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Ah, tiens je vais me fendre d'un triple pour :
L'immense solitude. Avec Friedrich Nietzsche et Cesare Pavese orphelins sous le ciel de Turin.
Frederic Pajak. Editions noir sur blanc. Y a 312 pages et autant d'images.
C'était sorti en 99, mais ça vient d'être réédité.

Déjà les ingrédients sont parfaits. Nietzsche, Pavese et la plus chouette ville qui soit : Turin.
C'est donc une triple biographie de Pajak, Nietsche, Pavese lors de leurs vies dans la capitale du Piémont. C'est hybride : pas un roman, pas un essai, pas une bayday non plus.
Bref un ouvrage peu résumable, mais si Turin, Nietzsche ou Pavese vous intéressent, vous pouvez prendre.

Hop !

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Make Le Forum great again !

Sinon, bravo à toi pour le gros taf de critique que tu fais ici, comme d'hab.

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"930,352 people don't understand the significance of the number in this sentence."

Nietzsche et Turin, intéressant (je ne connais rien sur Pavese, c'est l'occasion). Merci !

Merci, c'est un vrai plaisir. Si je n'étais pas une burne en informatique et avec un peu de temps à perdre, je pense qu'un blog sur ce thème pourrait me plaire...
Mais ça encourage toujours d'avoir des réactions et surtout plein d'autres conseils comme celui d'Abidbol.
Bise

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Alors j'ai fini La horde de contrevent et
Bonjour.

D'ailleurs, je ne sais pas si tu as vu, mais sur le site Espritmalherbe, il y a un certain Caracole. Etrange...

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Il fait des critiques d'ouvrages traitant du Stade Malherbe ?

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Caen, ville forte riche, spacieuse, belle de ses rivières, de ses prairies, de son port de mer ; elle se pare de tant d'églises, de maisons et d'habitants que c'est à peine si elle se reconnaît inférieure à Paris. GUILLAUME LE BRETON. Philippide, 1. VIII.

Non, il fait des critiques de Leca, entre autre.

Sinon, suite de mes aventures romanesques.

Le mexicain, tout d'abord :
Les minutes noires, de Martin Solarès ; polar mexicain sur fond de corruption généralisée des forces de l'ordre et de la politique des 70's aux années 2000 ; 467 p;

Le meurtre d'un journaliste de nos jours dans la ville imaginaire de Paracuàn fait écho à une vieille affaire survenue dans les années 70 et salement "résolue" par une équipe de branquignoles aux basques du pouvoir. La percussion va faire mal, notamment à l'inspecteur chargé de l'affaire. Un type plutôt honnête qui a la malchance d'avoir un commissaire pourri jusqu'à la moelle, on va comprendre pourquoi. Un peu difficile à suivre parfois (c'est le seul défaut du bouquin), mais magistral dans l'écriture et dans les thèmes, c'est un vrai bon et grand roman qui manque le troisième coeur parce que parfois un poil trop elliptique (mais pour les gens intelligents, ça passe tout seul à mon avis). A noter que Martin Solarès, rencontré aux Quais du Polar à Lyon l'an dernier, est une crème de mexicain parlant parfaitement français. Il mérite donc d'autant plus qu'on se jette sur son excellent premier roman.

L'australien en suite :
Cinq matins de trop, de Kenneth Cook ; roman noir mais drôle d'une chute dans l'Outback australien, sauvage, impitoyable ; 215 p.

Alors là, magistral ! Considéré comme le chef d'oeuvre de l'Outback, ce qualificatif est ici amplement mérité. Je l'ai dévoré en une courte après-midi tellement ce roman est prenant. Tour à tour drôle et terrible, on assiste à l'effondrement absolu d'un homme de Sydney confronté, suite à une série de mauvais choix, aux affres de "l'Ouest" : les orgies de bière, l'horrible hospitalité très familière des locaux, le désoeuvrement intellectuel le plus absolu, la chasse aux 'roos... C'est à la fois spectaculaire et intimiste, désespéré et plein de tendresse. Une merveille.

Là, je suis dans le cubain. C'est bon et profond (uh uh).

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

L'écoute hebdomadaire de l’émission radio Place de la toile m'a permis de pointer pour vous et surtout pour en rajouter dans la discussion avec L'richos ce matin cet article intitulé L’ebook nous libère de tout ce qui est étranger au texte.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
This is such a mind fuck.

Je ne suis pas du tout contre le principe de l'ebook, il a beaucoup d'avantages (voir "Polotique locale" (!!)), mais il faut avouer que ça reste différent de le feuilleter et de feuilleter un livre de papier. Et il faut toujours acheter le contenu, qui reste cher. Et avec les fucking DRM (c'est ça le nom ?), accroche-toi pour le passer à des potes.

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

Si vous passez par Lyon, le dernier week-end de Mars, il ne faut pas rater ce rendez-vous incontournable du polar.
J'y serai sans doute dimanche (ou peut-être vendredi).

edith : y a aussi de la bayday, du théâtre... si les baydayphiles pouvait donner leur avis sur les invités et les nominés du prix...

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[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
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J'ai fini par lire La Horde du Contrevent moi aussi, j'ai beaucoup apprécié, il y a juste le personnage du Scribe, Sov, dont le style m'est insupportable qui intervient un peu trop souvent à mon gout mais sinon c'est très bon.
J'ai eu un peu l'impression d'une allégorie de la lutte des classe, d'un récit sur les ouvriers ou mineurs qui se vivraient dans l'effort insensé et abrutissant mais aussi dans une collectivité riche et forte. Une famille de damnés qui peut tout supporter pour peu qu'on ne les sépare pas.
C'est foutrement bien écrit mais un petit peu déstabilisant de se repérer dans cette multitude de voix, le système symbolique est bien vu mais faut être attentif pour arriver à tous les retenir vite, heureusement qu'il y a un marque page qui les récapitule.

D'ailleurs l’édition originale était vendue avec une BO en CD, il y en a qui ont écouté ? Ça donne quoi ?

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
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Inspiré ou plutôt tiré directement du comic Walking Dead, voici L'ascension du gouverneur, du même auteur.





Il s'agit du premier tome, je ne sais pas combien sont prévus.

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Proute. Et j'assume.

C'est un one shot à priori, j'entame le bouquin ce soir d'ailleurs.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
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Apparemment il s'agit d'une fausse trilogie : il y a 2 autres tomes de prévus, mais chacun traitera de l'histoire d'un perso différent.

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Proute. Et j'assume.