cabask a écrit:
De ce que j'ai pu entendre :
- j'adore le 1er album
- "London Calling" m'a l'air super même s'il doit falloir l'écouter un paquet de fois car certains titres sont plus catchy que d'autres
- "Sandinista" a l'air d'alterner le bon et le moins bon
- le live a l'air bien sympa
the clash, london calling, sandinista, tu as déjà cerné le meilleur.
pour faire rapide parce que je suis un peu court là (aucune référence à ajacques inside).
london calling double album (proposé au prix d'un simple évidemment) est une bombe intemporelle. une pochette mythique (paul simonon éclatant sa basse au soir d'un concert raté). un mélange plutôt efficace et fusionnel de l'histoire du rock. un instantané de l'angleterre thatchérienne. éblouissant. d'un rare équilibre et d'une rare diversité.
le permier album c'est de l'énergie brute. un album très ancré aussi dans les réalités sociales assez déprimantes de l'époque.
i fought the law, white man, police and thieves...
la quintescence du punk. ou du moins de mon punk.
sandinista (triple album!!)
la perle. ma perle. l'album que j'emmène sur île déserte.
très expérimental. très marqué dub et reggae. à redécouvrir dans le temps avec un plaisir à chaque fois inégalé. vieillit comme un bon vin.
le reste (combat rock, give'm enough rope, cut the crap) n'est pas indispensable. albums inégaux mais parfois géniaux. ça peut attendre.
cabask a écrit:
genre que penses tu des Mescaleros ?
Question bonus, connais tu le DVD "The Clash - Rude Boy" ?
les mescaleros ensuite c'est plus une histoire de copains. loin d'être indispensable (mais pas forcément inintéressant pour autant).
et puis quant à rude boy ça me fait penser que j'ai dû oublier cette référence là par ailleurs, dans un sombre top film arraché sous la torture.
une fresque sociale de l'angleterre de la fin des années 70 (la fin est terrible si j'me souviens bien). un docu-fiction très bien monté, surtout valable pour la proximité qu'on peut avoir avec le groupe (vu que le perso principal est le roadie du clash). on y découvre un joe strummer déjà leader, déjà divin, déjà immortel, et évidemment d'une sagesse, d'une pertinence et d'une maturité hallucinante. tellement loin du no future des sex pistols.
bon allez j'suis à la bourre moi. merci cab'.
mais n'oublie pas (si tu as déjà résisté à tout ça) d'aller faire un tour chez
les 101'ers. les débuts de joe. brut de chez brut mais alors un condensé d'énergie.
ne pas oublier mick jones dans les louanges. même s'il représente beucoup moins l'ame du groupe, il reste pour autant indispensable au collectif notemment pour son travail sur les musiques et les mélodies.
heaven is definitely rockin'.