Magenta a écrit:
Des nouvelles de Basile ? Je commence à m'inquiéter.
Il a dit qu'il partait dans la Pampa cet été, rejoindre une communautés de Shakers, en pensant boire des cocktails.
Manque de bol, il est revenu avec au moins 3 femmes -à chaque bras-, en secouant les mains en l'air, mâchant ses glaçons, en chantant "Je renaîs " sur du gospel.
Si il fait semblant, il est très fort. À son retour il avait toujours l'air aussi fou.
Il affirmait que Malherbe était l'équipe de L2 dont le coef. Elo avait le plus augmenté, depuis la reprise , tout comme le SPI de 538.
Ajoutant à cela une place de dauphin au général, il parlait d'un Malherbe dans l'élite dès la fin de la 38eme journée de l'actuelle saison.
Malherbe, lui répondis-je. Ne te sens tu point fou ?
Sa réponse, avare de mots mais fortement sonore en bruit de glaçons mâchés, fit froid dans le dos.
Ça faisait longtemps, me dis-je. Mais comment fait-il ?
Je transmet, il salue le forum entre 2 bacs à glaçons et remercie ceux qui s'inquiètent pour lui en soulignant qu'il avait plus ou moins annoncé un été, au moment de la trêve sans trop de connection sauf pour le Tour de France et sans toutefois exclure une lecture du Forum à l'orée de la reprise si un accès dans la Pampa le lui permettait et un petit bilan tôt dans la saison pour commenter la confirmation de la bonne dynamique de Malherbe entamée sur la dernière partie de la précédente. Jusqu'à l'annonce du mercato MPG.
Et il mâche des glaçons pour souhaiter de bonnes vacances pour les plus chanceux et un bon été aux autres, même si la pluie arrive.
À ce que j'ai compris il évitera la région toulousaine ce week-end, à cause des orages qu'il pressent, avec le flux nord humide qui formera des nuages, du nord-ouest au sud-ouest au long de terres sèches au nord à des températures de plus en plus caniculaires au sud, et qui viendront s'accrocher et gonfler sur les Pyrénées, ce qui donnera de gros points de saturation d'humidité et de pression (≠ de potentiel augmenté donc éclairs) au sein de cumulus.
La conséquence' risque d'être de fortes pluies sur un sol sec et qui n'a pas eu d'infiltration d'eau depuis des semaines voire des mois. Ainsi l'eau ne connaissant plus le chemin des nappes phréatiques, elle ruissellera le plus bêtement du monde, occasionnant un risque d'inondations ( fortes pluies d'orages aux dommages accentués par des terres sèches et compactes ayant oublié leurs propriétés de principes osmotiques de turgescence et plasmolyse comme la capillarité d'un mur, par exemple ), pouvant aboutir à des crues.
Attention quand même, Reynet lance Dijon dans la légende.