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ampli-reglage de la vis de tension de surface de la grille d'une anode comme la phase bias, obligé en tension tout autant que comme mécaniques de transport-déroulement de bande

Et Eduardo Mendoza, vous vous le foutez au cul ? Oh ! Barcelone, quoi !
edith : et je précise que La ville des prodiges est absolument bien (karibou's touch), pas relativement (bob's loose).

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Dans la série roman historique, je recommande le premier opus de la série de Jean d'Aillon sur les aventures de Guilhem d'Ussel, chevalier troubadour : Marseille, 1198.

L'enquête est très bien ficelée, avec des rebondissements et de l'aventure, tout en croisant des personnages tels que Robin des Bois.

Un régal !

Ah ben merci bien. Je l'ai dégotté d'occase il y a peu. Cool !

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Premières pages de Karoo lues au restau ce soir, c'est prometteur!

Par contre j'ai pas trouvé la foire aux serpents ni le gang de la clé à molette chez wh smith, c'est bien une des rares fois que ça m'arrive Faudra les commander, je crois.

J'ai pris Absurdistan de Shteynghart pour compenser.

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Sans Pellegrino
"Southampton : Pellegrino limogé." (lequipe.fr)

Moi je suis maudit, dès que j'entre dans une librairie pour acheter un poche deux fois sur trois il n'y est pas.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
This is such a mind fuck.

C'ezst peut-etre parce qu'ils n existznt pas ! Ahahahah !!!

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Proute. Et j'assume.

Par contre, si tu veux une dizaine du dernier Lévy, pas de problème.

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Deux méchants coups de coeur récemment.

Sinaloa Story, de Barry Gifford (scénariste de Lost Highway) ; roman noir entre Texas et Mexique, avec putes, macs et conflits armés ; 200 p.
( )
Une pute va pousser un de ses clients, le méchant DelRay à dévaliser un mac texan pourri jusqu'à l'os et assis sur un tas d'or. Mais qui est cette pute, et pour qui/quoi sera ce fric ? C'est la clé de roman noir à la sauce épicée qui ouvrira une sacrée boîte de Pandore aux répercutions multiples, inattendues et durables. C'est méchant, c'est joyeux, ça dépayse et, cerise sur le gâteau, ça fait méchamment appel à l'intelligence du lecteur (ce qui n'est finalement pas si fréquent). Je mets le troisième coeur entre parenthèse parce que le procédé de fin, elliptique et nébuleux, n'est vraiment pas aisé à apprécier immédiatement. Par contre, d'une, les 90 premiers % du bouquin sont d'une rare qualité et fluidité, et quand on parvient à saisir toutes les implications de l'épilogue (et du prologue), c'est une sorte d'illumination. Pour lecteurs non passifs, un must have.

Joe, de Larry Brown ; roman noir du sud profond des US, où l'humanité de certains ne peut encaisser la dépravation absolue des péquenauds crasses ; 360 p.

Bon, là, c'est plus facile : c'est un vrai gros coup de coeur. Joe est vraiment un type attachant, même si c'est un tabasseur de flics, ex-taulard, et gros buveur de bière-bourbon-coke. Il s'attache vite aux bons gars, mais peut avoir la main très lourde pour les gros cons récidivistes. Il a appris à se maîtriser, on le sent, maintenant qu'il a atteint la maturité de sa quarantaine d'années, mais quelques coups de trop derrière la cravate font tomber les minces barrières que le plomb a érigé dans sa tête. On est dans les tréfonds de l'humain, là où la Société n'a que peu de prise, là où s'expriment les pires travers comme les preuves d'empathie les plus extrêmes. Voilà : un roman humain. La librairie Mollat trouve qu'il y a du Faulkner chez Brown. C'est tentant, en effet, et pas déconnant. Génial.
Je vais me trouver Fay, maintenant, histoire de continuer l'aventure avec un des personnages de ce livre.

Je me plonge maintenant dans l'Australie souterraine.

Edith a mis les liens, c'est mieux Edith.

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

A défaut de trouver un Harry Crews (n'importe lequel), tu peux prendre un Larry Brown (n'importe lequel).

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Je suis en train de lire le suivant : un poil moins bon pour l'instant, même si le fait que le personnage central soit Robin des Bois apporte un petit truc sympa.

Pour Serhat et autres turcophiles, une petite vision du futur de ce grand pays, bientôt en librairie : La maison des derviches, de Ian McDonald. 2ème volet d'une série de trois bouquins indépendants classés en SF, parce que parlant du futur, mais de toute évidence de grande qualité littéraire (cf mon avis sur le fabuleux Fleuve des Dieux, premier volet). Sortie le 11/10. Cyberabad days, le 3ème, sortira en 2013. A ne surtout pas manquer, évidemment.

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Pour les fans de la série The wire dont je suis, il faut lire Baltimore, de David Simon, un des deux créateurs de la série.
Bon, évidemment, il ne faut pas avoir peur du volume et du poids de la bête. Cale-tête pour la plage pourrait être une seconde vie pour ce livre. Une affaire.

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Je viens de finir "Le Japon n'existe pas" d'Alberto Torres Blandina, aux éditions Métaillié. En fait ce roman est une suite de petites histoires racontées par un vieux balayeur dans un aéroport.

C'es bien traduit, légèrement mélancolique, doucement barré.

C'est très agréable, et ça me permet de découvrir une maison d'édition manifestement spécialisée dans les auteurs hispaniques, je vais surement explorer plus avant leur catalogue.

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Caen, ville forte riche, spacieuse, belle de ses rivières, de ses prairies, de son port de mer ; elle se pare de tant d'églises, de maisons et d'habitants que c'est à peine si elle se reconnaît inférieure à Paris. GUILLAUME LE BRETON. Philippide, 1. VIII.

Je suis tombé sur Les mémoires de Louise Michel disponibles sur le site wikisource, pas encore eu le temps d'y jeter un oeil mais ça me semble une bonne idée pour les temps morts.

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