www.forumsmc.com

En revanche, le côté cavale me semble fascinant. Comment peut-on encore disparaitre dans ce village planétaire où tout est surveillé, connecté, répertorié, comptabilisé ? S'extraire de ce monde de plus en plus totalitaire, échapper au contrôle social et à la propagande idéologique, c'est de l'ordre du fantasme.

Si c'est un "principe" dans la plupart des médias, c'est peut-être aussi parce que ça correspond à un goût du public, donc de nous, de manière collective. ça parait compliqué de pointer du doigt des comportements et dérives supposées sans prendre en compte le contexte sociétal donc les gens.

En revanche, le côté cavale me semble fascinant. Comment peut-on encore disparaitre dans ce village planétaire où tout est surveillé, connecté, répertorié, comptabilisé ?

Attention c'est ma théorie complexe :

Parce qu'il s'est suicidé en avril 2011 dans un coin retiré du Var.
(Bon, c'est la cote à 1.01 en même temps)

edit : désolé Abid je n'ai lu ton message qu'après.

Désolé Guigui mais non.

Il a trop bien préparé ca pour se suicider comme un malpropre dans une cavité de la campagne varoise.

Comme je l'ai entendu recemment, ce genre de personne ne se suicide pas. Il doit etre couvert par une maîtresse qu'il avait.

Désolé Guigui mais non.

Il a trop bien préparé ca pour se suicider comme un malpropre dans une cavité de la campagne varoise.

Comme je l'ai entendu recemment, ce genre de personne ne se suicide pas. Il doit etre couvert par une maîtresse qu'il avait.

Ma situation est plus que précaire et je préfère prendre des précautions au cas où... et vous donner des instructions à l'avance.

Si ça tourne mal, je n'ai que deux solutions :

– me foutre en l'air avec ma voiture (assurance : 600 000 € pour Agnès pour élever les enfants)

– foutre le feu à la baraque quand tout le monde dort (plus aucun problème pour personne)

Je m'en suis sorti en juin dernier grâce à Mathilde, en janvier dernier grâce à Dominique et une amie d'Agnès, et hier grâce à Bertram (ami de Corinne)

Les nouvelles lois concernant la sécurité dans les hôtels rendent l'activité de la rdc et de Selref quasiment impossible, et si le partenariat agapa/rdc ne vois pas le jour pour une raison X ou Y... c'est la fin des haricots : personne ne pourra me fournir 8 000 € par mois... !!!

En un seul mois, je suis à la rue et ma famille meurt de faim !

Je serai donc fin août – début septembre, au pied du mur avec une décision définitive à prendre : suicide seul ou suicide collectif...

Mais bien sûr, il ne s'agit que de précautions : ne vous affolez pas !!

J'ai bon espoir de m'en sortir avec la synergie agapa/rdc (voir pièce jointe)

Gardez ce document (dispositions.doc) et n'en parlez à personne.

Je compte sur vous.

Xav

(ps : je suis très sérieux, lucide, et sous l'emprise d'aucune drogue ni d'aucun alcool)

Si c'est un "principe" dans la plupart des médias, c'est peut-être aussi parce que ça correspond à un goût du public, donc de nous, de manière collective. ça parait compliqué de pointer du doigt des comportements et dérives supposées sans prendre en compte le contexte sociétal donc les gens.

Bien sur, je ne dit pas le contraire. Ceux qui consomment sont aussi coupables que ceux qui vendent.

et +1 avec rix également.

Pour arcisse, je m'informe effectivement très peu de ce qui se passe dans un univers qui m'est assez éloigné. J'ai plutôt tendance à rechercher les informations qui me sont utiles, où proche.
Les informations qui ne touchent pas mon quotidien ne m'intéresses que très peu. Je pense qu'avoir trop d'informations éloignées de soi nous déconnecte de la réalité de notre quotidien. Et par conséquent nous donne des comportements inadéquat avec la situation réel dans laquelle nous vivons. Et qu'il est quasiment impossible d'avoir ces informations sans les prendre en compte.

Je pense par exemple que le sentiment d'insécurité(qui vaut aussi pour le principe de l'effondrement) que l'on retrouve de plus en plus dans les comportements est exacerbé par rapport à la réalité.

La solution la plus simple est de mourir sans laisser de traces. Si ça se trouve on cherche un fantôme depuis le début.
Ensuite, peut être que le « village planétaire » n’est pas autant surveillé connecté qu’on se l’imagine.
Et il est peut être plus facile d’échapper aujourd’hui au contrôle social, qu’il y a 60 ans où fallait donner son nom à la concierge en rentrant dans un immeuble, où la police relevait toutes les entrées dans les hôtels où on pouvait plus facilement bloquer les frontières, et où un horsain était de suite repéré dans n’importe quel coin de campagne.
Disparaître des radars n’est peut-être pas si compliqué que ça.