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On se souvient mieux des choses de sa jeunesse un peu comme vous décrivez : moins de place c'est vrai, on decouvre les premières choses donc mieux mémorisées .
Tout ça ne pourrait-il pas s'expliquer par le fait qu'un cerveau jeune ne perd pas de neurones et au contraire en fabrique. De plus l'émotion des poussées hormonales rend les expériences plus marquantes.
Les neurones permettraient un meilleur stockage en en fabriquant (ado) et en perdant pas trop (25 ans)...après, nonobstant le nombre de neurones, la mémoire serait aussi limitée par l'accumulation de souvenir, alors qu'à ce moment il y aurait besoin de plus de place.
Les neurones.

Baradoxalement, il boit.

Je viens de m'infliger le résumé vidéo, et découvrir le nouveau chef d'œuvre de Francis Weber (dans la lignée de "La chèvre", "le diner de cons", "tais-toi", "la doublure", ou encore "le grand blond"...)
J'aurai préféré une suite au "Jaguar" et qu'on ait plus droit à un Patrick Bruel sous amphétamines qu'à Pierre Richard, mais malheureusement... le sens de l'urgence, du sauvetage, la réaction du joueur... j'éspère qu'on aura droit au "placard" du coup?

Qu'on me range cette grande merguez au frais pour toujours, s'il vous plait.

Ni fait ni Weber.

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J'ai goûté une mangue. En Colombie. Après une heure et demi de balade à cheval.

C'est clair mais Péan aurait aussi dû se freiner, d'autant que le Sochalien est loin d'être en position de marquer.

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Kikapété de platine

Oui, c'est les deux, mais forcément, on est un peu plus indulgent envers Péan de par sa jeunesse. Mais il se rate bien aussi.

Weber, c'est vraiment dans la tête je crois, il est au 36e dessous le garçon, il ne fait pas un mauvais match fondamentalement mais il y a toujours un moment où ça craque, une sorte de petite absence, et ça gâche tout.

C'est exactement ça pour Weber,en plus c'est pratiquement le seul qui a un semblant de relance,parce que celle de Rivierez ,elle fait vraiment peur pour un joueur "pro".

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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con.

Sauf qu'on perd l'adresse du stockage, pas le stockage. C'est comme pour les objets, ils existent toujours mais on ne sait plus où ils sont. De la place il y en a toujours.

Comme quand on écrit un chapitre par jour, ça finit en pavé, mais les pages sont pas reliées et pouf...un courant d'air mélange tout...