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Mais oui Hervé David et son coefficient de" spectacularite" qui m'a fait aimer le Stade Malherbe !
(D'où sans doute mon côté ronchon/nostalgique aujourd'hui)

Bon, Davy , mais il n'y avait pas internet pour vérifier à l'époque...

Legorju à l’exterieur sur Radio France Normandie Caen, et le multiplex Inter Football France Football de Vendroux en Grandes Ondes comme BigD, pour les matchs à la maison.
Et plus tard, choper les résultats lors des flashs infos de France Info après 01h00 du mat’ sauf qu’ils prenaient pas la peine d’égrener tous les résultats.
J’en connais qui utilisait le Télétexte.

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Make Le Forum great again !

A partir de la page 351 sur le télétexte de France 2, je m'en souviens encore (la page d'accueil sport était 301).

T'étais fébrile devant le Télétexte quand tu revenais de soirée... Quelquefois je mettais même mon doigt sur l'écran au niveau du score pour le dévoiler doucement.

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tu ferrais bien de t'y mettre à la rando, sinon tu vas finir au Cap d'Agde comme bouée tractée !

J’allais évoquer Vendroux et le télétexte, donc tout comme Abidbol.

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Prions l'atome.

J'avais complétement oublié ce truc-là. Je ne pense pas l'avoir utilisé souvent, voire jamais.
Pour le multiplex, je l'écoutais déjà sur Inter quand j'étais ado.
"Si des pays plus toqués de foot que la France ont adopté ce format dès les années 1950, le premier multiplex français digne de ce nom, baptisé à l’époque Interfootball, date du mois d’août 1972.

Doyen des journalistes de Radio France en activité, Jacques Vendroux, toujours fidèle au poste et au multiplex (sur France Info depuis août 2009), est à l’origine de l’aventure. "En avril 1972, jeune journaliste, je vais à Saint-Etienne commenter un match. Sur France Inter, je ne faisais que des flashes de trente secondes à 20 heures, à 21 heures et à 22 heures, et je rapportais deux sons pour les journaux du lendemain. En fait, je m’ennuyais. Le lendemain, je vais voir Roger Rocher, président du club stéphanois, et lui soumets l’idée d’un multiplex. Il est partant, et quelques heures plus tard nous avons rendez-vous, à la Ligue, avec Jean Sadoul, véritable parrain du football français à l’époque, qui donne son accord."

Pour Jacques Vendroux, reste le plus difficile, à savoir convaincre sa hiérarchie. On le prend d’abord pour un jeune fou qui veut dilapider l’argent du service public en envoyant, sur chaque match de première division, un journaliste et un technicien. Mais il défend bien son dossier, et l’honorable maison donne son feu vert, lançant même une campagne de publicité très offensive pour l’époque, avec comme slogan : "Le foot, c’est sur France Inter !"

L’aventure du multiplex est née, adoptée au fil du temps par d’autres stations. "

Photo datant de 2010 , où il avait donné le coup d 'envoi et où le club l 'avait " honoré " pour son départ en retraite
Je me souviens bien de ce match
En 2003 je crois , il était venu avec nous dans le bus sur la route d ' Amiens ( match sur terrain neutre contre Lorient )
Bons souvenirs

Sur notre vieille télécommande il fallait appuyer comme un âne sur les boutons pour espérer changer de chaîne, alors taper 3-5-1 le plus rapidement possible c'était un putain de calvaire, avec la peur au ventre et le rythme cardiaque qui accélérait à mesure que s'affichait la page ...

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ampli-reglage de la vis de tension de surface de la grille d'une anode comme la phase bias, obligé en tension tout autant que comme mécaniques de transport-déroulement de bande

+1
Ou le fameux « Butttt ... à Caen ... » (ou à l’extérieur sur le stade concerné par les matchs de Molherbe) avec ces quelques secondes ou tu ne savais pas pour qui était ce but !
Comme dis Habs, à chaque fois tu frôlais la crise cardiaque !

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28 mai - 4 juin - 10 juin

C'en est flippant, vis ma vie de supporter de Malherbe

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I need to be myself, I can't be no one else.

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Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....

Je n'ai pas connu Paris-Inter et encore moins Radio Paris.
Edit. En fait j'avais déjà 6 ans quand Paris-Inter est devenu France Inter en 63.

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Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....

Les multiplex radio (RTL pour ma part, la plupart des enfants du début des 90's ont grandi pendant la période où RTL dominait le secteur avant que RMC ne prenne le dessus), ça me rappelle la série de 16 matchs sans défaite en 2003-2004.

moi c'était le multiplex E1, ils respectaient l'ordre du loto sportif

Il avait debuté sur ...Paris Inter.