Garcimor a écrit:
oligone a écrit:
Mauvaise foi, moi ? Tu plaisantes. Je ne suis pas de ce genre, désolé.
Donc, à la rentrée 2005 : 419 000 enseignants.
Une baisse de 0,…
En revanche, la baisse des effectifs "élèves" dans le second degré est bcp bcp plus importante.
Autre chose, POUR LE SECONDAIRE, alors que le ratio prof / élèves est d'environ 13 pour la moyenne des pays de l'OCDE, en France nous affichons un ratio de … 12.
Désolé. Contre les chiffres, on ne peut rien. Vos critiques systématiques me semblent surtout très politisées… Comme le plus souvent.
Et, comme d'autres l'ont dit, si quantité rimait avec qualité, cela se saurait.
Autre argument qui va à l'encontre de ton argumentation, Oligone, c'est qu'il faut réfléchir sur le long terme.
Une grande partie des enseignants von partir bientôt à la retraite. C'est un des métiers les plus touché par le papyboom et un de ceux qui recrutera le plus dans les années à venir.
Il faut donc anticiper: ne crois-tu pas que recruter seulement quand on en aura besoin est une mauvaise chose ?
Ne crois-tu pas qu'avoir à ce moment des profs avec de l'expérience aurait son avantage dans les 5/10 ans à venir ?
1) "Autre argument". Enlève le "autre", ça m'ira mieux.
J'ai contesté, chiffres à l'appui, le mécontentement des profs sur la baisse des effectifs. Pour moi, c'est une rengaine politico-syndicale qui ne fait que décrédibiliser la profession. Les profs méritent d'autres syndicats, moins politisés.
2) Sur l'anticipation. Dans l'idéal, ce serait mieux en effet, d'anticiper. Mais c'est un autre sujet. Il n'en reste pas moins que le "toujours plus" a bon dos : parler sans arrêt du quantitatif et oublier le qualitatif, c'est un peu facile.
La nouvelle commission mise en place avec Rocard va peut-être permettre de mettre certaines choses à plat…