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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 13:56 
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Pas d'accord! Film sympa avec une N.Portman toujours aussi mignone. Mais comme je l'ai dis les goût au cinéma ça ne se discute pas, c'est pour ça que j'évite de dire film de merde comme si le fait que je trouve un film pourri induit que forcement tout le monde le trouve pourri et que celui qui le trouve bien est un con.

La preuve je respecte les fans de Steven Seagal c'est pour dire!


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 14:02 
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V for vendetta faut le lire bande de sagouins !!!!

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cabask a écrit:
ça montre aussi à quel point la forme a pris le fond sur la forme.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 14:09 
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Bah si ça se discute le cinoche.
Je dis film de merde (site de merde), parce que ce film me prend pour un con.
Des poncifs orwellien éculés, une morale que je réprouve, des scènes de bagarre d'un grand ennui.

Je sais pas si j'ai lu la bd. ça me dit quelque chose.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 14:11 
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Stoi l'éculé !

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 14:11 
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par contre j'aime bien ton avatar, dommage qu'il soit si sombre!


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 14:12 
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4psy a écrit:
J'viens d'aller voir ce film et j'ai vraiment bien aimé.
Donc si vous avez l'occasion d'aller au ciné un de ces jours, je trouve que ça vaut le coup d'y aller, ça change un peu de ce qu'on est habitué à voir.

Allez dans vous faire une idée avec les trailers du site off.


Abidbol a écrit:
HS dans ce dialogue :
Si vous voulez voir un film de merde, allez voir "V pour Vendetta". Natza du forum est du même avis que moi. Mais c'est vraiment un film de daube.


J'ai posté ça hier soir en rentrant de la séance... donc pas d'accord non plus.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 14:35 
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Bon allez finalement je vais aller voir OSS117, je vous tient au courant.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 17:06 
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http://www.uipfrance.com/sites/zidane/ba.html

Franchement, chuis pas non plus sur que ce sera génial.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 17:47 
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Franchement OSS117 il est pas mal, je l'avais vu en avant première la semaine dernière.

Tellement mieux que Brice mais bon c'est encore loin d'un Austin Powers ...

Je conseil surtout en ce moment : /


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 17:53 
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Critique de CREEP avec laquelle je suis entierement d'accord :

"CREEP
(CREEP)
UK - 2004 - 85 minutes
Réalisé par : Christopher Smith
Producteur : Dan Films/Zero West
Scénario : Christopher Smith
Photo : Danny Cohen
Musique : The Insects
Effets spéciaux :
Avec : Franka Potente, Vas Blackwood, Jeremy Sheffield, Sean Harris, Kelly Scott

Critique de film par Argento, le 11.05.2005

Disons-le d’emblée, le premier long-métrage de l’anglais Christopher Smith est une véritable réussite tant au niveau de son ambiance visuelle (photographie monochromatique du plus bel effet) et sonore que de sa structure narrative faisant fi de toute sous-intrigue déplacée ou de détails superflus. Car si le pitch (basique) du film n’explose jamais les limites de l’originalité, c’est sa construction scénaristique qui confère à Creep toute sa substantifique moelle. Rien d’original me direz-vous à la vision d’un énième survival glauque et craspec dominé par une créature sanguinaire et sans pitié défouraillant à tour de bras l’intégralité du casting. Sauf que ce survival là refuse d’adopter les gimmicks inhérents au sous-genre, qui, par exemple, préfère aux décors champêtres éloignés de toute civilisation (ne servant généralement qu’à justifier l’absence d’échappatoire pour les protagonistes), un cadre beaucoup plus citadin (en l’occurrence le métro et les égouts de Londres), qui se révèlera être en parfaite adéquation avec les faits relatés servant à merveille un propos bien plus réfléchi qu’il ne pourrait y paraître au premier abord. Un exemple parmi tant d’autres, faisant de Creep un film réellement rafraîchissant comme nous le verrons par la suite.



Christopher Smith (également au scénario) décide de scinder son récit en trois actes distincts, facilement identifiables car utilisant chacun un (ou plusieurs) points de vue différents. Ainsi, la première partie du film nous dévoile les pérégrinations de Kate (Franka Potente), quittant une soirée chic pour rencontrer George Clooney en visite dans la capitale (sic), mais ratant l’opportunité en s’effondrant lamentablement sur le quai du métro, sous l’emprise de la fatigue et de l’alcool. A son réveil, la rame est déserte, les grilles sont fermées, Kate est piégée. La mise en scène de Christopher Smith, parfois très proche du documentaire (caméra portée, gros plans) renforce très bien la sensation de claustrophobie latente et indispensable pour amorcer un début de tension. Une tension parfois laissée en arrière-plan mais pourtant bien présente (la musique atmosphérique n’y est pas pour rien) animée de quelques éclairs totalement fulgurants, comme cette rencontre avec un inconnu dans un wagon dont les lumières se sont brusquement éteintes… La multiplication des plans en caméra subjective (du point de vue de Kate, bien sûr) rapproche irrémédiablement le spectateur de ce personnage (et demeurant banal et ne se démarquant donc pas du reste de la population), renforçant un peu plus le potentiel horrifique d’une telle situation de crise. Mais le réalisateur, en bon calculateur, joue d’une pierre deux coups ; car si ses partis-pris techniques servent avant tout à construire un réel pouvoir d’identification avec le spectateur, ils ont également été choisis afin d’appeler de façon définitive les évènements du deuxième acte, par l’intermédiaire d’une scène-charnière puissante, confrontant pour la première fois Kate à son ennemi d’une nuit, Craig, intrinsèquement apte à l’établissement logique de la liaison entre la première et la seconde partie.

Une seconde partie toute entière dévoilée selon le point de vue de Craig, créature humanoïde difforme, portant clairement la misère, la douleur et la tristesse sur lui. Reclus dans ce monde souterrain, Craig se rattache du mieux qu’il peut à la vie, parfois dans ses plus extrêmes retranchements (le meurtre comme ultime recours à la survie). A l’image du face à face abrupt dont il est question plus haut, la caméra de Christopher Smith ne détourne jamais le regard sur la vie de Craig. Adepte du fétichisme du corps (les fœtus en bocaux très « Guillermo Del Toro » viennent ici nous le rappeler), celui-ci mime une vie hors de sa portée mais néanmoins résiduelle de sa vie passée (la séquence de l’avortement à la tension palpable – la meilleure scène du film – où le personnage se lave les mains sans eaux et anesthésie la « patiente » sans gaz), trouvant un admirable écho dans ce gros plan sur une poupée-automate effectuant quelques mouvements saccadés avant de s’arrêter dans un dernier soubresaut. Une séquence par ailleurs très référentielle aux gialli italiens, tant dans l’utilisation de la poupée (véritable emblème du genre) que dans son incroyable photographie à dominante jaune (giallo en italien…). D’ailleurs, les nombreuses séquences de meurtres (Ô joie, le gore qui éclabousse) sont directement empruntées aux méthodes expéditives des tueurs gantés de noir que nous affectionnons tant et toujours, commis à l’aide d’armes blanches. Un véritable hommage en quelque sorte… Le culte du corps si cher au cinéma italien se fait clairement ressentir, à l’image d’un Craig attentionné et protecteur envers la fameuse victime de l’avortement forcé (hallucinante prestation d’un Sean Harris totalement habité). Les caresses voulues comme rassurantes provoquent le dégoût (les mains de Craig – et, in extenso, l’intégralité de son corps – semblent avoir atteint le premier stade de putréfaction), les câlins et paroles sensés être apaisants deviennent tétanisant, tant Craig a physiquement perdu ce qui le rapprochait de l’humain. La grande force du deuxième acte est finalement de parvenir à faire ressentir à l’assistance de la pitié pour ce personnage atypique, seule réelle victime de sa condition, n’ayant jamais connu aucune autre vie que cette existence avant tout basée sur la violence et la solitude.



Ce découpage très net prend au final tout son sens dans une dernière partie jouissive nous montrant le véritable face à face entre Kate et Craig, utilisant, tout en l’exacerbant, la large palette de sentiments nés de la vision des deux premiers actes. En ressortent évidemment un incroyable lot de scènes fortes que l’on préférera taire de peur de trop en dévoiler. Quoi qu’il en soit, de la confrontation (physique et mentale) des deux personnages principaux découle rapidement une nette tendance à prendre plus facilement parti pour Craig, de part la réelle légitimité de ses actes, mais aussi de part une antipathie prononcée que l’on ne peut s’empêcher d’éprouver à l’égard de Kate. Une tendance qui prendra tout son sens dans un final en forme d’apothéose inversant subtilement le rôle des deux protagonistes. Creep se veut donc comme un véritable chemin de croix, un voyage initiatique d’où les personnages ressortent changés, transformés, bouleversés. On pourra aller jusqu’à parler de corruption tant la décadence inhérente à l’univers dépeint semble déteindre sur le personnage de Kate. Contrainte de s’adapter à son environnement pour mieux survivre (et donc se rapprochant de Craig puisque ce dernier aura eu à faire de même dans un passé plus ou moins lointain), Kate se confond peu à peu avec cet entourage d’une nuit, une idée un peu amplifiée par le dernier plan du film, magnifique et sans appel, annonçant un avenir incertain et funeste. Une fin exemplaire, ne cédant pas à la facilité du happy-end malvenu, ni au twist final inapproprié. On en ressort lessivé, la tête remplie d’images et le cerveau en ébulition, hanté par une expérience aussi extrême et dérangeante, comme poursuivi par une odeur rance et tenace, laissant une curieuse impression. Celle de la fatalité.

Note : 5/6"

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cabask a écrit:
ça montre aussi à quel point la forme a pris le fond sur la forme.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Avr 2006 18:01 
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Putain tu fais chier tu peux pas parler de foot un peu ?

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Oueh surtout pour nous faire un vieux copier\coller provenant des gros nerds de Mad movies!

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Willemot a écrit:
Oueh surtout pour nous faire un vieux copier\coller provenant des gros nerds de Mad movies!

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:lol:

Là il va faire une crise. C'est sûr.

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Y'a trop de trucs à lire pour mes 2 neurones et demi (oui, j'en ai perdu la moitié d'un hier soir.)

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Ca y est j'ai vu OSS117. Je me suis bien marré mais force est de constater que je suis bon public. Par contre j'ai trouvé qu'Aura Atika joue comme une merde dans ce film. PAr contre Dujardin est parfait! Ca change de certains films comme "promis, juré" ou un truc du genre avec Jugnot qui est le film ou il joue le plus mal.

Allez à la semaine prochaine avec Camping.


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