambée
Begeorgi-Lesage


Un long entretien de Dumas, fort intéressant :

Dumas : « Le moteur de Caen, c'est le plaisir »

CONVICTIONS. Homme discret mais épanoui, l'entraîneur du Stade Malherbe se surprend à apprécier ce métier qu'il n'a embrassé qu'en 2005. Aussi parle-t-il de tout, de son équipe qui vise clairement la montée, de ses responsabilités, du passé, de l'avenir…


Reconverti barman à la brasserie du stade d'Ornano, son ancien coéquipier Jimmy Hébert vient d'apporter une tasse de café bien chaud. Ce n'est pas du luxe, Franck Dumas en a bien besoin. Les Caennais sont rentrés quelques heures plus tôt seulement de Reims, où un but de N'Zigou les a éliminés de la Coupe de la Ligue. Le coach s'est couché tard et a repensé au match dans la nuit, « comme toujours », Fichu job. Depuis qu'il l’a découvert, il y a un peu plus d'un an, il avoue, « dormir un peu moins » parce que ce métier, dit-il, ça te bouffe de l'intérieur ». Mais aujourd'hui, il ne l'échangerait pas contre son ancien boulot de manager général. Contaminé par le virus, l'ancien joueur marseillais et monégasque s'épanouit à guider sa troupe de « mecs formidables » vers la Ligue 1. D'où cet enthousiasme qu'il a accepte de partager, lui qui pourtant répugne souvent à se confier aux médias.

« Franck Dumas, aviez-vous prévu que Caen prendrait un aussi bon départ ?
Prévu, non, mais on l'envisageait, évidemment. A la reprise, j'ai retrouvé des joueurs encore plus ambitieux, sans états d'âme, en tout cas, beaucoup moins touchés qu'après notre descente de Ligue 1 la saison précédente. Ils avaient envie de reprendre très vite le Championnat. Ça fait plaisir, mais il faut pouvoir cultiver cet état d'esprit. Tout vient de l'investissement des joueurs. On en récolte les fruits. Forcément, on est ravi.

Votre effectif n'a pratiquement pas bougé. Pourquoi ?
C'était un souhait dès le départ. La priorité, c'était de garder tout le groupe pour m'appuyer sur ce que les joueurs avaient réussi la saison dernière, en faisant quelques retouches avec deux joueurs de qualité (Mazure et Proment). Forcément, c'est un avantage de continuer sur cette lancée car l'équipe a connu une belle série en fin de saison dernière, a produit beaucoup de jeu. Il y a eu de l'investissement de leur part. Du coup, on avait quelques certitudes avant de commencer la saison.

Lesquelles ?
La qualité du groupe, déjà. Il n'y a que des bons mecs, qui vivent très bien ensemble. C'était une des bases. De plus, ils ont beaucoup mûri depuis deux ans, vu toutes les difficultés qu'ils ont surmontées. La maturité, l'expérience arrivent. On est beaucoup plus calmes, aussi. L'amalgame a bien pris.

Lors de la préparation, déjà, il se dégageait de votre équipe une sorte de sérénité…
Même si on n'est jamais sûr de rien, on a trouvé dès le premier match amical une équipe pleine de conviction, avec des automatismes de la saison passée. Cet enchaînement s'est produit tout doucement, naturellement. On a laissé faire les choses, on a peaufiné, travaillé, et, même s'il reste encore beaucoup, beaucoup de matches, tout cela nous permet an moins de penser qu'on peut viser haut cette armée.

Quel est le moteur de votre équipe ?
Le plaisir. Moi je leur demande seulement de respecter une chose : le replacement défensif. On ne peut pas se permettre de défendre à quatre ou à cinq. Alors, tout le monde fait son boulot défensif. A partir de là, l'animation offensive est imaginative.

Cela signifie-t-il que vous leur laissez toute liberté dans l'animation ?
Elle est structurée à la base pour ressortir les ballons, avec des choses simples. Mais, après, je fais confiance à la qualité de mes joueurs, c'est ça qui fait la différence. Je ne suis pas là pour leur dire qu'il faut centrer comme cela, qu'il faut tirer comme cela. Non. Je ne m'en sens pas le droit.

Etiez-vous aussi zen lorsque rien ne marchait en début de saison dernière ?
L'année dernière, après quatre journées, on avait quatre défaites. A un moment donné, tu te demandes forcément si tu es dans le vrai. Je faisais jouer l'équipe d'une certaine façon, j'avais beaucoup fait tourner. Ça ne marchait pas. Alors, je me suis remis en question.

Qu'avez-vous changé ?
Ma gentillesse. J'ai joué avec pas mal de joueurs de l'effectif. Ils me connaissent. Je suis quelqu'un de très large, j'accepte beaucoup de choses. Alors, ç'a un peu débordé à certains moments. Je partais du principe qu'en étant proche des joueurs j'allais recevoir un peu plus de leur part. Mais, quand on a joué avec eux, c'est difficile de leur expliquer qu'ils ne vont pas être titulaires au prochain match. Vous ne pouvez pas toujours justifier vos choix parce que le joueur cherche d'abord à jouer, alors que l'entraîneur cherche un équilibre. En vérité, il faut être proche des gars, mais plus tranchant avec eux à certains moments.

Tranchant, cela veut dire montrer qui est le boss ?
Ça veut dire se faire entendre. Il ne faut pas aller trop loin non plus. Simplement, on doit s'en tenir à notre ligne de conduite. Le premier qui en sort, il s'écarte tout seul. Tous l'ont compris.

Comment vous y êtes-vous pris pour leur faire comprendre ce changement d'état d'esprit ?
A un moment, on leur a dit que, même si on changeait d'entraîneur toutes les semaines, ça ne servirait à rien sans investissement de leur part. Il fallait les responsabiliser beaucoup plus, ils attendaient trop de ma personne. C'était donnant-donnant. On a insisté sur cette idée, sur la vie de groupe aussi, car il y avait eu quelques problèmes en début de saison. On a tout remis en ordre. Les joueurs l’ont accepté, et, après, c'est leur qualité qui a parlé d'elle-même. Mais la première des décisions, la plus importante, c'était de me remettre en cause.

Durant cette période de réflexion, alors que Caen était dernier, avez-vous regretté d'avoir pris l'équipe ? Avez-vous pensé avoir entraîné trop vite, trop tôt ?
Je l'avais fait durant les quatre derniers matches de L1. A part à Istres, lors de la dernière joumée, ç'avait plutôt bien marché. Mais, au départ, il n'était pas prévu que je continue. En tant que directeur sportif, j'ai d'ailleurs rencontré pas mal de techniciens. Pour un tas de raisons, aucun n'est venu. A trois semaines de la reprise, il n'y avait personne. Les dirigeants m'ont alors demandé de reprendre l'équipe. J'ai réfléchi, je me suis dit que ç'avait bien marché quatre matches, alors je me suis lancé… Le décalage a été énorme, mais je n'ai jamais regretté.

Avez-vous douté, alors, d'être réellement fait pour ce métier ?
J'ai douté de mes qualités de meneur d'hommes. Je me pose encore la question, d'ailleurs, même si j'y prends goût. Je n'ai jamais pensé que j'étais fait pour cela, mais je me prends au jeu. C'est le côté humain qui m'attire, les relations. Partager les joies, les peines. J'essaie de faire comprendre aux joueurs qu'ils ont choisi ce métier parce que, quand ils étaient gamins, ils prenaient du plaisir à jouer au football et que je ne vois pas pourquoi ce serait différent aujourd'hui.

Est-ce facile de faire passer un tel discours quand, comme l'année dernière, on est dernier avec zéro point ?
J'ai passé un mois difficile en août dernier. J'avais vu le président, les joueurs, et je leur avais dit que, si c'était pour que cela continue comme ça, ce n'était plus la peine. Ce n'était plus moi la priorité, c'était Malherbe. Par chance, ç'a commencé à prendre en septembre et on est parti comme des avions, même si l'issue a été celle que l'on connaît (NDLR : Caen a terminé quatrième, dépassé par Lorient à la différence de buts).

Avez-vous beaucoup appris la saison dernière ?
J'ai encore un raisonnement d'ancien joueur qui me joue des tours, parfois. Mais, en cinq mois, j'ai compris beaucoup de choses. Le problème, c'est qu'il m'a fallu assimiler beaucoup plus vite que les entraîneurs qui ont plus d'expérience. Quand on a repris l'entraînement, après la descente, je pensais retrouver des mecs avec la gnac. Je me suis appuyé là-dessus alors qu'en fait le traumatisme était beaucoup plus grand. En tant que joueur, je n'avais pas connu de descente, c'est pour cela que je n'avais pas totalement mesuré l'impact que cela laisse dans les esprits. Pareil pour l'avant-dernière journée, à Brest, où on a fait un non-match alors qu'on pouvait encore monter. Si cela arrive de nouveau, je le sentirai plus rapidement et j'agirai sans doute beaucoup plus vite.

C'est ce qu'on appelle l'expérience ?
Aujourd'hui, j'ai plus de convictions. Je vois peut-être un peu mieux les choses. Il y a plus de calme, de recul, aussi. Autant j'étais excité l'année dernière, autant je le suis beaucoup moins cette saison. Certains joueurs m'ont reproché de trop crier, de les replacer du banc. Je les ai écoutés, d'autant que ça allait à l'inverse de ce que je pense, c'est-à-dire avoir confiance en l'équipe. Je n'ai pas une Playstation avec un joystick pour diriger les gars, alors, une fois que je suis sur le banc, c'est leur partie, c'est leur jeu, c'est leur équipe. A eux de la faire vivre.

N'est-ce pas un peu…
(Il coupe.) Frustrant ? Bien sûr que c'est frustrant ! Pour tous les coaches. Ce qui est jouissif, c'est d'avoir un schéma établi ou de choisir d'appuyer sur un point faible de l'adversaire et que ça fonctionne. Mais le reste du temps, t'es comme un con sur le côté. T’as envie de rentrer sur le terrain et de remonter l'équipe de dix mètres si elle joue trop bas. C'est là qu'il faut faire confiance à l'intelligence des joueurs, qu'il faut se souvenir qu'il y a des cadres dont c'est le rôle. C'est pour cela que c'est frustrant. Etre entraîneur, ça te bouffe de l'intérieur.

Pourquoi ?
Ça demande énormément d'énergie. C'est une remise en question permanente. On ne dort pas toujours bien. En fin de saison dernière, j'étais vidé. Même quand on gagne, c'est difficile. Dans ce métier, le plus terrible, c'est que, quand vous remportez une victoire, la première sensation, c'est le soulagement. Quand on est joueur, on est content. Quand on est entraîneur, on est soulagé. C'est bizarre. Le bonheur n'arrive que le lendemaim.

Avez-vous, un jour, ressenti une sorte de plénitude sur votre banc ?
Au Vélodrome, lors de mon premier match. Certains dirigeants marseillais m'avaient accueilli les bras ouverts, un petit sourire en coin. Ils pensaient nous mettre une trempe. Et, à l'arrivée, on a gagné (2-3). A dix minutes de la fin, on était à égalité et, au lieu de garder le résultat, j'ai appelé Cyrille Watier parce que, pour avoir une chance de se sauver, il fallait gagner. Je lui ai dit qu'il avait dix minutes pour en planter un. Il m'a répondu : « J'ai largement le temps. » Et il est allé marquer! Cette victoire, c'était une grosse sensation. Il y en a eu d'autres, mais, ce jour-là, j'avais vraiment la sensation d'être sur le terrain avec eux. J'ai pris un pied terrible !

Et au quotidien, est-ce le même sentiment ?
Je suis très heureux. Franchement, je me régale. En plus, quand vous dirigez ces mecs-là, vous ne pouvez que prendre votre pied.

Qu'est-ce qui se passera si Caen ne monte pas enfin de saison ?
On m'a fixé un objectif, c'est la Ll. Quand j'ai repris l'équipe, on a parlé de deux, voire trois ans pour remonter. Avec ce qu'on a montré la saison dernière, on peut se permettre d'être ambitieux. Si on n'y arrive pas, on verra bien. Je n'ai pas de contrat d'entraîneur. Je le répète, le plus important, ce n'est pas moi, c'est le club. Je ne tire pas de plans sur la comète.

Vous n'avez pas de plan de carrière ?
Oh non, non ! J'en suis très éloigné. Je ne suis pas loin de vivre au jour le jour. Je suis content de venir le
matin à l'entraînement, de m'asseoir sur le banc, ça ne va pas plus loin.

Cela vous surprend-il d'éprouver ce plaisir-là ?
Entraîneur, ça ne me disait rien. J'ai toujours pensé qu'il n'y avait pas de bons entraîneurs, mais plutôt de bonnes équipes. Que les équipes faisaient les entraîneurs.

Alors, vous pensez être un bon entraîneur ?
(Il sourit) J'ai une bonne équipe !

Vous préférez être entraîneur ou manager, le poste que vous occupiez avant de vous retrouver sur le banc ?
Je suis quand même plus un homme de terrain. Quand on a passé ses journées sur les pelouses depuis l'âge de quinze ans et que, d'un coup, on se retrouve un an dans un bureau, ce n'est pas facile. Ce n'était pas moi. Je ne dis pas que je le vivais mal, mais j'avais du mal à l'accepter. Heureusement, j'ai eu cette chance de revenir sur le terrain.

Entraîner une équipe comme Caen, favorite pour la montée, c'est excitant ou usant ?
Il faut assumer. Si on l'assimile bien, ça peut nous rendre plus fort d'être grand favori, même si je pense que Strasbourg et Metz ne seront pas loin.

Vous prônez une certaine qualité de jeu. Pourtant, le Caen de vos débuts misait tout sur l'engagement. D'où vient cette mue ?
A Venoix (l'ancien stade de Caen, où il a débuté), on jouait avec les moyens du bord, avec un impact physique sans doute largement supérieur à aujourd'hui. Ça ne nous a pas empêchés de disputer une Coupe d'Europe (en 1992). Moi, j'ai la chance d'avoir des joueurs très techniques. Si je les bride, je joue contre nature et ils vont s'emmerder. A terme, çà se retournerait contre moi. A un moment les joueurs se lassent parce qu'ils ne prennent pas de plaisir. Il leur faut de la liberté Il faut qu'ils s'amusent, qu'ils s'expriment, qu'ils jouent, défendent ensemble, attaquent ensemble. Ce n'est pas moi qui dois briller, c'est eux. Moi, je ne suis pas là pour me faire briller. »

ARNAUD TULIPIER.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 29 Aoû 2006 12:21 
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Inscription: 31 Aoû 2005 22:06
Messages: 2419
Localisation: Moniquarchie
Merci Jul 8)


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 29 Aoû 2006 12:47 
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Inscription: 31 Aoû 2005 22:06
Messages: 6927
Localisation: UL
Jul a écrit:
A dix minutes de la fin, on était à égalité et, au lieu de garder le résultat, j'ai appelé Cyrille Watier parce que, pour avoir une chance de se sauver, il fallait gagner. Je lui ai dit qu'il avait dix minutes pour en planter un. Il m'a répondu : « J'ai largement le temps. » Et il est allé marquer!


Mais la classe de tintin!!!


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 29 Aoû 2006 12:53 
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Inscription: 09 Nov 2005 01:09
Messages: 3434
Localisation: Paris,TX
bel interview de Francky... et beau mea culpa

il aurait pu évoquer sa lourde préparation d'avant-saison aussi qui n'avait pas arrangé les choses ...

cependant ce qui a "sauvé" malherbe c'est que Francky a toujours été un recruteur correct

Si en plus il devient un bon entraineur , c'est la Champions League dans les 3 ans






8)

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"Putain mais la non-beauté du forum."


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