bigdudu a écrit:
pascal francois II a écrit:
bigdudu a écrit:
Il est facile de prévoir que des favoris ne seront pas médaillés et que des non favoris le seront car ça arrive à chaque fois mais il est plus difficile de savoir sur lesquels ça tombera. Les médailles, sauf catastrophes en série (comme aujourd'hui ?) il y en aura au moins 35.
Bigdudu , je sais, mais le problême français , on a gagné avant l heure , toujours de la suffisance!
Le problème français, c'est surtout faire des réflexions comme ça. Mais pas seulement en fait. Hier au golf, mon partenaire de jeu Hollandais m'a dit " c'est typiquement hollandais " à propos de la Hollandaise qui avait levé les bras en croyant gagner. Je lui ai dit que si ça avait été une Française, plein de gens auraient dit " c'est typiquement français ". Les sportifs, eux, savent bien que rien n'est gagné ou perdu d'avance, favori ou pas. Il est normal de faire des prévisions en tenant compte des résultats passés et ne pas considérer Riner ou l'équipe de sabre comme favoris serait une erreur professionnelle pour les journalistes.
+1 avec Bigdudu, il n'y a aucune arrogance de voir en favoris logiques des sportifs qui dominent leur sport. Par contre on peut pointer un manque de moyens rédhibitoires au niveau des structures ou des salaires. Un exemple criant est celui des maitres d'arme tricolores qui sont les plus demandés au monde faut de moyens pour les retenir. Résultat, on voit arriver des vénézuéliens, des chinois ou d'autres nations inconnues pour ces épreuves faire des podiums.
En volley, je me souviens aussi - il me semble - qu'il a fallu demander au kiné de l'équipe italienne de s'occuper de nos joueurs. En water-polo c'est également édifiant car il n'existe pas encore de bassins spécialement dédiés. Ce sera chose faite avec Paris.
Le grand paradoxe ceci-dit est de disposer d'une structure unique au monde comme l'INSEP et ne pas sortir finalement plus de médaillés.