Le réglage de la tension de surface de la grille d'1 ampli se fait au testeur et sou tension. N'empêche. Pour classes A , B et AB.C je sais pas et à partir de la classe D en en numérique pas besoin de tube sauf étage de préamplification ou de type entrée .
Pour un transistor de pet ça doit pas être nécessaire, mais pour un ampli de type radio -amateur ou guitare, à tube anode ( triode, pentode pour les plus " courantes,

o" et bien en effet tu dois pour étalonner un peu le tube, par rapport à sa douille, régler la tension électrique à la surface de sa grille (dite de surface) où les électrons passent d'un côté à autre du tube : direct en courant continu c'est classe A, sans perte mais qui chauffe fort, c'est normal ce n'est que résistance (Ohm) et le fil grille chauffant et rougeoyant .
La mise sous tension est nécessaire afin que le courant passe dans le tube
Ensuite un testeur consulter le courant aux bornes du tube ce qui permet de tourner la vis dans 1 sens où 1 autre pour que la tension soit conforme à ma tension de surface de la grille conseillée par le constructeur ou réputée idéale. Finalement, l'oreille interviendra pour arbitrer en dernier lieu dans la recherche de la sonorité recherchée.
Un tournevis isolé est là, vous le pressentez je suppose, évidement indispensable.
Quand au défilement il faut ouvrir et faire défiler pour voir où et pourquoi ça peut coincer.
Désolé les gars, quand je vous dits que les petit métiers se perdent. Un rare exemple ou la manip les doigts dedans se fait "wired"...
Quelqu'un a des nouvelles du petit magasin d'ampoule en face du château ? Kebab ou resto vegan ? La petite dame a déjà du prendre sa retraite.... Plus personne pour s'epater de voir un tube Mazda ref. inconnue jusque là ? D'un Matra-CSF, à gaz rares, qui servait dans 1 satellite ou 1 Mirage et dont on peut, ironiquement, utiliser les capacités pour améliorer le son du mp3 de la savane qu'on vient de découvrir grâce au montage dédié ?
Tant pis...tant mieux.