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Moi, c'est quand je vois le niveau des élèves.

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Grand Voyant 2015-2016

Je ne me sens pas visé, j'ai eu 18 au bac en Histoire-Géo.

Jay, modeste.

Que des paroles mon cher Jay.

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Ui mon cher néolait? Tu as un problème? Tu veux qu'on en parle?

Ca pik la Belgique non ?

Oui, un peu comme à Saint Jean de Monts...

Ouest-France

Brest stoppé, Caen à la relance

Une nouvelle fois dos au mur, Caen a fait le nécessaire hier et mis un coup d’arrêt à la progression brestoise. Les Normands repassent devant les Finistériens au classement. Sur une victoire méritée.

Quatre succès consécutifs (deux en championnat), c'est indéniablement bon pour la confiance. Les Brestois, au moral au beau fixe, étaient ainsi venus produire du jeu à d'Ornano, faisant fi de la réputation de l'adversaire sur son sol. Auriac, gêné par Bourgis, se trompait pourtant de sens en relançant de la tête, une opportunité exploitée comme il se doit par un Samson à l'affût, fixant Lachuer et faisant fructifier l'aubaine (10').

Quand Caen mène à d'Ornano, ça fait généralement assez mal. Encore faut-il tenir le score, durant un laps de temps même minime. Là, Malherbe a tenu moins d'une minute avant que Planté ne plonge trop brutalement dans les pieds de Robert Malm, lancé par le revenant Gallon. Le Franco-Togolais se faisait justice lui-même sur le penalty promptement sifflé par M. Moreira (11'). Les Caennais avaient pour intention première de passer dans le dos des latéraux finistériens, ça ne s'avérait pas simple.

C'est dans l’axe qu’ils manquaient de se faire dangereux, d'une lourde frappe de Zubar (30'). Verschave donnait la réponse brestoise dans la foulée, mais Ben Askar venait écarter le danger sur son centre-tir. Loin de sa rugueuse réputation, la formation d'Albert Rust cherchait à bondir vers l'avant. Ce qui libère aussi des espaces. Oliveira était ainsi contraint a dégager à la sauvette devant Lilian Compan, rentré à la pause (48'). Avertissement sans frais. Lancé par Thiam, Samson, lui, ne manquait pas son deuxième face à face avec Lachuer. « Men mestra » (même chose) vous dirait un Breton : toujours en fixant le portier brestois avant de le tromper (55'). Compan n'était pas loin de corser l'addition (67'). C'est Florentin qui s'y collait, lancé « pleine balle » dans l'axe par un Samson des grands soirs, le meneur de jeu suppléant fixait lui aussi un pauvre Lachuer ne pouvant rien faire (69'). Le baromètre du moral brestois en avait pris un sacré coup alors que Planté restait vigilant devant Verschave (87'). Eudeline était près d'offrir un quatrième but à Compan (90'+ 3).

David GUEZENNEC



Stéphane Samson, l’homme du match

Bon match de la charnière centrale hier, belle activité de Zubar au milieu, de Florentin à la baguette. Mais surtout, une prestation pleine de Samson devant. Un doublé et une passe décisive pour le n°9 caennais.

PLANTE (4,5 sur 10). Des retrouvailles difficiles avec sa ligne de but. Le penalty accordé à Malm est peut-être un peu litigieux, mais sa sortie hasardeuse. Une bonne intervention devant Verschave, mais aussi un dégagement manqué. Une rentrée en demi-teinte.

SORBON (6). Sur le flanc droit de la défense, ce n'est pas forcément là qu'il s'exprime le mieux. Une prise de risques minimisée offensivement. Pas de risque qu'il s'enrhume, il n'a pris aucun courant d'air.

BEN ASKAR (7). Bon sauvetage sur un centre-tir de Malm (30'). Utile dans les airs, notamment sur coup franc ou corner. Une prestation sérieuse et autoritaire Un quasi sans faute.

THIAM (7). A l'aise lui-aussi dans le jeu aérien. De l'application au niveau des tâches défensives. Et surtout, une superbe ouverture pour Samson sur le deuxième but caennais. Est resté debout, a taclé à bon escient. Peut-être son meilleur match de la saison.

SEUBE (6). Toujours là pour « couper » les initiatives adverses. Malm a su se faire oublier en début de partie, mais sans suite. Un match propre, Sans ombre ni vrai éclat.

ZUBAR (6,5). A su trouver les décalages pour placer deux frappes lors de la première demi-heure. L'une à côté (2’), l’autre contrée par Oliveira (29’). A alterné le bon et le moins bon dans ses transmissions, pris quelques coups, mais une partie solide face à un milieu de terrain très fourni. Or, ce n’était pas simple.

GOUFFRAN (4,5). Un début de match très discret. Pas vraiment dans le ton, a peiné à se démarquer, à trouver sa place. Bon travail défensif en seconde période, même si cela lui a valu quelques sprints dans le replacement. Mieux dans l'animation aussi.

FLORENTIN (6,5). Nouveau registre pour l’ancien Troyen. Celui de meneur de jeu, rôle dont il s'est plutôt bien accommodé. Dangereux sur les coups de pied arrêtés. Et en plus, il marque. Le troisième but, celui du break. De la vitesse, tout en finesse.

LEMAITRE (6). Une reprise en pivot, une tête hors cadre, pas mal d'activité en début de match. Lever le pied, il ne connaît pas. Mais il sait le mettre. Aurait peut-être pu influer un peu plus sur le jeu.

VALERO (5). Du cœur, mais manque un peu de vice. Remplacé à la pause par COMPAN (5) , qui apporta le danger à deux reprises. A besoin de jouer.

SAMSON (8 ). L'homme du match. Décisif dès sa première action. A su profiter d'une remise hasardeuse d'Oliveira pour devancer Lachuer et se jouer de lui (9'). Un bon décalage pour Zubar, un deuxième but plein de sang froid. Sa septième réalisation de la saison. Une passe décisive pour couronner le tout.

Raphaël FRESNAIS.



• Equipe. Anthony Deroin en convalescence, Igor Matic forfait du fait d'une gène aux adducteurs, c'est bien Nicolas Florentin qui était utilisé hier comme meneur de jeu. Franck Dumas avait préféré Zubar à Leca au poste de milieu récupérateur alors que la charnière centrale était composée par Thiam et Ben Askar. Valéro avait été préféré à Campan pour épauler Samson en attaque.

• Vote. C'est Yoan Gouffran qui a été élu joueur du mois de novembre au Stade Malherbe de Caen.

• Capitaine. En l'absence d'Olivier Guégan, Albert Rust avait confié le brassard de capitaine à Christophe Forest.

• Rencontre. Dans leur hôtel, les Brestois ont croisé hier les basketteuses de Valenciennes qui jouent aujourd'hui à Mondeville.

• Exposition. Une exposition photo orne actuellement les couloirs de d'Ornano. Une exposition de clichés pris par les photographes de Ouest-France. Les Brestois ont ainsi pu retrouver une prise de vue de Paul Le Guen sous leurs couleurs. Pas du tout neuf.

• Distribution. 8 000 casques de Vikings ont été distribués hier à d'Ornano. Un reliquat des casques fabriqués l'an passé pour la finale de Coupe de la Ligue.

• Convalescence. Anthony Deroin a suivi le match depuis la tribune d'honneur. « Dans la journée, j'ai attaqué le tapis de course chez moi, après avoir fait du vélo d'appartement. Je recommencerai à courir début janvier. Je ne pourrai reprendre que fin janvier-début février », indique-t-il.

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L'Equipe

FORT DE QUATRE SUCCES consécutifs (deux en championnat), le Stade brestois était venu en confiance à Caen. Une grossière erreur de relance de la tête d'Auriac mettait pourtant les Brestois rapidement en difficulté (10'). Samson était à l'affût et fixait Lachuer avant de le tromper. Mais une sortie trop brutale de Planté dans les pieds de Malm ne laissait pas le temps aux Bretons de douter. Une minute plus tard, le Franco-Togolais se faisait justice sur le penalty.

Les Finistériens étaient venus avec des intentions de jeu, ce qui ne déplaît généralement pas aux Normands.

Compan, rentré à la pause, était près de trouver l'ouverture en contre (48e). C’est finalement un Samson en grande forme qui doublait la mise. Un bis repetita du premier but. Lancé par Thiam, l'attaquant Normand fixait à nouveau Lachuer avant de le battre (55e). Caen profitait des espaces. Décidément inspiré, Samson lançait Florentin dans l'axe. Le meneur de jeu d'un soir caennais n'était pas plus gentil avec l'infortuné Lachuer (69e). Planté restait vigilant devant Verschave (87e) et les Caennais doublaient les Brestois au c1assement.- D. G.

• Franck DUMAS (entraîneur de Caen) : « Cette victoire est importante car elle nous permet de rester dans le sillage du trio de tête. Depuis la fin août, on n'a perdu qu'un seul match, ça nous conforte dans nos ambitions… »

• Albert RUST (entraîneur de Brest) : « Je regrette qu'on ait pris un deuxième but dès la reprise sur une action entachée d'un hors-jeu flagrant. Je retiens que le contenu n’était pas si mal mais on a commis quelques erreurs inhabituelles qui nous ont coûté cher. »

Comme quoi, les Bretons et la piccole, c'est pas une légende

Et pourquoi se plait-on que je fasse des copier/coller (que je faisai), alrs que l'on dit rien à Jul ?
Autrement, je trouve que ces articles sont très intéréssants !

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kash

Faut arreter de déconner avec Planté.Il y a des choses à lui reprocher,certainement.Mais hier soir,il fait un match correct et,si sa sortie est hasardeuse le placement et le marquage de ses défenseurs le sont tout autant.Il veut quoi après le journaliste,que Planté regarde Malm marquer?


Du vice , il n'en a pas manqué en poussant ostensiblement(certains arbitres auraient pu siffler faute) le défenseur central et ainsi l'obligeant à une tete en retrait fatal.Si Samson met 2 pions et bénéficie d'autant d'espaces,c'est que Valéro puis Compan ont été faire le "ménage".

Tout le monde fait son match hier (peut etre Gouffran en demi teinte et encore...) et c'est la bonne nouvelle ,depuis quand meme bientot 2 mois,l'équipe est bien plus compacte et la qualité ne se ressent pas des absences.

On ne dit rien à Jul car les articles exposés ici ne sont pas de vulgaires copier/coller mais des scannes de journaux uniquement disponibles par l'achat en kiosque.

Ah je comprend mieux ! Je te présente mes sincères excuses !

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kash

Ouest-France

Le Stade Malherbe se redonne des raisons d’y croire

Contrariés jusqu’à la pause par des Brestois vifs en contre et bien organisés dans l’entrejeu, les Caennais ont débordé leurs adversaires autour de l’heure de jeu, sous la conduite d’un Samson inspiré. Ils bouclent la phase aller à une 6e place qui les conforte dans leurs prétentions futures.

« Mission accomplie ! » Vendredi soir, Franck Dumas n'a pas boudé son plaisir, en soupesant ce succès sur Brest. A la vérité, cette dernière sortie 2005 a d'Ornano avait tout d'une chausse-trape. « On se savait attendus au tournant, abonde Nicolas Florentin, meneur de jeu intérimaire. C'était un match-couperet. »

Caen a su éviter la bûche de Noël qui aurait sans doute assombri son horizon 2006, en accélérant en seconde période pour fondre sur la sixième place. « Il était capital de ne pas se laisser décrocher du trio de tête, reconnaît Dumas. Ce succès nous conforte dans nos ambitions. Depuis la fin du mois d'août, nous n'avons perdu qu'un seul match ». C'était au Havre, par un 11 novembre tristounet. Cette claque du voisin
aura été salutaire. En trois journées, Caen a empoché sept points, tout en en gaspillant deux « bêtement » à Châteauroux.

Le plus encourageant, c'est que Brest n’a pas livré son scalp sur un plateau. En première période, les Bretons, abonnés au pressing, ont fait la loi sur l'entrejeu. Ils ont non seulement joué les agitateurs d'idées mais également répliqué du tac au tac au tac au but précoce de Stéphane Samson (9'). Malm, séché par Vincent Planté, se fit justice lui-même sur péno (10’). « Le contenu n’était pas si mal, regrette Albert Rust. Mais on a commis quelques fautes inhabituelles. Et le 2e but caennais a été inscrit sur un hors jeu flagrant ». L’assistant, en tout cas, ne broncha pas et Samson, parti à la limite, fut plus prompt pour bonifier une longue ouverture de Brahim Thiam.

« Il y avait des espaces derrière les défenseurs brestois », analyse Dumas, qui avait demandé à ses ouailles « d’appuyer davantage sur les côtés pour contourner le bloc compact de notre adversaire », confie Reynald Lemaître. C'est de son flanc, le gauche, que Samson put offrir le 3e but à Florentin. « J'en mets un de temps en temps, jubile ce dernier. Ce qui fait surtout plaisir, c'est que, collectivement, on a répondu au défi physique imposé par Brest. » Question de « détermination », enchaîne Ronald Zubar, le capitaine, exemplaire dans les duels.

Au fil de la partie, Caen est monté en puissance, ne laissant que le seul Verschave asticoter sa défense. «On est resté solide derrière », résume Nicolas Seube. Compan, à trois reprises, fut même privé d'un but anecdotique. « Autant notre première période a été heurtée, autant la deuxième fut plus fluide », apprécie Dumas. Devant Bastia et Brest, ses protégés ont signé sept buts. Reste à donner un dernier coup de collier à Guingamp, mardi, en Coupe de la Ligue, billet de quart de finale en jeu. Le Stade Malherbe a encore la chance d'évoluer sur trois tableaux. En L2, seuls Montpellier et Lorient disposent du même privilège.

David GUEZENNEC



Samson : « On a frappé un grand coup »

Auteur d’un doublé et d’une passe décisive, Stéphane Samson fut le grand bonhomme caennais face à Brest.

« Ce soir on a frappé un grand coup, lâchait Stéphane Samson à l'issue du match. Aujourd’hui, je pense que Caen fait peur à beaucoup d'équipes de L2. On vient de battre Bastia et Brest, deux grosses cylindrées du championnat et pas 1-0. Mais 4-1 et 3-1 ».

3-1 contre Brest sur deux buts et. une passe décisive de ce jeune homme, comme contre Amiens en début de saison. « Ce soir, j’ai eu beaucoup de réussite, du 100% même, sourit Samson. Je n'ai pas eu dix occasions mais deux ». Lancé dans le match par une boulette d'Auriac : « Je ne crois pas trop à sa passe en retrait, mais j’anticipe quand même, je sais ensuite que j’ai de l'avance et le temps de fixer Lachuer. ». Bis repetita sur un second but quasiment « copié-collé » sur le premier.

Stéphane Samson n'a pas pour habitude de faire dans la demi-mesure et se fait tantôt discret, tantôt tonitruant. Il reste sur deux doublés en quinze jours (Bastia et Brest), « ça ne m'était jamais arrivé », et en compte quatre depuis le début de saison {Amiens et Tremblay en Coupe de France). Le Haut-Normand est aujourd'hui avec sept buts inscrits en championnat, quatre en coupes, le nouveau goleador caennais. Il est aussi dans une superbe passe. « Mais j'ai aussi été remplaçant contre Guingamp, j'étais un peu moins bien, je me suis accroché ».

L'ex-Havrais sait qu'il aura d'autres passes difficiles. « C'est la vie d'attaquant, mais je connais mes qualités. Des passages très durs, j'en ai eu. À Clermont par exemple où pendant un bon moment j'ai été hué par le public. » Et touché au cœur. Un cœur gros. « Ici, tout le monde est derrière moi. Quand je ne marque pas, coaches, joueurs, supporters, me disent que ça passera, et moi, je marche à l'affectif. »

Stéphane Samson évolue pour et dans un collectif qu'il sent fort. « J'ai l'impression qu'on dégage une grosse puissance, et c'est la première fois que je sens ça dans une équipe. Mais il ne faut pas tomber dans l'excès de confiance. On a pris une leçon en début de saison, on ne doit jamais oublier qu'on a été derniers. Mais je pense qu'on a tous retenu la leçon. »

David GUEZENNEC



Le Stade brestois battu par plus fort que lui



Radio Malherbe

• Séance. Le groupe caennais s'est livré à des jeux hier matin. Si Matic a repris sans souci, Sorbon et Ben Askar se sont contentés de trottiner. Zubar, victime d'un coup sur la cheville, est resté aux soins, tout comme Gouffran, qui se plaignait d'un genou. Il est allé consulter un chirurgien dans la journée.

• Passeur. Brahim Thiam a donné sa première passe décisive face à Brest. Récompense d'une soirée maîtrisée pour le stoppeur caennais.

• Supporter. Secouristes et pompiers ont dû voler vendredi au secours d'un supporter brestois de 26 ans, alcoolisé, victime d'une chute de six mètres, des grillages. L'intéressé a été transporté en urgence au CHU, ses jours ne sont pas en danger.

• Gardien. Steeve Elana, qui assista au match du banc de touche brestois, fut consolé de la défaite dès la fin du match. Ben Askar, Zubar, ses ex-partenaires, le raccompagnèrent au vestiaire. Celui des visiteurs...

• Programme. Coupe de la Ligue oblige (mardi à Guingamp). le Stade Malherbe s'entraînera ce dimanche à 10h mais aussi lundi après-midi. Les Caennais gagneront les Côtes d'Armor en bus mardi matin.








CFA2. Caen en seconde mi-temps

Vannes – Caen : 1-2. Les Caennais ont bien réagi après la pause, s’offrant ainsi la victoire.

Vannes donne le ton dès le coup d'envoi par un tir de Quéré (6') et un autre de Grangi (8'). Les Caennais auront à leur tour l'occasion d'afficher leur savoir-faire avec une combinaison Grandin-Lesoimier-Bakari et un tir des 30 mètres de ce dernier que Lucas détourne en corner de façon spectaculaire (28'). Grandin, seul dans les 6 mètres, vendange un ballon adressé par Lesoimier, ballon que la défense vannetaise n'avait pu maîtriser (32').
Bien que battu dans les duels, Caen maîtrise face à Vannes qui se montre plus entreprenant forçant les défenseurs adverses à faire preuve de vigilance.
Celle-ci sera trompée sur une belle action emmenée par Coquio, qui bénéficie de deux contres, avant de transmettre à Quéré pour l'ouverture du score d'un tir tendu à ras de terre (33'). C'est le coup d'assommoir pour Caen d'autant que Coquio rate l'occasion d'aggraver la marque (36'), de même que Quéré (38').

Dès la reprise, Melet et Coulibaly remplacent Bakari et Jabbie mais il faut attendre la 61' pour voir Melet servi par Grandin se créer une occasion. Alors que le Voc presse, les Caennais mènent une contre-attaque qui se termine par un tir de Grandin bien stoppé par Lucas (75'). Ce n'est que partie remise pour Caen puisque Grandin bénéficie d'un relâchement de la défense locale pour tromper Lucas (77') et égaliser. Caen rate l'occasion de prendre l'avantage par Grandin (81',84') mais le fait finalement par Lesoimier qui reprend au premier poteau un corner tiré par Grandin (86').

Vannes – Caen : 2-1 (1-0).
Arbitre : M. Betton,
Buts. Vannes: Ouéré (32'). Caen:. Grandin (77'), Lesoimier (86').
Avertissements. Vannes: Delpierre (29'), Le Mentec (sur le banc, 61'), Charlot (70').
Expulsion. Vannes : Noblet (entraîneur, 82’).

Merci Jul,
La question que j'me pose ( et qui n'a aucun interêt), c'est pourquoi Lemaître n'a pas mis direct un maillot manches longues.