Landry a écrit:
Marie a écrit:
J'avoue...
En revanche, j'aime bien tirer sur un joint (avis à la police de le forum) quand l'occasion se présente. Je redécouvre les joies de la douce hébétude, tout en me réjouissant de son côté occasionnel (et donc d'autant plus festif et agréable).
Je ne sais pas pour toi, mais moi je n'aurais, par exemple, jamais monté ma boite du temps où je tournais aux joints. (comme si une énorme chape de démotivation et de fausses excuses rendait cette perspective complètement inatteignable...). Sans compter qu'à terme, ce qui été censé me rendre zen et cool me rendait surtout parano et nerveuse.
Ben tout pareil, en tous points. ...
Bon, faudrait quand même arrêter d'être d'accord, ça va finir par être louche.
Plus sérieusement, je suis sûrement moins convaincue que toi, parce que j'ai trouvé l'arrêt très dur (sur la durée en fait, pas au début), et que je n'ai pas la certitude, en fonction de ce que me réserve la vie, de ne jamais plus être tentée par l'évasion (virtuelle, je te l'accorde) que me procurait la drogue.
J'ai vraiment aimé ça à la folie, je ne pense pas être un jour définitivement sevrée.
Faut devenir accroc à plus fort que ça encore. La paternité me semble pas mal, que ce soit d'un concept, un projet, ou de gnomes.