Intervention de Duchaussoy sur la DN justement :
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"Il y a un constat, mais ce n'est pas une réflexion, a ajouté M. Duchaussoy. C'est qu'on a plein de joueurs à la double nationalité chez les jeunes et qu'ensuite certains ne veulent pas aller en Equipe de France. C'est un choix, il faut l'assumer".
Pour Smerecki il est dit dans l'article de Mediapart
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Juste après la coupe du monde, de tels propos ont par exemple été proférés lors d'un colloque de la DTN à Ouistreham, en Normandie, qui s'est tenu du 18 au 21 juillet dernier. Ce qui a suscité l'indignation d'un tout petit nombre dans l'assistance. Seulement deux cadres de la DTN ont ainsi fait savoir leur désaccord avec une telle vision des choses, a rapporté à Mediapart l'un des officiels de la FFF présents.
Quelques semaines plus tard, à l'occasion d'une autre réunion au siège de la DTN, à Paris, Francis Smerecki, entraîneur des Bleus de moins de 20 ans, a lui aussi dénoncé des dérapages «discriminatoires» chez les dirigeants du foot français. En vain, manifestement. Contacté, M. Smerecki n'a pas donné suite à nos sollicitations.
Aujourd'hui dans n'importe quel article :
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Francis Smerecki, sélectionneur des moins de 20 ans, a également avancé les mêmes propos à l'AFP: "Il y a eu une réflexion sur le sujet. On s'est dit: +on forme des jeunes joueurs et certains ne veulent pas porter nos couleurs+".
Merelle hier soir sur RMC :
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André Merelle, l'ancien directeur de l'INF Clairefontaine, confirme lui sur RMC que la DTN a employé des méthodes suspectes pour diminuer le nombre de joueurs d'origine nord-africaine et subsaharienne dans les centres formation. « Oui, c'était sous la direction de Gérard Houllier. Il n'y avait pas de quotas à proprement parler, mais des réflexions sur le nombre de black et de beurs. Selon eux dont François Blaquart, il y en avait un trop grand nombre, enchaîne-t-il. Moi je ne comprenais pas pourquoi il y en avait trop par rapport à nos pauvres petits blancs. Mais il faut se rendre à l'évidence, les meilleurs étaient ceux qui étaient en banlieue. » En revanche, Henri Emile, le coordinateur de l'équipe de France, n'a pas caché sa surprise. « Laurent Blanc et l'ensemble des membres de la DTN peuvent être choqués par des jeunes internationaux qui vont ensuite dans un pays étranger, a-t-il réagi. Mais il n'y a jamais eu de réflexion négative avec des quotas. C'est impensable. »