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Sous contrat jusqu’en juin 2013, l’attaquant caennais Youssef El Arabi suscite l’intérêt de plusieurs clubs français et étrangers. L’international marocain dispose d’un bon de sortie pour l’été prochain.
Auteur de quinze buts cette saison en championnat, l’attaquant caennais Youssef El Arabi a émis le souhait de migrer sous d’autres cieux l’été prochain. Et ceci malgré un contrat qui court jusqu’en juin 2013. L’international marocain a fait part de son choix à ses dirigeants qui espèrent officiellement récupérer aux alentours de dix millions d’euros de sa vente. Son départ est programmé, le SM Caen ayant déjà formulé une proposition de contrat de trois ans à l’Uruguayen Sebastian Ribas (23 ans, Dijon), qui réserve toutefois sa réponse.
Selon nos informations, Youssef El Arabi figure notamment sur les tablettes de Marseille (son club de cœur), du Paris Saint-Germain et même de Lyon, qui sont tous venus concrètement aux nouvelles au cours des dernières semaines. Même si le dossier n’est pas forcément des plus lisibles… Mais le Caennais se verrait davantage rejoindre un club dit intermédiaire après une seule saison parmi l’élite. Après avoir tenté en vain une première approche lors du dernier Mercato, Bordeaux est toujours sur le coup, le club du président Jean-Louis Triaud n’ayant pas l’intention de lever l’option d’achat assortie au prêt du Brésilien André (20 ans, Dynamo Kiev), notamment pour des questions de comportement.
Mais Lille est aussi sur les rangs (ndlr : son coéquipier Romain Hamouma est aussi suivi par le LOSC). Histoire de compenser le départ de Pierre-Alain Frau (30 ans) qui ne sera pas conservé à l’issue de son contrat qui expire l’été prochain (l’Olympiakos Le Pirée l’a récemment supervisé). A l’étranger, Hoffenheim, le FC Séville - qui privilégie néanmoins la piste menant à Kevin Gameiro - et quelques clubs anglais sont également sur les rangs. Mais Youssef El Arabi penche davantage pour une nouvelle expérience en France. Pas question de griller les étapes.
Club de coeur, ca m'a toujours fait marrer cette expression avec les footeux...
Pas touche à Hamouma