oust france:
PLANTÉ (6/10). Laissé à lui-même sur les deux buts, fiable par ailleurs. Deux interventions fort à propos devant Cissé (61e) et Aguirre (89e)....
HENGBART (4,5). Préposé au marquage du buteur Cissé sur l'ouverture du score, il anticipe au premier poteau. Fatal. Souvent posté haut sur son côté droit par la suite, il a tenté d'apporter quelques solutions offensives.
LECA (6). Chargé de surveiller François sur le corner fatidique de la 5e, il glisse malencontreusement. On s'interrogeait sur l'efficacité de son duo new-look avec Traoré ? La charnière a réalisé une prestation satisfaisante eu égard à son degré 0 d'expérience. Présent sur les points chauds, le natif de Woippy a fait parler sa technique et son sens du placement.
TRAORÉ (6). Au marquage de Gueye sur le premier but. Un match solide, scandé par des interventions souvent franches.
SEUBE (4,5). Une première période délicate sur le plan technique, pas représentative de ce que le capitaine a montré en la matière depuis le début de saison. Plus tranquille en deuxième mi-temps.
PROMENT (5,5). S'il a manqué de rythme et de jus en 2e période, courbant peu à peu sous le poids de l'entrejeu lorrain, l'ex-capitaine messin a colmaté énormément de brèches avant.
DEROIN (4). Le meilleur passeur malherbiste a beaucoup couru, s'est battu. Mais comme d'autres, il a souffert physiquement, n'a jamais pu mettre ses attaquants en position de marquer. Un peu mieux après la pause, mais n'a toujours pas retrouvé son niveau de 2006.
GRANDIN (3,5) : en position de faux numéro 10, il n'a jamais pu se sortir des filets messins, et n'a jamais pesé. Remplacé par FLORENTIN (46e, 4,5), du peps et de la bonne volonté à gauche, mais pas décisif.
LEMAÎTRE (5). Un engagement de tous les instants, mais a fait les frais de la domination messine dans l'impact physique. Un centre-tir repoussé par Marichez (53e). Remplacé par SAMSON (53e), qui a apporté une touche technique intéressante, sans pouvoir se montrer dangereux.
TOUDIC (4,5). De la hargne, des appels, une frappe écrasée (63e), mais guère en position de force face aux mastodontes de la défense messine. Et quasiment aucun ballon de but négociable. Remplacé par VALÉRO (72e), qui a fait ce qu'il a pu.
GOUFFRAN (4,5). Revenu à ses premiers amours, devant, l'international espoir n'a pas non plus eu grand-chose à se mettre sous le crampon. Un petit peu plus en évidence après la pause, notamment après la rentrée de Samson et son replacement en milieu droit. Comme quoi...
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