14:01 - Seube (Caen) : "Une grosse pensée pour la famille de Sala" La réaction de Nicolas Seube, qui a également côtoyé Emiliano Sala au SM Caen, toujours dans les colonnes de Ouest France : "Je ne sais pas quoi dire, c'est terrible... C'est un garçon hyper attachant, les circonstances du drame sont tellement particulières. J'ai surtout une grosse pensée pour sa famille". De son côté, Fabien Mercadal, l'actuel coach du club normand, a confié : ""Le vestiaire était très marqué. Je n'ai pas connu l'homme mais j'ai vu qu'il était très apprécié à Caen, par les joueurs et aussi par le personnel administratif".
13:56 - Bammou à propos de Sala : "C'est un mec en or" Yacin Bammou, qui évolue aujourd'hui à Caen et qui s'était lié d'amitié avec Emiliano Sala lors de son passage à Nantes, s'est lui aussi confié à Ouest-France après l'annonce de cette disparition d'avion qui fait craindre le pire pour l'attaquant argentin : "Je n'y crois pas. J'ai reçu pas mal de messages de proches, d'anciens joueurs de Nantes, et la première chose que j'ai faite, ça a été d'appeler Valentin Rongier dont je suis très proche. C'est très dur aujourd'hui, on ne sait pas encore ce qui s'est passé, c'est très dur pour moi. On s'était eu sur les réseaux sociaux il y a deux jours... C'est un mec en or, avec un gros cœur, qui a un sens du partage collectif. J'ai une grosse pensée pour ses proches. j'ai essayé de m'entraîner sans y penser ce matin, mais quand c'est un ami proche, c'est très difficile pour le corps et le mental".
13:52 - Garande, ancien entraîneur de Sala : "Je n'arrive pas à y croire" Patrice Garande, qui a eu Emiliano Sala sous ses ordres à Caen il y a quelques années, réagit également au drame ce mardi. "Je suis devant les infos depuis ce matin, j'attends, je n'arrive pas y croire, je ne peux pas, ce n'est pas possible, a-t-il confié à Ouest France. J'ai toujours eu des relations particulières avec mes avant-centres, et avec Emiliano, ce furent six mois de bonheur absolu, sur le terrain et en dehors. C'est dur de trouver les mots, c'est un très gros choc. Je me souviens de notre première discussion quand il est arrivé en janvier 2015, pourquoi on le prenait... Il était reparti après à Bordeaux, on l'avait rappelé pour essayer de le faire revenir avant qu'il ne signe à Nantes... Il a toujours été conforme à ses paroles dans ses actes, une générosité incroyable. Je ne lui ai pas vu un seul défaut. J'ai toujours espoir, ce n'est pas possible".
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