Pour continuer sur le sujet domicile / exterieur, voici un article de OF paru juste après notre victoire à Bordeaux !
Si bon à l'extérieur, si faible à domicile...
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Cinq exemples à suivre
Cette réflexion concerne d'abord Valenciennes, hôte samedi. Mais cette faiblesse à domicile est-elle vraiment rédhibitoire dans la course au maintien ? Sur les 5 dernières saisons de L1, les 3 plus mauvaises équipes à la maison n'ont pas toutes été reléguées au printemps. A part en 2006, où le trio des condamnés Ajaccio - Strasbourg - Metz était aussi celui des cancres à domicile, au moins une équipe mal en point dans son antre a pu se sauver chaque année.
En 2007, le PSG, 18e à domicile avec 7 défaites et 5 nuls, avait compensé loin du Parc pour accrocher une 15e place finale. En 2008, au tour de Sochaux, dans le dur à Bonal (3 victoires, 9 nuls, 7 défaites) mais auteur de 7 succès et 5 nuls en voyage, 14e sur la ligne d'arrivée.
Idem pour Lorient et Le Mans en 2009 : les Merlus, 18e plus mauvaise équipe à domicile avec 7 défaites et 7 nuls, avaient grappillé 5 victoires et 8 nuls loin du Moustoir pour terminer le championnat en 10e position. Défait 9 fois à Léon-Bollée, Le Mans s'était aussi sauvé en accrochant la 16e place. En 2010, Nancy avait égaré 35 points sur 57 à Marcel-Picot, mais avait fini 12e grâce à 7 victoires et 5 nuls en déplacement !
Ces stats entretiennent l'espoir, mais Malherbe ne peut pas oublier que les équipes précitées demeurent des exceptions. Depuis 2005, sur 15 équipes condamnées en fin de saison, 10 figuraient aussi dans le trio des plus mauvais élèves de L1 à domicile.