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Merci bien !!

Amoureux du cinéma populaire voici mes choix pour 2010

Film de l'année : Inception

Meilleurs films français :
- Elle s'appelait Sarah
- Les petits mouchoirs
- A bout portant
- Le nom des gens
- De vrais mensonges

Meilleurs films étranger :
- I Love You Philips Morris
- The Ghost Writer
- Kick-Ass
- Robin des bois
- The Social Network

Meilleurs Films d'horreur/Fantastique :
- Esther
- Daybreakers

Meileur film d'animation : Raiponce

Films chiants ou raté de l'année :
- Freddy
- Twilight - chapitre 3 : hésitation
- Le café du pont
- Donant donant
- Il reste du Jambon?
- Splice
- Des Hommes et des dieux

Palmes d'or des navets de l'année :
- Blindés
- Camping 2

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"C’est votre attitude et non vos aptitudes qui détermine votre altitude."

Déjà, je trouve ça "Je savais avant même que ça sorte que La rafle allait être un téléfilm France 2 à gros budget qui tirerait des larmes autour d'un des évènement les plus ignobles de l'histoire de France." plus recevable que "grosse merde". La véritable question n'est-elle pas : "A-t-on le droit de faire des films, autre que documentaire (voire...) sur la Shoah ou autres sujets aussi sensibles ?" Pendant longtemps, les films sur la guerre "à grand public" étaient essentiellement des comédies comme La vache et le prisonnier ou La grande vadrouille pour ne citer que les meilleures (car il y en a eu de bien gratinées). Vouloir sensibiliser un large public sur un sujet comme la rafle du Vel'd'hiv' sans risquer un côté racoleur est une gageure et, sans avoir vu le film mais seulement les bandes-annonces et lu certaines critiques, on peut effectivement penser que " La rafle" n'est qu'un tire-larmes. Pour l'avoir vu, j'estime que c'est bien mieux que cela. Ce n'est pas "monsieur Klein", certes, mais bien mieux que "Les petits mouchoirs".

Un film devrait se soucier comme d'une guigne de sensibiliser qui que ce soit à quoi que ce soit, la tv joue déjà fort bien son office dans le rôle de l'outil de propagande.
On peut faire des films sur tout et dans tout les registres, la seule condition qui devrait être sine qua non c'est qu'il soit de qualité.
Si le film est bon il peut parler d'un génocide ou du fromage de chèvre peu importe.
Si d'emblée son but est de sensibiliser les gens alors il a 2 chances sur trois d'être une daube.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
This is such a mind fuck.

Pffff, mieux que ls petits mouchoirs... Tout ça parce qu'il n'y a qu'un mort.

*Willemot, termine son année *

Au lieu de faire le malin, on attend ta propre liste !

Je précise ma pensée.
J'ai été affligé par la sortie en grande pompe du film à coup de soirée spéciale sur France 2 avec témoignages/reconstitution/sentiments des acteurs. Ensuite, je ne juge pas un film au regard de son utilité sociale ou encore de la gravité de son thème. Qu'il soit très bien pour des scolaires, je n'en doute pas une seconde. Au delà des critiques affligées sur la qualité du film, c'est bien plus son packaging qui m'a découragé.

Reçu 5/5.

T'façon, Titanic c'est de la merde.

Yann, bonne année.

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"930,352 people don't understand the significance of the number in this sentence."

Merci de l'info, nous n'avons plus qu'à nous précipiter dans le cinéma danois le plus proche.

Vous êtes trop des geek du cinéma !

Moi j'ai été voir 3 films je crois :
Robin des bois, j'ai trouvé ça pourri
Inception, j'ai beaucoup aimé
Harry Potter est bien, mais il faut avoir lu le livre pour s'en rendre compte. Si tu ne l'as pas lu, tu te fera chier pendant tout le film.

Sinon au pas ciné, j'ai vu Invictus, j'ai bien aimé et la Ralfe, film intéressant mais peu divertissant.

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http://hion.skyblog.com

Pour inception, je ne suis pas sur d'avoir tout compris mais c'est intriguant comme film.

Finalement, il rêve toujours à la fin ou pas?

- Infectés: Film hollywoodien déguisé en indépendant.
- The crazies: Remake de film indépendant par hollywoodien.
- Robin des bois: Génère son propre oubli.
- Prince of Persia: Voir Robin des bois.
- Predators: Get direct to the choppa.
- Le livre d'Eli: Donne des envies de meurtres en milieu gémellité.
- Wolfman: Donne des envies de meurtres tout court.
- L'élite de Brooklyn: Regardable après les bouses sus-nommées.
- Le choc des titans: Le répit a été court.
- Kick ass: Grand film malade.
- Machette: Un nouveau Rodriguez (voir au dessus)
- Les moissons du ciel: En tremble encore.
- Piranhas: Joe Dante reviens!
- Les invités de mon père: A eut un sommeil correct après.
- Adèle Blansec: Met encore de hémostatique sous les paupières, les oreilles et le bon gout.
- Les petits mouchoirs: Une grande serpillière.
- Shutter Island: N'est pas Polanski qui veut.
- Iron man 2: Cahier des charges Ranu? C'est ok Leguennec, l'objectif client est le même.
- Expendables: Syndrome de la déception totale au lit.
- The social network: Remarquablement écrit, joué et mis en scène. Va se générer un syndrome Almost falous avec le temps.
- Agora: Un péplum sur une une femme qui fait des maths à Alexandrie réalisé par un espagnol par une co-production maltaise.
- Sherlock holmes: Pas si nul dans decomplexion. Fait un rot comme un bon coca.
- The ghost writer: Plus une leçon de mise en scène qu'un grand film. Mais quelle leçon.
- Soul kitchen: Ach tachant.
- L'arnacoeur: Première comédie française branque mais valable.
- Inception: Il manque Roger Moore dans la troisième partie de ce scoubidou.

EDIT: va mettre à jour dès que les films lui reviennent.

Bon j'ai vu "Caen vu par... ses réalisateurs". C'est assez inégal mais demeure de très bonne facture. On peut en effet regretter le format de 14 films en 2h15.
Je suis tout de même super content que ce(s) film(s) existe(nt). C'est symptomatique d'un certain dynamisme culturel local tout à fait singulier et agréable pour une ville de cette taille.
Au delà, je remarque que Yannick Lecoeur et Thomas Lesourd ont un style, une manière, des plus identifiables et j'ai beaucoup apprécié leurs court-métrages.

Sinon, vendredi prochain, au lux, il y a une soirée La Passion Soprano / Rencontre avec E. Burdeau.

On sait pas.

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« Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons. »
Влади́мир Ильи́ч Улья́нов
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