HS: Souvenirs, souvenirs...
Me concernant, Terminale S au Lycée Dumont D’Urville en 2002. Quelques anecdotes peu croustillantes :
* La création du Bob14. En effet, les cinq jeunes chieurs (enfin quatre, puisque le cinquième fréquentait encore les bancs de la cour de récréation voisine) se sont rencontré durant leur année de seconde… Merci à l’éducation nationale d’avoir pu permettre ce regroupement.
* La criarde. Notre prof de SVT avait une fâcheuse tendance à parler un peu fort. Trois ou quatre fois durant l’année, on a pu voir surgir un prof de la salle voisine pour lui demander de parler moins fort, ses élèves n’arrivant pas à se concentrer sur leur DS.
* L’histoire-géographie : un professeur venant d’une autre planète à coup sûr. A la fois super intéressant et très étrange. Il pouvait s’arrêter de parler pendant plusieurs minutes, penché sur son bureau, semblant réfléchir ou se promenant au ralenti dans la salle, examinant attentivement le plafond. Il effaçait aussi toujours le tableau avec son chiffon personnel qu’il ne manquait jamais de balancer par-dessus son épaule une fois la tâche réalisée. Forcément, il mettait 30 secondes à le retrouver à chaque fois.
Pour l’épreuve du bac, 1/2h de révisions qui se sont résumées à un apprentissage de la carte du Japon la veille, suivie d’une révision le matin dans la voiture avec mon meilleur pote, puis avec DuDu devant la porte de Dumont. Résultat : la carte du Japon qui tombe et 18 en Histoire Géo
* Madame « S***** » F. ! Une prof d’allemand qu’ont connu quasiment tous les bob14 (+ sympathisants) de l’époque. Elle avait l’habitude d’appeler les garçons par leurs noms et les filles par leur prénom. Forcément, quand son nom de famille est un prénom féminin, c’est classe.
Le jugement peut rester subjectif mais peu de monde la trouvait convaincante en allemand et tous les bob14 en particulier. Les chants à son effigie furent nombreux durant quelques années (et persistent encore de temps en temps) dans les rangs du MNK, avec quelques épisodes plus poussés : Un certain Jean-Claude qui appelle pour jouer à la voix mystère sur France Bleu, répondant le premier acteur lui passant par la tête et se trompant bien évidemment. L’animateur lui permet toutefois de passer sa dédicace : « Je voudrais dire à Madame F****, professeur d’allemand au lycée Dumont D’Urville que c’est une SALOPE » et l’animateur de répondre : « Merci pour cette poésie Jean-Claude ». C’est pas très raffiné, mais ça fait toujours rire.
Cette même prof qui ne comprenait pas pourquoi personne ne suivait ses cours, ni n’intervenait, mais quasiment tout le monde cartonnait lors des devoirs. Elle n’avait en effet pas compris que les ¾ de la classe possédait la fameuse « pochette transparente », opaque d’apparence mais qui devient complètement transparente par simple appui dessus. Le dernier ¼ de la classe obtenait 0.5/20 à chaque fois en répondant à n’importe quelle question par « Ich bin ein Berliner ».
Dernier fait marquant avec cette prof : le lendemain d’une soirée STAPS. Un de mes potes n’avait pas dormi de la nuit, enchaînant la soirée puis les cours. C’est ce matin qu’elle avait décidé de nous offrir un goûter, à base de gâteaux allemands et de coca. Le détail, c’est que ce fameux pote n’avait pas fini sa bouteille de whisky de la veille. Dès que cette brave madame F. servait un verre de coca, il passait derrière le compléter en whisky… C’était bien là la première fois que j’ai pu voir des gens si joyeux en cours d’allemand.
* Pour finir, M. L**Y comme dirait le jeune AzuW. Le seul professeur qui octroyait des pauses d’1/2h entre 2 heures de cours. Il rejoignait toujours sa voiture qui devenait un aquarium : Fumette, buvage de breuvages alambiqués. Il nous revenait toujours plus en forme pour la deuxième que pour la première heure de cours.
Mis à part ce sombre détail, c’était sans doute un très bon prof. J’ai écouté un seul de ses cours, vers le mois d’octobre. Je n’ai pas révisé la philo pour le bac, n’ayant de plus jamais eu plus de 9 durant l’année. Mais coup de chance, j’ai peu utiliser le morceau de cours dont il avait parlé pour détruire Hume le jour du bac. Résultat : 14. Youhou !
A part ça, j'avais un prof de physique chimie trop fort, qui avait écrit le bordas de première et qui nous disait tout le temps qu'on était nuls. C'était bien.
Voilà, j’ai fini. Bravo à vous si vous avez tout lu.
* La création du Bob14. En effet, les cinq jeunes chieurs (enfin quatre, puisque le cinquième fréquentait encore les bancs de la cour de récréation voisine) se sont rencontré durant leur année de seconde… Merci à l’éducation nationale d’avoir pu permettre ce regroupement.
* La criarde. Notre prof de SVT avait une fâcheuse tendance à parler un peu fort. Trois ou quatre fois durant l’année, on a pu voir surgir un prof de la salle voisine pour lui demander de parler moins fort, ses élèves n’arrivant pas à se concentrer sur leur DS.
* L’histoire-géographie : un professeur venant d’une autre planète à coup sûr. A la fois super intéressant et très étrange. Il pouvait s’arrêter de parler pendant plusieurs minutes, penché sur son bureau, semblant réfléchir ou se promenant au ralenti dans la salle, examinant attentivement le plafond. Il effaçait aussi toujours le tableau avec son chiffon personnel qu’il ne manquait jamais de balancer par-dessus son épaule une fois la tâche réalisée. Forcément, il mettait 30 secondes à le retrouver à chaque fois.
Pour l’épreuve du bac, 1/2h de révisions qui se sont résumées à un apprentissage de la carte du Japon la veille, suivie d’une révision le matin dans la voiture avec mon meilleur pote, puis avec DuDu devant la porte de Dumont. Résultat : la carte du Japon qui tombe et 18 en Histoire Géo
* Madame « S***** » F. ! Une prof d’allemand qu’ont connu quasiment tous les bob14 (+ sympathisants) de l’époque. Elle avait l’habitude d’appeler les garçons par leurs noms et les filles par leur prénom. Forcément, quand son nom de famille est un prénom féminin, c’est classe.
Le jugement peut rester subjectif mais peu de monde la trouvait convaincante en allemand et tous les bob14 en particulier. Les chants à son effigie furent nombreux durant quelques années (et persistent encore de temps en temps) dans les rangs du MNK, avec quelques épisodes plus poussés : Un certain Jean-Claude qui appelle pour jouer à la voix mystère sur France Bleu, répondant le premier acteur lui passant par la tête et se trompant bien évidemment. L’animateur lui permet toutefois de passer sa dédicace : « Je voudrais dire à Madame F****, professeur d’allemand au lycée Dumont D’Urville que c’est une SALOPE » et l’animateur de répondre : « Merci pour cette poésie Jean-Claude ». C’est pas très raffiné, mais ça fait toujours rire.
Cette même prof qui ne comprenait pas pourquoi personne ne suivait ses cours, ni n’intervenait, mais quasiment tout le monde cartonnait lors des devoirs. Elle n’avait en effet pas compris que les ¾ de la classe possédait la fameuse « pochette transparente », opaque d’apparence mais qui devient complètement transparente par simple appui dessus. Le dernier ¼ de la classe obtenait 0.5/20 à chaque fois en répondant à n’importe quelle question par « Ich bin ein Berliner ».
Dernier fait marquant avec cette prof : le lendemain d’une soirée STAPS. Un de mes potes n’avait pas dormi de la nuit, enchaînant la soirée puis les cours. C’est ce matin qu’elle avait décidé de nous offrir un goûter, à base de gâteaux allemands et de coca. Le détail, c’est que ce fameux pote n’avait pas fini sa bouteille de whisky de la veille. Dès que cette brave madame F. servait un verre de coca, il passait derrière le compléter en whisky… C’était bien là la première fois que j’ai pu voir des gens si joyeux en cours d’allemand.
* Pour finir, M. L**Y comme dirait le jeune AzuW. Le seul professeur qui octroyait des pauses d’1/2h entre 2 heures de cours. Il rejoignait toujours sa voiture qui devenait un aquarium : Fumette, buvage de breuvages alambiqués. Il nous revenait toujours plus en forme pour la deuxième que pour la première heure de cours.
Mis à part ce sombre détail, c’était sans doute un très bon prof. J’ai écouté un seul de ses cours, vers le mois d’octobre. Je n’ai pas révisé la philo pour le bac, n’ayant de plus jamais eu plus de 9 durant l’année. Mais coup de chance, j’ai peu utiliser le morceau de cours dont il avait parlé pour détruire Hume le jour du bac. Résultat : 14. Youhou !
A part ça, j'avais un prof de physique chimie trop fort, qui avait écrit le bordas de première et qui nous disait tout le temps qu'on était nuls. C'était bien.
Voilà, j’ai fini. Bravo à vous si vous avez tout lu.
- sylvio
- Messages : 1101
- Enregistré le : 31 août 2005 21:06
- Localisation : euh à peu près là, ouais...
Martin - Webmaster a écrit :Maintenant, peut-être faudrait-il revoir ce truc à propos des noms de profs, parce que c'est effectivement dommage ne serait-ce que de ne pas pouvoir citer un prof pour éventuellement trouver d'autres personnes l'ayant eu aussi.
Enfin, je ne sais pas, qu'en pensent les profs du forum ?
Bah personnellement, la pllus belle reconnaissance que je pourrai recevoir dans ce boulot de ouf, c'est qu'un eleve vienne me voir dans 10 ans, qu'il se rappelle de moi et que j'ai compté ne serait-ce qu'un peu dans sa vie scolaire et sa vie tout court. Donc OUI OUI et OUI aux noms de profs si c'est pour des éloges!
- Martin - Webmaster
- Messages : 5159
- Enregistré le : 31 août 2005 21:06
Autre anecdote : je me souviens maintenant avoir fait des faux relevés d'absence en Terminale. Pas pour moi, mais pour un pote redoublant qui ne jugeait pas utile de venir tout le temps. Il avait réussi à intercepter le relevé, mais il fallait quand même montrer quelque chose à sa mère. Donc j'avais bidouillé un papier à peu près similaire avec Word, où j'avais mis 2-3 absences injustifiées (parce que y'en avait un paquet en vrai), sinon ça aurait fait louche. J'ai dû le faire 2 fois, c'était bien passé.
Pis allez, une autre (c'était pas en Terminale, mais bon) : la fois où il avait beaucoup neigé, ça avait fait un beau bordel. La plupart des routes étaient impraticables, et les lycéens de la côte (qui sont nombreux à Allende) s'étaient retrouvés bloqués au lycée. Ils avaient passé la nuit dans le gymnase. Certains profs en avaient même accueilli chez eux
Pis allez, une autre (c'était pas en Terminale, mais bon) : la fois où il avait beaucoup neigé, ça avait fait un beau bordel. La plupart des routes étaient impraticables, et les lycéens de la côte (qui sont nombreux à Allende) s'étaient retrouvés bloqués au lycée. Ils avaient passé la nuit dans le gymnase. Certains profs en avaient même accueilli chez eux
Pareil que Sylvio. Du moment qu'il n'y a pas de diffamation ou de généralités abusives type "ce prof était nul, blabla", ajouter un nom n'est pas gênant. Quant au fameux M. Lamy de Dumont, mon frère et ma soeur l'ont eu, je ne peux que confirmer en faisant fi de la solidarité entre collègues.
En plus, perso je risque rien, mes élèves ne savent pas lire. Et je peux donner des noms
En plus, perso je risque rien, mes élèves ne savent pas lire. Et je peux donner des noms
Grand Voyant 2015-2016
-
natza
Abidbol a écrit :Nos regards se sont croisés alors que nos yeux suivaient la même jeune fille. Je montais à la Tour Leroy, il attendait 8h09 que le bus n°6 stoppa sa course à l'arrêt pigacière pour faire de même. Kostadinov allait exploiter le scud de Ginola. Plus tard, notre médiocre compréhension de la langue de Stilieke, nous ammenait à fréquenter un même module de rattrapage, en salle 208. Le choix d'une première et d'une terminale littéraire nous entraina dans une classe commune.
Des crèpes du bac blanc, des cours de portugais, des tranches napolitaines et du chavroux.
Une dernière année formidable, les grèves de 95, la semaine de vacance en rab en février à cause de la neige, le penalty de Pedros, l'obtention du sesame républicain, et une majorité révolue qui me permettait de rédiger mes propres mots d'absence.
cet "autre" fréquente ce forum, et le lycée a pour adresse une difficulté du stade malherbe.
la défense passive?
une petite larme glisse sur ma joue....et dire que j'avais oublié les crêpes amenées le jour du bac blanc....
- merlinenchant
- Messages : 4523
- Enregistré le : 31 août 2005 21:06
joffrey a écrit :Par ailleurs, merlin, si tu te lances dans l'épuration des messages à propos des noms, fais le au moins correctement ( cf les 4 premières pages du topic truffées de noms)
Joffrey, je suppose que tu dois savoir que je ne peux pas lire tout les posts, donc je ne peux pas tout voir. J'essaie de faire au mieux. C'est pour cela que certains menbres m'aident dans ce travail par MP. Ne confondez surtout pas cela avec de la lèche
Donc excuse moi de n'avoir pu lire tout les posts.
- Martin - Webmaster
- Messages : 5159
- Enregistré le : 31 août 2005 21:06
indice:
Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.
On voit ce que je vois et ce que vous voyez ;
On est l'homme mauvais que je suis, que vous êtes ;
On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ;
On tâche d'oublier le bas, la fin, l'écueil,
La sombre égalité du mal et du cercueil ;
Quoique le plus petit vaille le plus prospère ;
Car tous les hommes sont les fils du même père ;
Ils sont la même larme et sortent du même oeil.
On vit, usant ses jours à se remplir d'orgueil ;
On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe,
On monte. Quelle est donc cette aube ? C'est la tombe.
Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu
Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu,
Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres
De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ;
Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini
Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni,
Sans voir la main d'où tombe à notre âme méchante
L'amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante.
On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent
Fondre et vivre ; et, d'extase et d'azur s'emplissant,
Tout notre être frémit de la défaite étrange
Du monstre qui devient dans la lumière un ange.
Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.
On voit ce que je vois et ce que vous voyez ;
On est l'homme mauvais que je suis, que vous êtes ;
On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ;
On tâche d'oublier le bas, la fin, l'écueil,
La sombre égalité du mal et du cercueil ;
Quoique le plus petit vaille le plus prospère ;
Car tous les hommes sont les fils du même père ;
Ils sont la même larme et sortent du même oeil.
On vit, usant ses jours à se remplir d'orgueil ;
On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe,
On monte. Quelle est donc cette aube ? C'est la tombe.
Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu
Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu,
Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres
De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ;
Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini
Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni,
Sans voir la main d'où tombe à notre âme méchante
L'amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante.
On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent
Fondre et vivre ; et, d'extase et d'azur s'emplissant,
Tout notre être frémit de la défaite étrange
Du monstre qui devient dans la lumière un ange.
-
natza
- Martin - Webmaster
- Messages : 5159
- Enregistré le : 31 août 2005 21:06
-
natza
Pardon Martin, mais comme tout homme, la bêtise me guète aux détours du manque d'humour, là pam, je me suis tout mangé d'un coup.
Sinon, l'adresse exacte est une rue, ce qui induit que le problème n'est pas si énorme que ça, par contre le numéro exact dans mon souvenir est celui de Vincent Planté.
En tous cas ça m'aurait fait marrer d'être allé au lycée rue des trois entraineurs, boulevard de la floqueuse perdue, ou bien encore impasse de l'orthographe et de la syntaxe d'Alexandre Lucas, pour ne pas citer le square du genou manquant ou la place de la relance de Faye.
Sinon, l'adresse exacte est une rue, ce qui induit que le problème n'est pas si énorme que ça, par contre le numéro exact dans mon souvenir est celui de Vincent Planté.
En tous cas ça m'aurait fait marrer d'être allé au lycée rue des trois entraineurs, boulevard de la floqueuse perdue, ou bien encore impasse de l'orthographe et de la syntaxe d'Alexandre Lucas, pour ne pas citer le square du genou manquant ou la place de la relance de Faye.
- Huisgonde
- Messages : 10448
- Enregistré le : 31 août 2005 21:06
- Localisation : 15e de Huis' Treham
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Martin - Webmaster a écrit :Pis allez, une autre (c'était pas en Terminale, mais bon) : la fois où il avait beaucoup neigé, ça avait fait un beau bordel. La plupart des routes étaient impraticables, et les lycéens de la côte (qui sont nombreux à Allende) s'étaient retrouvés bloqués au lycée. Ils avaient passé la nuit dans le gymnase. Certains profs en avaient même accueilli chez eux
Certains prof en reparlent encore beaucoup. Un certain prof d'histoire que j'ai eu l'année derniere ayant eu Jeremy Sorbon en eleve (qu'est ce qu'il en est fier) et ayant le même nom qu'un de nos plus ancien joueur propriétaire de la casa (vous avez pas encore trouvé? Allez c'est M. H....T) nous racontait cette histoire dès qu'il neigeait dehors.
Sinon, je vois que M. Douville a été censuré. Or c'est un ancien joueur entraineur émminent du club (quoi? moi vouloir une meilleure note en sport? rôôô). Donc vu la gentillesse et le soutien populaire de ce prof qui a bien voulu me dispenser de cours d'athletisme mercredi dernier à cause d'une mauvaise chute dans les escaliers fait qu'il mérite amplement sa place avec son nom (non mais oh!
Une anecdote de l'aprem en Terminale : le prof de philo qui, tout d'un coup, sans grande raison apparente puisque le bruit de classe était très correct qui crie (mais quand je dis crier...) 4 fois d'affilée "LA FERME LA FERME LA FERME LA FERME!!!" voilà personne n'a trop compris c'était sympathique. (M. F.....d pour pas le citer
AH et encore cette aprem, la prof de maths en avait marre des retardataires à rendre les copies de DS, elles est donc partie sans prendre leurs copie. Ce fut sympathique de voir les 4 personnes courir après cette prof (Mme R...t pour Martin et Marie, si vous connaissez, indice, elle vient au lycée en vélo
Quelle riche apres-midi!
- Martin - Webmaster
- Messages : 5159
- Enregistré le : 31 août 2005 21:06
Si vous parlez de M. "maréchal" F..., professeur de philosophie au lycée Allende, j'en garde un souvenir incroyable : alors que nous étions en terminale S, sa classe affichait un taux de remplissage très important, loin devant la physique ou les maths, pourtant essentiels pour le bac.
D'ailleurs, 9 ans après, c'est le seul cours que j'ai conservé dans mon bureau !
Sinon, toujours dans le même lycée, je garde un souvenir incroyable de M. Ant... (Claude Rich dans le film d'Audiard le plus connu), fantastique professeur de français. Il était intéressant, clair, amusant, un peu ironique...
D'ailleurs, 9 ans après, c'est le seul cours que j'ai conservé dans mon bureau !
Sinon, toujours dans le même lycée, je garde un souvenir incroyable de M. Ant... (Claude Rich dans le film d'Audiard le plus connu), fantastique professeur de français. Il était intéressant, clair, amusant, un peu ironique...
Allez Malherbe... Simple, clair et consensuel !