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Répondre en citant le message  MessagePosté: 03 Déc 2024 18:57 
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https://www.ouest-france.fr/vendee-glob ... c7c46b8325

https://www.vendeeglobe.org/cartographie


Dernière édition par bigdudu le 03 Déc 2024 18:59, édité 1 fois.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 03 Déc 2024 18:58 
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Hastings a écrit:
Xavi Jacob a écrit:
bigdudu a écrit:
bateaux à foils

Très drôle l'accent allemand.

:lol:


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 04 Déc 2024 09:22 
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Alors que les premiers du Vendée Globe s'apprêtent à affronter une énorme tempête, Coville doit à son tour faire demi-tour suite à une avarie de safran. Le Trophée Jules-Verne est donc mis entre parenthèses en attendant un nouveau départ pour SVR-Lazartigue qui rentre à Concarneau pour changer le foil endommagé.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Déc 2024 09:22 
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Abandon de Louis Burton.
Dalin à belle vitesse prend un peu d'avance sur Simon mais les 48 heures à venir seront périlleuses et le classement de fin de semaine plus parlant pour la suite.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Déc 2024 16:52 
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Si Dalin et dans une moindre mesure Simon réussissent à passer la tempête sans casse on pourrait avoir un avantage de plus d'une journée pour ces deux-là sur Richomme et compagnie à la fin du week-end. Toujours une belle allure pour Dalin sur une route plus au sud donc plus courte que ses concurrents excepté Simon qui suit sa trace.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Déc 2024 18:39 
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Oui le tout étant de réussir à passer sans casse dans les montagnes russes des cinquantièmes. Jeu dangereux. Simon raconte qu'il est un peu flippé quand même.

_________________
If adolf hitler flew in today
They'd send a limousine anyway


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Déc 2024 19:02 
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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Déc 2024 08:58 
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Dalin a creusé un beau troi avec les suivants. Simon est à 200 milles, Richomme à 500, Ruyant à 600, Beyou et Lunven à 800 et Goodchild à 900. La victoire ne pourra pas échapper à l'un de ces sept là. Bien sûr la course est encore très longue mais le Normand sera difficile à rattraper s'il ne connaît pas d'ennui majeur.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Déc 2024 10:16 
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Ce serait tout de même satisfaisant que Dalin gagne cette année, ça remettrait de l'ordre dans le palmarès de la course de la plus belle des façons.

_________________
tu ferrais bien de t'y mettre à la rando, sinon tu vas finir au Cap d'Agde comme bouée tractée !


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Déc 2024 21:46 
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Plus que 5 coureurs derrière Dalin à moins de 1000 milles.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 07 Déc 2024 12:10 
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A 11h, le 5ème, Beyou, est à 999,5 milles de Dalin.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 07 Déc 2024 12:13 
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Simon à 280, Richomme à 520 et Ruyant à 630 milles.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 08 Déc 2024 17:24 
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Avarie de foil pour Simon qui ne peut plus lutter à armes égales contre Dalin qui devrait s'échapper encore un peu plus et atteindre le cap Leewin demain matin dans un temps équivalent voire un peu meilleur que celui du record de Le Cléac'h. Les autres favoris sont à une ou deux journées derrière.
Le témoignage de Simon après son avarie.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 08 Déc 2024 18:37 
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Encore un article sous mon nom d'emprunt. Interview de Dalin à ne pas manquer.
https://www.ouest-france.fr/vendee-glob ... 12475c9cda
Un copié collé si vous n'avez pas tout.
Cliquez ici pour faire apparaître le contenu caché
Charlie Dalin est un skipper heureux. Heureux d’être en tête du Vendée Globe, satisfait de son coup qui lui a permis de prendre le large, comme un poisson dans l’eau face aux éléments. La monotonie, il ne connaît pas depuis le départ de son deuxième tour du monde. Lui va vite, toujours plus, et ne voit pas le temps passer.

« J’ai l’impression que j’ai été téléporté de l’équateur au cap de Bonne-Espérance. Puis d’avoir fait un énorme bond en avant aussi depuis les îles Crozet, quand j’ai commencé à prendre le train de la dépression. Je n’ai pas vu passer le creux de la zone interdite non plus… Je ne réalise tellement pas que je suis à moins de 500 milles du cap Leeuwin … », a-t-il prononcé en préambule d’une interview de 20 minutes, qu’il a accordée à Ouest-France ce dimanche 8 décembre.

À bord de son Imoca Macif, le Havrais de 40 ans ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. D’autant qu’il estime ne pas encore avoir tué le match.
Charlie, avez-vous le sentiment d’avoir touché le jackpot ?

Non, parce que les routages montrent que ça revient par-derrière. Je vois que dès la Tasmanie, mes poursuivants auront réduit leur retard de près de 200 milles. Je n’ai pas pris un système d’avance, ce qui aurait été pas mal et aurait permis d’entériner le truc après tout l’engagement que j’ai mis, tous les efforts pour surfer cette dépression. Mais je ne suis pas déçu, c’est dommage mais c’est comme ça. De toute façon, je préfère être là qu’à leur place (sourire).

Comment aviez-vous analysé et préparé cette option qui vous a permis de prendre le large ?

J’ai passé énormément de temps dessus. Cela a été une grosse prise de tête parce que je savais que l’une ou l’autre des décisions serait très impactante. Je n’arrêtais pas de faire des routages qui allaient vers le nord et vers l’est. Je voyais à quel moment les routes se séparaient donc je savais quand je devais prendre ma décision. La veille d’arriver à ce point-là, j’ai passé 10 heures devant l’ordi à faire des dizaines de routage, à analyser tous les scénarios possibles, les pourcentages de vitesse… Le pire, c’est qu’à un moment, j’avais entériné l’option nord parce que ça ne le faisait plus du tout à l’est. Le lendemain matin, les nouveaux fichiers météo sont tombés et j’ai vu que ça s’était inversé : ça ne le faisait plus du tout au nord, je me faisais rattraper par l’anticyclone, alors qu’à l’est, c’était un peu moins fort que prévu et que ça avait finalement l’air de passer. Le retard entre le nord et l’est était énorme. Je me suis dit : « C’est sûr que c’est risqué, mais il faut que je parte à l’est ! » Donc, j’ai changé d’avis.
Qu’aviez-vous dans chaque plateau de la balance au moment de prendre votre décision ?

Je ne sentais pas du tout la route nord, avec les anticyclones. Je ne voyais pas le projet et pour moi, c’était 700 milles d’écart si j’allais vers le nord plutôt que vers l’est. Je ne pouvais pas faire une croix comme ça sur 700 milles, même si ça allait être un peu engagé. Le fondement du raisonnement, c’était : je préfère aller un peu plus cool si je me fais rattraper par la dépression, que de cravacher au nord pour arriver en retard de toute manière. Je me disais aussi que le bateau souffrirait peut-être plus en essayant de tenir une cadence pour limiter les pertes au nord qu’en prenant la route la plus rapide vers l’est, où je pouvais aller vraiment cool au moment où ça bastonne, en étant sous-toilé. Pour moi, ce n’était pas forcément plus risqué.

Au final, vous avez réussi à rester devant la dépression. C’était donc mieux qu’imaginé ?

Oui, c’est trop bien ! Je pensais me faire happer. Pas longtemps après la prise de décision, alors que j’étais déjà pleinement engagé, un fichier est tombé et il disait que ça ne le faisait plus du tout, que j’allais me faire rattraper super tôt, cartonné. J’avoue que je n’étais pas très rassuré, mais c’était trop tard. Au final, il a fallu se bagarrer, envoyer du bois. Plusieurs fois, j’ai commencé à me faire rattraper. Je sentais que j’étais 10-15 milles en avant du vent faible, ric-rac. Je m’interdisais de faire des changements de voile, il fallait que je m’adapte aux conditions avec la toile que j’avais parce qu’un ralentissement aurait été rédhibitoire. Je me suis vraiment forcé à ne jamais ralentir. Deux fois, j’ai commencé à sentir le vent mollir et je me suis dit que c’était mort. C’est ce qui est arrivé à Seb (Simon), qui s’est arrêté net. Moi, heureusement, à chaque fois je réussissais à repartir. Finalement, ça ne pouvait pas se passer mieux. Quand la zone de glaces a commencé à s’infléchir, le vent a commencé à donner pour moi. Le centre de la dépression a dégagé vers le sud-est et il y a eu une grosse perte de densité. Alors que je m’étais préparé à prendre 45 nœuds, j’ai pris une rafale à 40 et un vent à 35 nœuds. Je m’en sors vraiment nickel !


Si vous n’avez pas pris un système d’avance, Sébastien Simon (2e) est à 250 milles et les autres, à plus de 500 milles. N’est-ce pas quand même énorme ?

C’est vrai que ce n’est pas mal (rires), c’est sûr. Quand tu te rappelles que dans l’Atlantique, j’étais content de gratter 10 milles sur un pointage… Tout est bon à prendre, c’est cool.

Diriez-vous, comme certains, que vous avez désormais un coup d’avance ?

Oui, comme je l’ai déjà dit, c’est mieux d’être là qu’à leur place. Maintenant, il faut juste que j’arrive à maintenir le gap, même si en théorie ils ont moins de route à faire et qu’ils vont prendre le système. Il faut vraiment que je me démerde à maintenir ce gap. Dans ce cas-là, ça le fera !

Ce coup vient-il conclure un premier mois parfait pour vous ?

Je suis content parce que dans l’Atlantique nord, je n’avais pas mon feeling, mon instinct habituel. J’ai pris de mauvaises décisions, j’ai mal géré la première zone de molle, je ne sentais pas le truc. J’ai finalement eu du flair sur un coup dans le pot-au-noir et tout est revenu. Je vois très bien le moment où je suis bord à bord avec Jérémie (Beyou) et où je décide d’empanner parce que je le sens. J’ai eu comme un déclic et j’ai retrouvé mon instinct. Depuis, il ne m’a pas quitté et ça a pas mal déroulé, je n’ai pas fait trop d’erreurs.

Comment va votre bateau ?

Très bien ! J’ai eu une fuite dans mon réservoir de diesel pendant ma course avec la dépression, que j’ai fini d’arrêter. Je n’ai pas perdu grand-chose, ça va. Dans l’Atlantique, j’ai mis un patch sur une voile. Et j’ai eu deux ou trois autres bricoles, mais franchement pas grand-chose.

Vous attendiez-vous à en être là après un mois ?

Je ne sais pas du tout (rires). Franchement, je ne réalise pas du tout que je suis à 830 milles de l’Australie… Le temps s’est mis à accélérer depuis l’équateur, il passe à une vitesse folle. J’ai l’impression d’avoir des journées minuscules. Qu’en ressenti, un jour est trois fois plus court que quand je suis à terre. Cela passe à une vitesse de dingue. Toutes les 12 heures, j’allume mon moteur pour recharger ma batterie et c’est comme si ça revenait toutes les 4 heures… Au point que j’ai même écrit les heures de charge parce que j’avais l’impression d’avoir un problème et que je chargeais trop souvent.

Cela veut-il dire qu’aucune monotonie s’est installée ?

C’est sûr. Vous savez quoi ? J’admire les mecs qui ont le temps d’écouter des podcasts et de regarder des films. Je ne sais pas comment ils font. Je n’ai pas eu une seconde pour ça, j’ai écouté quatre ou cinq fois de la musique depuis le début de la course. Je n’ai le temps de rien, l’impression d’être à la bourre sur tout, tout le temps. Je n’ai pas l’impression de devoir tuer le temps, cette impression de lenteur. Mais c’est peut-être moi qui suis mal organisé (sourire).

Sébastien Simon disait samedi : « J’ai assez vu l’Indien, je suis pressé d’être dans le Pacifique. » Vous aussi ?

Je ne me rends même pas compte que je suis dans l’Indien (rires). Je suis content d’atteindre l’Australie. Dans deux ou trois jours, on est au sud de la Tasmanie. J’ai hâte de passer mon coup de fil traditionnel à mon oncle qui vit à Sydney. Je l’avais fait il y a quatre ans, on s’est parlé depuis je vous rassure, mais je vais pouvoir le rappeler. On aura quand même eu un Indien beaucoup plus cool qu’il y a quatre ans. J’ai plutôt bien géré le froid, il faisait même chaud dans le bateau aujourd’hui. Même quand je suis descendu à pratiquement 50° Sud, ça allait. Alors le Pacifique, pourquoi pas, mais on verra dans quelles conditions on y arrive.

Tout semble quand même aller pour vous dans le meilleur des mondes.

Oui, carrément !

Comment voyez-vous les prochains jours de course ?

Il y a une petite dépression qui passe demain (lundi 9 décembre), avec 40 nœuds dedans. Je vais bientôt commencer à en ressentir les effets. Il faut que je décide comment je la gère et où est-ce que je passe. J’ai de gros choix stratégiques à faire concernant mon placement pour la suite.
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Répondre en citant le message  MessagePosté: 09 Déc 2024 09:38 
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Dalin devrait approcher le record de Le Cléac'h en 2016 au cap Leeuwin qui est de 28 jours 20 h et quelques minutes. Sa vitesse est amoindrie et les écarts en distance plus faibles ce matin mais encore conséquents. Il faudra surtout juger avec le classement en temps au passage de ce cap occidental de l'Australie.


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