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Forum des supporters du Stade Malherbe Caen
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Homophobie: face aux clichés de jeunes apprentis footballeurs

Alors que les actes homophobes se multiplient en France, le Stade Malherbe Caen a décidé d'agir en sensibilisant les jeunes de son centre de formation avec l'aide de SOS Homophobie. L'Équipe a suivi cet atelier.

« Ils ne sont pas comme nous. » « Ils sont bizarres. » « C'est pas normal, il y a tellement de belles femmes dans le monde. » Dans la salle de restauration habituellement réservée aux membres du staff du Stade Malherbe Caen, les clichés fusent. « Ça se voit qu'un garçon est gay. Il met des talons, une jupe. » « Il est maniéré, dans sa façon de parler ou de marcher. » Franck Hervé et Marion Delporte, bénévoles à SOS Homophobie, restent sereins. Ils sont justement venus ce mardi à Caen pour déconstruire ces clichés homophobes. Et plus la parole est libérée, mieux ils font leur travail.

Autour d'eux, placés en cercle, vingt joueurs du centre de formation, âgés de dix-sept et dix-huit ans. Assis sur des chaises rouges, ils ont tous l'uniforme du parfait footballeur : survêtement aux couleurs du club, chaussettes blanches et claquettes. L'ignorance des discriminations est leur autre point commun. Ils arrivent à en citer deux : le racisme et le sexisme. Un d'entre deux parle de « terrorisme » pour la discrimination des musulmans, provoquant un énorme éclat de rire dans la salle. « C'est l'islamophobie », corrige un de ses coéquipiers. L'antisémitisme devient « juifhomophobie ». Nouvel éclat de rire. L'homosexualité ? Leur manque de connaissance est total. Karl (*) reconnaît qu'ils « n'en ont jamais parlé à l'école ». C'est notamment pour cette raison qu'Anthony Boisseau, chargé de la mise en oeuvre des actions éducatives au centre de formation caennais, a activé cet atelier proposé par le Fondaction du football dans le cadre d'Open Football Club. « La saison passée, j'ai discuté avec certains jeunes à la suite de l'envoi d'un questionnaire sur l'homosexualité et j'ai été effaré par leurs réponses. Ils m'ont sorti des choses atroces. Il fallait absolument faire quelque chose. »

La séance se déroule bien. Les footeux sont à l'écoute, actifs et curieux. Ils se prennent toutefois la tête sur une question philosophique. « On ne peut pas naître gay, c'est pas possible d'être homosexuel naturellement ! » s'énerve Mickaël. Patrick lui répond : « Mais si tu peux ! » Les deux intervenants calment le jeu, avant que Karl ne mette tout le monde d'accord : « Être homo, ce n'est pas un choix, c'est une attirance. » La bénévole de SOS Homophobie apprécie : « On avance. »

« Ça changerait quoi sur un terrain ? -Si c'est mon capitaine, il ne pourra pas me donner des ordres » - Un joueur du centre de formation

Franck les interroge alors sur sa propre orientation sexuelle. « À vue d'oeil, je dirais que vous êtes hétéro monsieur. » « Ça se voit ! » Ils sont tous d'accord. « Vous avez tout faux. Je suis homosexuel. » Ils refusent de le croire. « C'est joué, c'est sûr. » Ils lui demandent une preuve. Pour la première fois depuis qu'il anime ces ateliers, Franck doit appeler son mari devant toute la salle, sur haut-parleur. « Ouah, il l'appelle bébé », hallucine l'un d'eux. À cet instant, un basculement s'opère. Ils s'aperçoivent qu'un homosexuel n'est pas forcément « maniéré ». Marion leur pose la même question. Ils sont perturbés. N'arrivent pas à se prononcer. Elle leur répond par l'affirmative.

Franck leur parle de sa vie. Ils lui demandent comment sa famille a réagi. « Ma mère m'a amené chez le psy parce que c'était une maladie. » « N'importe quoi », s'offusque Patrick. Ils lui posent plusieurs questions très personnelles (son premier copain, le sexe) auxquelles Franck répond, sans tabou. Il leur apprend qu'il ne se promène plus main dans la main avec son compagnon. « Bah pourquoi ? » « Faut le faire monsieur. » Marion leur explique que les agressions homophobes se sont multipliées en France. « Vous en avez déjà subi ? leur demande Patrick. Il faut être fort mentalement. » Anthony, leur éducateur, intervient. Il leur raconte une histoire très personnelle et leur demande, non pas de changer, mais de s'ouvrir et de respecter les autres. « Le plus important dans la vie, reprend Marion, c'est d'être heureux et bien dans sa peau. » Patrick est touché : « Je suis content pour vous. » Et touche les deux bénévoles : « Vous avez déjà souffert de l'homophobie ? Ça me ferait mal de vous voir souffrir. Vous vous cachez. Ça m'énerve, vous n'avez pas à vous cacher. »

Marion évoque un sujet tabou : l'homosexualité dans le football. « Ça n'existe pas », affirme un des jeunes. Marion leur assure que c'est le cas et leur demande pour quelles raisons les footballeurs ne font pas leur outing. « Ils se cachent, ils ont peur. » « Le terrain, aussi. » Ça changerait quoi, leur orientation sexuelle sur un terrain ? « Si c'est mon capitaine, il ne pourra pas me donner des ordres », répond Brice. « Pour moi, il fait ce qu'il veut. Je le considérerais comme tout le monde », rétorque Patrick. Pierre abonde : « Sur le terrain, je ne calcule pas. Ça ne me dérange pas. » Il serait toutefois moins magnanime s'il apprenait qu'un de ses potes du centre de formation était homo. « S'il vient et se colle à moi, je vais être mal à l'aise. » « Ce n'est pas parce qu'il est gay qu'il va essayer de se taper tout le groupe », leur apprend Franck. « Moi, je suis un gros boss. C'est sûr qu'il va me gérer », fanfaronne Mickaël. Qui couperait les ponts si un tel cas se produisait. Trois autres joueurs l'imiteraient.

Les autres se montreraient plus ouverts : « Ça ne changerait rien. C'est sa vie. » Les bénévoles leur posent une dernière question : « Si votre coéquipier se suicide parce que vous l'avez rejeté, vous réagiriez comment ? » Stupeur dans la salle. « Je m'en voudrais, je culpabiliserais », répondent plusieurs joueurs en même temps. « Je serais mal, assure Patrick. Je l'aurais rejeté et je n'aurais pas dû. » Si certains sont restés fermés sur la question, la plupart ont eu un déclic cet après-midi-là. Et, selon leurs dires, aucun n'agresserait un homosexuel. L'objectif de cet atelier.

(*) Les prénoms ont été modifiés à la demande du club.

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Super on va bientôt se retrouver avec 11 pédés sur le terrain.

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Moriarty a écrit:
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Homophobie: face aux clichés de jeunes apprentis footballeurs

Alors que les actes homophobes se multiplient en France, le Stade Malherbe Caen a décidé d'agir en sensibilisant les jeunes de son centre de formation avec l'aide de SOS Homophobie. L'Équipe a suivi cet atelier.


« Ils ne sont pas comme nous. » « Ils sont bizarres. » « C'est pas normal, il y a tellement de belles femmes dans le monde. » Dans la salle de restauration habituellement réservée aux membres du staff du Stade Malherbe Caen, les clichés fusent. « Ça se voit qu'un garçon est gay. Il met des talons, une jupe. » « Il est maniéré, dans sa façon de parler ou de marcher. » Franck Hervé et Marion Delporte, bénévoles à SOS Homophobie, restent sereins. Ils sont justement venus ce mardi à Caen pour déconstruire ces clichés homophobes. Et plus la parole est libérée, mieux ils font leur travail.

Autour d'eux, placés en cercle, vingt joueurs du centre de formation, âgés de dix-sept et dix-huit ans. Assis sur des chaises rouges, ils ont tous l'uniforme du parfait footballeur : survêtement aux couleurs du club, chaussettes blanches et claquettes. L'ignorance des discriminations est leur autre point commun. Ils arrivent à en citer deux : le racisme et le sexisme. Un d'entre deux parle de « terrorisme » pour la discrimination des musulmans, provoquant un énorme éclat de rire dans la salle. « C'est l'islamophobie », corrige un de ses coéquipiers. L'antisémitisme devient « juifhomophobie ». Nouvel éclat de rire. L'homosexualité ? Leur manque de connaissance est total. Karl (*) reconnaît qu'ils « n'en ont jamais parlé à l'école ». C'est notamment pour cette raison qu'Anthony Boisseau, chargé de la mise en oeuvre des actions éducatives au centre de formation caennais, a activé cet atelier proposé par le Fondaction du football dans le cadre d'Open Football Club. « La saison passée, j'ai discuté avec certains jeunes à la suite de l'envoi d'un questionnaire sur l'homosexualité et j'ai été effaré par leurs réponses. Ils m'ont sorti des choses atroces. Il fallait absolument faire quelque chose. »

La séance se déroule bien. Les footeux sont à l'écoute, actifs et curieux. Ils se prennent toutefois la tête sur une question philosophique. « On ne peut pas naître gay, c'est pas possible d'être homosexuel naturellement ! » s'énerve Mickaël. Patrick lui répond : « Mais si tu peux ! » Les deux intervenants calment le jeu, avant que Karl ne mette tout le monde d'accord : « Être homo, ce n'est pas un choix, c'est une attirance. » La bénévole de SOS Homophobie apprécie : « On avance. »

« Ça changerait quoi sur un terrain ? -Si c'est mon capitaine, il ne pourra pas me donner des ordres » - Un joueur du centre de formation

Franck les interroge alors sur sa propre orientation sexuelle. « À vue d'oeil, je dirais que vous êtes hétéro monsieur. » « Ça se voit ! » Ils sont tous d'accord. « Vous avez tout faux. Je suis homosexuel. » Ils refusent de le croire. « C'est joué, c'est sûr. » Ils lui demandent une preuve. Pour la première fois depuis qu'il anime ces ateliers, Franck doit appeler son mari devant toute la salle, sur haut-parleur. « Ouah, il l'appelle bébé », hallucine l'un d'eux. À cet instant, un basculement s'opère. Ils s'aperçoivent qu'un homosexuel n'est pas forcément « maniéré ». Marion leur pose la même question. Ils sont perturbés. N'arrivent pas à se prononcer. Elle leur répond par l'affirmative.

Franck leur parle de sa vie. Ils lui demandent comment sa famille a réagi. « Ma mère m'a amené chez le psy parce que c'était une maladie. » « N'importe quoi », s'offusque Patrick. Ils lui posent plusieurs questions très personnelles (son premier copain, le sexe) auxquelles Franck répond, sans tabou. Il leur apprend qu'il ne se promène plus main dans la main avec son compagnon. « Bah pourquoi ? » « Faut le faire monsieur. » Marion leur explique que les agressions homophobes se sont multipliées en France. « Vous en avez déjà subi ? leur demande Patrick. Il faut être fort mentalement. » Anthony, leur éducateur, intervient. Il leur raconte une histoire très personnelle et leur demande, non pas de changer, mais de s'ouvrir et de respecter les autres. « Le plus important dans la vie, reprend Marion, c'est d'être heureux et bien dans sa peau. » Patrick est touché : « Je suis content pour vous. » Et touche les deux bénévoles : « Vous avez déjà souffert de l'homophobie ? Ça me ferait mal de vous voir souffrir. Vous vous cachez. Ça m'énerve, vous n'avez pas à vous cacher. »

Marion évoque un sujet tabou : l'homosexualité dans le football. « Ça n'existe pas », affirme un des jeunes. Marion leur assure que c'est le cas et leur demande pour quelles raisons les footballeurs ne font pas leur outing. « Ils se cachent, ils ont peur. » « Le terrain, aussi. » Ça changerait quoi, leur orientation sexuelle sur un terrain ? « Si c'est mon capitaine, il ne pourra pas me donner des ordres », répond Brice. « Pour moi, il fait ce qu'il veut. Je le considérerais comme tout le monde », rétorque Patrick. Pierre abonde : « Sur le terrain, je ne calcule pas. Ça ne me dérange pas. » Il serait toutefois moins magnanime s'il apprenait qu'un de ses potes du centre de formation était homo. « S'il vient et se colle à moi, je vais être mal à l'aise. » « Ce n'est pas parce qu'il est gay qu'il va essayer de se taper tout le groupe », leur apprend Franck. « Moi, je suis un gros boss. C'est sûr qu'il va me gérer », fanfaronne Mickaël. Qui couperait les ponts si un tel cas se produisait. Trois autres joueurs l'imiteraient.

Les autres se montreraient plus ouverts : « Ça ne changerait rien. C'est sa vie. » Les bénévoles leur posent une dernière question : « Si votre coéquipier se suicide parce que vous l'avez rejeté, vous réagiriez comment ? » Stupeur dans la salle. « Je m'en voudrais, je culpabiliserais », répondent plusieurs joueurs en même temps. « Je serais mal, assure Patrick. Je l'aurais rejeté et je n'aurais pas dû. » Si certains sont restés fermés sur la question, la plupart ont eu un déclic cet après-midi-là. Et, selon leurs dires, aucun n'agresserait un homosexuel. L'objectif de cet atelier.

(*) Les prénoms ont été modifiés à la demande du club.


Merci

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18cher, le 25/03/2017 : "+ 1 , ça devient fatiguant les leçons de morale ici"


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Nov 2018 09:11 
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Merci Jojo.
Tu m'as devancé de peu.

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D'ailleurs, on en a jamais parlé mais quid de Gilles Sergent au niveau de la confiance dans un coach ?

On savait que Fortin marchait à l'affectif et que ca n'était pas dans son ADN de virer en coach.

Mais pour Sergent, on n'en sait rien non ? Serait il comme un Kita à changer d'entraîneur comme de chaussettes ou serait il un Fortin bis ?


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J'aurais tendance à penser qu'il s'approche plus d'un Fortin, mais il n'aura peut-être pas autant de patience que lui. En tout cas la question ne se pose absolument pas aujourd'hui.

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ampli-reglage de la vis de tension de surface de la grille d'une anode comme la phase bias, obligé en tension tout autant que comme mécaniques de transport-déroulement de bande


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Messages: 17121
M 'étonnerait qu 'il garde un entraîneur 6 ou 7 ans :mrgreen:
D ' ailleurs , où voit - on encore ça au plus niveau professionnel européen ?
L 'entraîneur de Dijon me vient là , tout de suite à l 'esprit


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En même temps, malgré toute la confiance que j'ai en Mercadal, si les résultats ne suivent pas et que le club s'embourbe dans les tréfonds du classement, il serait bon d'envisager un changement.

Le gros problème dans le cas de l'espèce, ce n'est pas l'entraineur mais certains joueurs de l'effectif qui n'ont pas le niveau.


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Messages: 3172
.

_________________
Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....


Dernière édition par rix le 04 Sep 2019 22:16, édité 1 fois.

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rix a écrit:
Aleph a écrit:
En même temps, malgré toute la confiance que j'ai en Mercadal, si les résultats ne suivent pas et que le club s'embourbe dans les tréfonds du classement, il serait bon d'envisager un changement.

Le gros problème dans le cas de l'espèce, ce n'est pas l'entraineur mais certains joueurs de l'effectif qui n'ont pas le niveau.


Comme souvent, en cas de mauvais résultats on vire l'entraineur qu'on avait auparavant porté aux nues, parce qu'on ne peut pas virer les joueurs qui n'ont pas le niveau et que les dirigeants n'assument pas leur mauvais recrutement.

A peu près tous les entraineurs se sont déjà fait virer au moins une fois, pourtant il n'y a sans doute pas 99% d'incompétents dans cette profession. En plus, sur la durée les résultats ne sont souvent pas meilleurs avec le nouvel entraîneur.


C'est ma crainte actuelle. L'issue serait dramatique si les résultats ne s'améliorent pas.

La mauvaise passe est en grande partie le fait de performances individuelles médiocres et on ne pourra rien faire contre ça. Le seul levier sera le changement d'entraineur qui ne transformera pas, de manière intrinsèque le niveau des joueurs.


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Quand tu vois Nantes qui mettait pas un pied devant l'autre avec Cardozo et qui marche sur l'eau depuis l'arrivée de coach Vahid, ca n'est pas seulement une question de niveau des joueurs mais surtout de mental et de motivation.


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C’est surtout que en L1, les 16 joueurs réguliers des équipes qui finissent de la 20e à la 5e place se valent. La différence va se faire dans la tête, la condition physique, l’osmose entre joueurs, l’adhésion au discours du coach...
Donc Malherbe peut encore aussi bien finir 7e que 19e.

Signé Jean-Michel Poncif.

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Ou même 6e ou 20e.

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