Willemot a écrit:
*Mode Kariboudry on*
Le gros problème avec Super8, c'est qu'au delà de son professionnalisme factuel, c'est qu'il n'y a pas ce qui caractérisait les productions spielbergienne des années 80 à savoir la "magie".
Le film souffre d'un syndrome Canada dry poussé à son paroxysme et n'en finit pas d'être une copie/hommage/épreuve d'artiste/pastiche qui a bien du mal à se trouver lui même face aux références qu'il tente scolairement de singer.
En bref, c'est bien le genre de film dont tu sors avec la triste impression de ne pas avoir assez mangé et que, tout en relativisant et en cherchant le sens de la vie, il n'y a pas de quoi chier par la pine.
*Mode Kariboudry off*
Alors là ce que t'appelle "magie" absente à mon avis c'est surtout que t'as changé d'age et de mentalité, le film tu le balances à un gosse de 9/10 ans il chie la magie par tout les pores.
Le film il se trouve tout à fait lui même mais dans la démarche rétrospective justement et dans le film amateur des gamins projeté à la fin.
Si ça te suffit pas c'est que t'es qu'un chien d'occidental gâté à qui il faut couper la tête.
De toute façon c'est un film d'ajacques pour les ajacques, mais comme les ajacques ne veulent que du vrai vintage il n'a affaire qu'à des ingrats.
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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
This is such a mind fuck.