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Forum des supporters du Stade Malherbe Caen
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J'ai goûté une mangue. En Colombie. Après une heure et demi de balade à cheval.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Avr 2025 09:26 
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Pourquoi ?

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Avr 2025 09:38 
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Quelques éléments (que l'on pouvait deviner)
https://fondaskreyol.org/article/fanon- ... tributrice

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J'ai goûté une mangue. En Colombie. Après une heure et demi de balade à cheval.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Avr 2025 11:34 
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Dernière édition par bigdudu le 06 Avr 2025 11:45, édité 1 fois.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Avr 2025 11:37 
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Conclusion de la critique de Télérama : En résumé : grand homme, petit film.
« Un rappel de l'importance historique de l'auteur de Peau noire, masques blancs et des Damnés de la terre est toujours salutaire. Le problème est que Fanon cumule tous les défauts du biopic : récit mollasson, scènes édifiantes, dialogues lourdement didactiques, reconstitution historique qui fait toc et mise en scène illustrative. "


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Avr 2025 11:50 
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C'est ce que laissait entrevoir le trailer. Un peu comme l'a été Lumumba. Maintenant l'intérêt du propos (historique, sociologique, politique) dépasse largement celui du divertissement me semble t-il.

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J'ai goûté une mangue. En Colombie. Après une heure et demi de balade à cheval.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Avr 2025 13:13 
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Dans ce cas, il vaut peut-être mieux un bon documentaire.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 23 Mai 2025 09:51 
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Willemot a écrit:
benkb a écrit:
On savait depuis le début du projet que c'était une comédie musicale, et vu le premier que je trouve très surcoté - c'est Taxi Driver avec pas grand chose à dire et un Joaquin Phoenix à peine moins en surjeu que dans Gladiator - et vu que le meilleur film de Todd Philips c'est Starsky & Hutch, je n'en attendais absolument rien. Apparemment j'ai tapé dans le mille.


Alors, entièrement d'accord avec toi.
D'une part, il surjouait comme un cochon dans Gladiator faisant passer Nicolas Cage dans ses DTV pour un modèle de retenue et d'autre part, Joker est incroyablement vide de sens et manque cruellement de point de vue. La mise en scène a deux de tension et mis à part quelques moments iconiques (la scène de l'escalier, et déjà c'est pas d'avoir inventé la poudre) tout cela est bien curieux. Un miyard de recette, ça m'intrigue toujours autant.



C'est marrant j'ai vu Joker 2 hier soir et je me rappelais quelques critiques lues ici.

Et bah j'ai plutôt bien aimé en fait, surement par ce que j'en attendais pas grand chose mais je voulais le voir par curiosité.

Ok ça ne raconte pas grand chose et les parties musicales peuvent être déroutantes mais je les ai trouvé justement cohérentes avec l'ensemble et avec les personnages. On est plutôt dans un exercice de style du type "le Joker vu par le Joker", et ça m'a bien plu.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 01 Juil 2025 22:46 
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Je savais qu'ils sortaient un remake de Marche ou crève en octobre et là je viens de tomber sur la bande annonce du remake de Running Man pour novembre. Ça redevient tendance Stephen King ?


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Oct 2025 14:20 
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Quelqu'un pour cet article svp ?

https://www.lequipe.fr/Arts-martiaux/Ar ... ur/1604288


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 25 Oct 2025 14:27 
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L'article brut

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Dans « Yoroï », en salles mercredi, l'acteur-rappeur Orelsan se transforme en combattant d'arts martiaux attaqué par des monstres japonais. Un vrai rêve pour lui.
Vincent Hubé
publié le 25 octobre 2025 à 14h00
mis à jour le 25 octobre 2025 à 15h07
6 minutes


Le sens des priorités. Mardi soir, les amateurs de football regardaient la démonstration du Paris-SG à Leverkusen en Ligue des champions (7-2). Orelsan, lui, était devant YouTube pour suivre un match de la 11e journée de National, Caen-Rouen (1-1). Le lendemain, le rappeur de 43 ans était de passage à L'Équipe, mais pas pour parler du Stade Malherbe, enfin pas trop.
Quatre ans après le carton de son album Civilisation (plus de 900 000 ventes), le voilà acteur, dans Yoroï, en salles mercredi. Dans le film de David Tomaszewski, tourné en partie au Japon, le musicien multiplie les scènes de combat, avec une ambiance entre mangas et jeux vidéo. Un plaisir d'adolescent pour ce fan de Jean-Claude Van Damme mais aussi l'occasion de montrer sa passion authentique pour les arts martiaux. Celui qui partira en tournée durant toute l'année 2026, avec notamment dix dates à l'Accor Arena, s'est confié pendant plus d'une demi-heure autour d'un thé noir. Pour lui, le sport est plus qu'un simple hobby.
Même après la descente du club en National, en mai, Orelsan continue d'afficher son soutien au Stade Malherbe Caen. Pris par la promo de Yoroï, il n'est pas encore retourné au stade cette saison mais suit toujours avec attention les résultats de l'équipe.

À l'été 2024, il avait vu son nom cité comme associé potentiel au clan Mbappé qui s'apprêtait à racheter le club. « Des rumeurs », selon lui. En revanche, l'artiste l'admet : « Un jour, j'aimerais vraiment m'impliquer. Mais plus sur la com', par exemple... » Celui qui reconnaît « avoir joué au foot à l'école, comme tout le monde », ne veut surtout pas passer pour un expert du ballon rond : « Devant un match, je n'ai qu'un avis de merde. Si j'ai des mini-notions, c'est grâce au jeu FIFA... »

Orelsan n'a pas encore croisé non plus le principal actionnaire du Stade Malherbe, Kylian Mbappé : « Au moment où il devenait actionnaire à Caen, il arrivait au Real. Moi, j'avais mon film qui me prenait du temps. Ce n'est pas ma priorité. Déjà, si le club pouvait remonter, ça serait bien. J'essaie aussi de rester à ma place. »
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« Dans votre morceau "Christophe" (2017), vous chantez : "J'aime que les mangas et les films de Van Damme". Le film "Yoroï", est-ce la réunion des deux ?
Exactement, j'ai vraiment mélangé mes deux passions. Van Damme, j'adorais ses films, je refaisais les chorés. Avec mon père, on allait au vidéoclub, puis on matait ses films en famille. Bon, ma mère, ça la gonflait un peu.
Pourquoi Van Damme ?
C'est une légende. J'avais le poster de Full Contact (1990) dans ma chambre. À l'époque, c'était vraiment un phénomène. Il a réussi à être le symbole mondial de ce style de films. Qui a fait ça à part lui ? Kickboxer (1989), je l'ai vu mille fois.
« Dans le film, on s'est vachement limités sur les références. Les gens en voient toujours plus que ce qu'on a effectivement mis »
Pourquoi celui-là plus que les autres ?
Ce que j'aime, c'est la séquence d'entraînement en Thaïlande. J'adore l'enjeu : il part de rien pour affronter un mec terrifiant, Tong Po. Le côté hyper simple du film, le maître-entraîneur, ce qu'on retrouve un peu dans Karaté Kid (1984), c'est vraiment un truc qui me plaisait et qui me plaît toujours.
Vous pensez au jour où vous montrerez son premier Van Damme à votre fils (âgé de 2 ans) ?
Avec ce qui est sorti depuis, le contexte actuel, je ne sais pas si ce sont les premiers films que je vais montrer à mon fils. J'irai peut-être plus vers des Jackie Chan, des trucs un peu plus enfantins, plus détendus, un peu plus drôles. Après, si un jour il me dit : "Je veux mater Kickboxer", bon... Kickboxer, en plus, a un petit côté série B, violent, mais ça reste un film de sport.


Vous avez pensé à faire jouer Van Damme dans "Yoroï" ?
Non. Justement, dans le film, on s'est vachement limités sur les références. Les gens en voient toujours plus que ce qu'on a effectivement mis. On s'en est autorisé une sur Les Chevaliers du Zodiaque et une autre sur Final Fantasy. Mais à part ça, on n'en a pas placé tant que ça. Il y en a tellement dans mon univers que je ne les ai pas toujours toutes en tête.
Quand le réalisateur David Tomaszewski vous a proposé le film, il y a quatre ans, vous êtes-vous dit : "Enfin !" ?
Avant d'écrire La Fête est finie (album sorti en 2017), je m'étais dit que je devrais jouer dans un film de baston, un jour. Et pour ça, il faut s'entraîner. J'ai commencé par la cascade, pour apprendre la chorégraphie des combats. Savoir mettre les frappes en valeur, être souple, donner des coups très larges pour qu'on les voie à la caméra. Tout ça a été un apprentissage de huit ans.
« Les muscles, l'apparence, c'est à 80 % l'alimentation. C'était le plus dur pour moi parce que j'aime manger »
Avec de la préparation physique en plus ?
Oui, avec mon coach à Caen, Lounès, qui était aussi sur le tournage. Plus le régime qui va avec. Parce qu'au final, les muscles, l'apparence, c'est à 80 % l'alimentation. C'était le plus dur pour moi parce que je mange beaucoup.
En quoi consistait ce régime ?
C'était très simple : à chaque repas, 300 g de glucides, 150 g de protéines, 200 g de fibres. En gros, du riz ou des pâtes, des légumes et du poulet ou du boeuf en quantité réduite. Ou alors du tofu ou du poisson. Et évidemment, pas de dessert, pas de sucre, pas de fromage. Il faut juste peser les aliments. On avait aussi une balance qui mesure la masse grasse. Quand j'ai commencé, elle était autour de 18 %. Et pour le tournage, j'étais entre 8 et 9. Je crois qu'un sportif pro, globalement, est entre 10 et 13.... Comme j'ai pris 9 kg de muscles, je n'ai pas perdu de poids.

Vous aviez aussi des entraînements spécifiques pour les arts martiaux ?
Oui, je m'entraînais beaucoup avec un cascadeur, Anthony Pho, qui a une base de taekwondo et de viet vo dao (art martial vietnamien). Un autre, Jerem' (Jérémy Margallé), était spécialiste de judo et de JJB (jiu-jitsu brésilien). Je suis aussi parti en Thaïlande, m'entraîner en boxe thaï. Même si, au final, ça ne sert pas trop. C'est presque le contraire des combats chorégraphiés où il faut que les coups soient larges. Autant dire que si tu fais ça lors d'un sparring en boxe thaï, tu te fais péter la gueule. Mais ça m'a donné des notions de déplacement. Et j'ai aussi fait un peu de boxe anglaise.
Vous préférez quoi ?
Je crois que je préfère le kickboxing. Et je suis meilleur avec les jambes qu'avec les poings.
« J'avais un bon shoot, je ne faisais que tirer, mais je ne savais pas dribbler. Je n'ai pas su m'entraîner sur les bons trucs »
Vous avez aussi un passé de basketteur.
Mon premier sport, c'était le handball. Après, j'ai joué six-sept ans au basket, ailier shooteur, à Alençon (Orne). C'était mon truc, j'étais fan de NBA, je me baladais avec mon ballon. Mais à une période, j'ai eu beaucoup de regrets. J'avais un bon shoot, je ne faisais que tirer, mais je ne savais pas dribbler. Je n'ai pas su m'entraîner sur les bons trucs. En cadets, on était hyper bons en Championnat régional. Au niveau national, on se faisait éclater. J'y pense souvent quand je vois des pros. Je me dis : "Putain, le cursus qu'il faut pour arriver à ce level". C'est la crème de la crème de la crème de la crème.
Une de vos idoles, que vous citez dans plusieurs morceaux, c'est Michael Jordan.
Bien sûr. Comme pour la musique, ce que tu vis dans ton adolescence te marque le plus. J'ai commencé le basket à cause de la Dream Team, en 1992. Les JO, on regarde avec mes parents, j'hallucine. Les Bulls de Jordan, avec Scottie Pippen, Dennis Rodman... Pour moi, ce sont les meilleurs souvenirs de sport. Et puis Jordan était beau à voir jouer, il rentrait des trucs improbables. Il était classe.


Dans le titre "San" (2017), on entend : "J'écris chaque phrase comme si Michael pouvait voir ça". En référence à Jordan ?
Non, à Michael Jackson ! Michael Jackson, Michael Jordan, Mike Tyson, c'est le trio de Michael de ma life.
Vous jouez encore au basket ?
J'ai envie de m'y remettre. J'ai un panier dans mon jardin, je shoote tout le temps.
En ce moment, vous pratiquez quel sport ?
Quand je suis en promo, je fais du crossfit trois fois par semaine et de la boxe une fois. Et quand je ne suis pas en promo, c'est un jour crossfit, un jour sport de combat, un jour crossfit, un jour sport de combat... C'est quand même une petite passion.
« Je n'aime pas faire mal. Je fais beaucoup de sparring mais je n'ai jamais disputé de vrais combats où tu vises le KO »
Comment vos complices Ablaye et Skread (également au générique de "Yoroï") le voient-ils ?
Ils sont contents, même si ça les fait un peu rire. Après, ils voient aussi que sur scène, je suis beaucoup plus dynamique. Avant le début des concerts, concrètement, je fais toujours quinze minutes de cardio. Comme ça, quand j'arrive, je suis dedans. Ça déclenche de l'endorphine.
Des acteurs sont déjà montés sur un ring, Mathieu Kassovitz ou Mickey Rourke par exemple. Ça vous tenterait ?
Je ne sais pas. Je n'aime pas faire mal. Je fais beaucoup de sparring mais je n'ai jamais disputé de vrais combats où tu vises le K.-O. Il y a une excitation, une adrénaline là-dedans qui m'intéresserait. Mais pas pour le faire devant les gens ou des caméras. Je connais à peu près mon niveau et il n'est pas ouf. Ça ne sera pas un super spectacle... Il vaut mieux aller me voir en concert. »
Dans ce premier long métrage de David Tomaszewski, un de ses réalisateurs de clips favoris, Orelsan occupe un peu tous les postes : coscénariste, coproducteur, et bien sûr acteur principal, dans son propre rôle. Même si la veine autobiographique est moins évidente que dans son premier film, Comment c'est loin (coréalisé avec Christophe Offenstein, 2015).
Dans Yoroï, épuisé mentalement par sa tournée, le rappeur se retrouve au Japon, au pied du mont Fuji, avec sa femme enceinte (jouée par Clara Choï). Sous leur maison, il tombe sur une armure (yoroï en japonais) magique, qui va se plaquer sur lui sans qu'il puisse l'enlever. Il est alors pourchassé par des yokai, ces monstres japonais légendaires, qui ne sont que l'incarnation de ses propres angoisses, artistiques, intimes ou politiques.

Comme dans un jeu vidéo, le voilà engagé chaque nuit dans des séries de combats. De retour à Paris, il devra cette fois affronter son double maléfique, OrelSama... Ambitieux, original, jouant astucieusement de l'autodérision, Yoroï n'est pas destiné qu'aux fans d'Orelsan. Mais ceux-ci sont gâtés avec les sons inédits de la bande originale.


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Tiens, y a Netflix qui va sortir un film sur la vie d'une légende de Fener, Lefter



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J'en profite pour recommander les séries Masum et Bir Başkadır avec Tülin Özen <3 <3 <3

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