the pleurnicheuse a écrit:
Olaf qui gueule sur les couleurs du maillot sur FFBN

Olaf cite le "bleu Roi" en opposition à celui du maillot 19-20, mais cette teinture est spécifiquement celle proposée par Umbro et revendiquée par la Garde Nationale (ça devrait lui plaire).

On le rappelle systématiquement ici, mais les couleurs proposées par Umbro sont relativement proches des teintes (originelles) du premier logo.

D'ailleurs, concernant le recours à la forme simplifiée du logo (autrement dit le blason, pour faire court), j'imagine qu'il ne s'agit pas seulement de répondre à des obligations techniques. Si cette version est utilisée sur une majorité de supports depuis plusieurs saisons, c'est probablement pour mieux affirmer l'identité viking.
Sans vouloir entrer dans les coulisses… En phase de conception du logotype, une version texte « SM Caen » est écartée, au profit d’une forme plus élaborée « Stade Malherbe Caen - 1913 ». En 2016, au moment de la révélation du logotype, l’appellation complète est donc privilégiée dans un réflexe identitaire. D’un point de vue pragmatique, il s’agit aussi de mettre en avant le territoire : la ville de Caen (ce qui reste discutable). Du coup, la reproduction du logotype en devient beaucoup plus technique. Une stratégie de simplification progressive est donc entamée dès sa création.
Alors certes, simplifier le logotype facilite son utilisation, sa diffusion ou sa reproduction. Et la soustraction du texte offre un meilleur impact visuel. Mais la focalisation sur le visage viking renforce aussi l’imagerie «conquérante». Less is mord plus fort.
La simplification répond donc a un objectif de lisibilité, à un souci d'impact visuel et au besoin de renforcer de l'imaginaire de la marque. C'est un phénomène courant en matière d'identité visuelle. On compte d'ailleurs un nombre non négligeable de clubs pro, évoluant parmi les 5 championnats européens, dont les maillots officiels sont marqués d’un simple insigne, sans recours explicite au nom du club. On peut citer Wolverhampton, l'Atlético de Madrid, le Genoa ou l'Eintracht Francfort, entre autres exemples marquants.

On peut en conclure que Malherbe bosse sérieusement son identité
