Cannavaro a écrit:
jarvis2 a écrit:
Abidbol a écrit:
N'empêche que Lavezzi, Pastore, Ibracadabra, ça peut être pas dégueu à voir jouer.
Peut-être.
Mais lire que le PSG est en train de construire le meilleur effectif de ligue 1 de l'histoire, c'est assez pénible. Déjà, sans remonter bien loin, le PSG des années 90 avait des joueurs de classe mondiale et autrement plus établis que les 3/4 prétendus stars qui ont signé depuis 1 ans (Rai était capitaine du Brésil, Ricardo et Valdo des valeurs sures de la selecao; Roche, Guérin, Lama, Le Guen, Fournier et Ginola formaient une demi-équipe de France et Weah allait devenir un des meilleurs attaquants du monde).
Qu'ils gagnent le championnat et ensuite on verra si ils atteignent la dimension du PSG du milieu des années 90, du Marseille des années Tapie, du Bordeaux des années 80, des Sainté et Nantes des années 70 et du grand Reims.
Bien que je ne les aimais pas, le Lyon des années 2000 devrait figurer dans tes équipes types il me semble
Ouais, mais non...
Le Lyon des années 2000 a beau posséder le plus grand palmarès de tous ces clubs sur une courte période, il me parait assez loin en terme de "valeur absolu" et finalement à part les coups francs de 40 mètres de Junhino et quelques jolis buts de Sonny Anderson, que retiendra-t-on de significatif de cette période ? Aulas a bien bossé, il a monté un groupe capable de s'accaparer le championnat à un moment ou celui-ci a atteint un niveau de médiocrité absolue.
Alors le Marseille de Papin, Waddle, Mozer, Abedi Pelé, etc... ; le Paris des années Canal mais même aussi celui de Fernandez, Bats et Susic; le Bordeaux de Claude Bez ( Trésor, Battiston, Tigana, Giresse et Lacombe) ; le Nantes de Jean Vincent et Suaudeau ( qui recruta le 2ème meilleur joueur argentin derrière Maradona en 86 en la personne de Jorge Burruchaga (c'est autre chose que Lavezzi) et qui forma une quantité impressionnante de joueurs et contribua à la période dorée du foot français des années 80 et 90 (citons Bossis, José Touré et Ayache puis ensuite Deschamps et Desailly) le Saint-Etienne presque champion d'Europe en 76; alors donc toutes ces équipes demeurent infiniment supérieurs au Lyon de Pierre Laigle et Gréogory Coupet (un gardien dont souligne assez peu le caractère insignifiant).
Je ne me permets pas d'avis sur eux mais je crois que le Nantes d'Arribas et le grand Reims (dont l'effectif formait l'ossature de l'équipe de France troisième du mondial suédois de 58) ne souffrent pas la comparaison avec les formations précédemment cités.