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Répondre en citant le message  MessagePosté: 15 Aoû 2009 18:04 
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Un truc que j'avais mis précédemment, mais qui n'a pas été référencé dans l'index :

Peinture - référencé par FdM - Football entre futurisme et "réalisme fasciste" en Italie - p. 10 Voir

L'Italie est le pays du foot et des pâtes, mais c'est aussi l'épicentre du futurisme. On le sait, ce mouvement artistique s'est montré séduit par la modernité sous tous ses aspects et s'est attaché à concevoir une esthétique de la vitesse et du mouvement. C'est donc tout naturellement que le football va exercer une forte attraction sur les artistes ritaux liés à ce mouvement. En outre, le contexte politique de la péninsule (le fascisme des années 20-30) va également concourir à cette rencontre. Le régime mussolinien fait bien entendu l'apologie du foot en général et de la Squadra Azzurra en particulier. Vitrine idéale du régime, cette dernière est d'ailleurs une redoutable équipe, qui, emmenée par Giuseppe Meazza, rafle (le mot n'est peut-être pas adéquat ici, huhu) 2 coupes du monde et les JO en 1934-1936 et 1938.

- Umberto Boccioni, Dynamisme d’un joueur de football, 1913.
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- Roberto Marcello Baldessari, Giacatori di pallone, 1920.
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- Gerardo Dottori, Partita di calcio, 1928.
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- Ottorino Mancioli, Campo di Testaccio, 1929.
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- Guiseppe Montanari, Calciatori, 1930.
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- Giulio D’Anna, Football, 1933.
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- Carlo Carrà, Partita di calcio, 1934.
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- Enrico Paulucci, Partita internazionale, 1940.
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« La victoire a beaucoup de parrains tandis que la défaite est orpheline » (Talleyrand).


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 15 Aoû 2009 18:33 
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Même chose pour ça :

Littérature - référencé par FdM - Pierre-Louis Basse, Séville 1982 France-Allemagne : le match du siècle, Éditions Privées, 2005. p. 10 Voir

Ce sublime petit bouquin écrit par l'excellent PL Basse, pose d'emblée au lecteur cette question : que faisiez-vous le 8 juillet 1982 vers 23 heures ?
La réponse est souvent évidente pour qui a vu le terrible France-RFA, demi-finale du Mundial espagnol, 7 ans après la mort de Franco et le rétablissement de la démocratie outre-Pyrénées.
Tragique serait peut-être un adjectif plus approprié pour qualifier ce match "phénoménal", entré dans la Légende.
A travers son expérience personnelle, l'auteur dépasse largement le cadre de la stricte rencontre footballistique pour recomposer dans un subtil puzzle le contexte historique, social et surtout mental d'une France révolue, celle qui perdait toujours en sport notamment. Évidemment, le choc entre ces deux nations est replacé dans la symbolique très forte qu'elle revêt, 30 ans seulement après l'Occupation. Subitement, une haine irrationnelle submerge l'Hexagone, Schumacher ("Choumakeur" :lol: ) est carrément assimilé à un SS et le sentiment "anti-boche" primaire resurgit dans les villages et les villes du pays.

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Regardez la douleur incommensurable qui se lit sur le visage de Platini après l'égalisation du maudit Fischer. Cette image est très belle, avec, en arrière plan, le score qui envoyait encore la France en finale contre l'Italie et la joie de Rummenigge, qui nous fit très mal lorsqu'il entra en jeu. Le ballon d'or 1981 symbolisa alors la rage de vaincre des Allemands et devança la célèbre maxime de l'avant-centre Lineker à propos de la Manschaft, qui "gagne toujours à la fin".
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Répondre en citant le message  MessagePosté: 15 Aoû 2009 18:39 
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Localisation: Zoranie
Martin - Webmaster a écrit:
Littérature - référencé par Martin - Jérôme Reijasse , Parc - p.9 - Voir

Extrait de la présentation des CDF.

Citation:
Parc est un journal intime de la saison 2007/2008, consigné par Jérôme Reijasse, journaliste notamment en presse musicale et abonné du Paris Saint-Germain ("tribune K, bleu bas"). Une saison qui mène de la mort de Julien Quemener à un sauvetage sportif peu glorieux en passant par l'affaire de la banderole: feuilleton idéal à sa façon pour dire que la vie d'un supporter, c'est "une suite d'événements consanguins, une succession de déceptions et de joies qui jamais n'offrent l'apaisement".


Ce qu'est sympa, c'est que Caen était aussi en L1 cette saison-là. On apparaît donc à divers endroits (le bouquin commence peu après le PSG-Caen, dommage, j'aurais bien aimé avoir les réactions après ce match-là)
On prend un peu cher d'ailleurs, avec notamment l'affaire Gouffran.

Extraits :

Juste après Lille - Caen :

Citation:
Caen a encore pris une correction, cette fois à Lille. 5-0. Ca doit maintenant faire 3 mois que l'équipe normande n'a pas gagné un match. Eux qui se voyaient européens à la fin de la saison. Gouffran, on ne l'entend plus. Muet, le mec.
L'entraîneur de Caen, Franck Dumas, ancien joueur qui ressemble aujourd'hui à un hobbit tombé dans le tuning, rigole devant les micros, mais est énervé. Il se lâche, accuse ouvertement de corruption l'arbitrage hexagonal, développant une théorie du complot contre ses joueurs. Avec, en guise de conclusion qu'on désavantage Caen pour sauver Paris. Je ne sais pas qui se cache derrière ce on, mais qu'il sache que, s'il existe, il bénéficie déjà de toute ma sympathie. Non pas que je rêve d'un protecteur invisible et omnipotent. Non. Mais de voir Caen redescendre chez eux, en division inférieure, après leur début d'année extraordinaire, serait un cadeau inespéré, une petite vengeance mesquine, qui ne me consolerait pas mais qui me permettrait d'oublier mon propre sort quelques secondes.


Et avant Caen - PSG :

Citation:
J'aimerais que Caen, qui n'a plus rien à perdre ni à gagner, qui sait très bien que son maintien est assuré, se prenne une correction, que Gouffran rate l'immanquable, et que l'Aigle des Açores s'envole très haut dans le ciel normand. Doux rêve.


A noter quelques fautes d'orthographe par ci par là. J'ai tellement peu l'habitude d'en voir dans un bouquin que ça m'a choqué.

Sinon, il y a une interview de l'auteur en 6 parties sur Dailymotion


Martin , tu peux écrire un bouquin avec toutes les conneries postées par les uns et les autres sur le forum depuis sa création

je crois que tu feras certainement mieux que ce con

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Comme dirait l’autre, « ça durera ce que ça durera » mais comme disait ma grand-mère, « ce qui est pris n’est plus à prendre ».


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 16 Aoû 2009 10:02 
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Yo, merci d'vos contrib's d'autant que le référencage a été fait nickel.
J'vais essayer de reclaquer des trucs si d'ici peu.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 16 Aoû 2009 11:48 
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Jeux - référencé par Garcimor - Foot Mania et Le Buteur - p. 10 Voir

Dans la section jeu, voici deux jeux de société:
Foot Mania initialement édité en 1993 par feu la maison d'édition Ludodélire à qui l'on doit des jeux réputés et reconnus tels que Full Metal Planet ou Formule Dé..
Ce jeu a récemment été réédité et relooké par la maison d'édition WinningMoves France qui y a ajouté des ingrédients plus réalistes ou ludique : dopages, magouille, etc.

Dans ce jeu, chaque joueur devra constituer une équipe grâce à des transferts, prêts ou échanges afin de gagner le championnat.
Chaque joueur a des aptitudes et des notes.
les matchs se déroulent au dé en tenant compte des caractéristiques de chaque équipe.

Les plus du jeu: peut être prenant et drôle.
Les moins : un peu long, un coté Monopoly (donc de la chance...). Bref, un système de jeu qui commence à dater.


Le Buteur
est un jeu de simulation d'un match de foot.
Le plateau de jeu est un terrain quadrillé.
A l'aide de cartes indiquant des directions et le nombre de case qu'avance le ballon, chaque joueur doit essayer d'envoyer le ballon dans les filets adverses.

Les plus : rapide, prenant pour les enfants, facilement trouvable d'occas pour une bouchée de pain
Les moins : répétitif, la chance (c'est un jeu de cartes...)


Dernière édition par Garcimor le 16 Aoû 2009 13:42, édité 2 fois.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 16 Aoû 2009 11:58 
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Messages: 15307
Je sais pas si ça a été mentionné, mais l'artothèque de Caen propose en prêt plusieurs affiches de la Coupe du Monde 82.

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Tel est mon bon plaisir.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Sep 2009 19:19 
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Localisation: UL
Je fous ça là à l'arrach' sans référencer dans l'index pour le moment.

Michel Onfray parle de football.

Bon, on sent bien qu'il n'est pas en terrain de connaissance, il s'en tient donc à une position calibrée dans l"hédonisme qu'il préconise en rejetant de fait les dérives mercantiles et libérales du foot pro et plus généralement l'exploitation sportive et compétitive d'un corps mécanisé par le sport.

En gros, sur ce thème, Onfray s'aligne sur les sociologues critiques du sport (JM Brohm qui écrit aussi dans Siné Hebdo) ou encore P. Vassort qui enseigne d'ailleurs à l'UFR STAPS de Caen.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Sep 2009 20:05 
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Localisation: L'univers
Diogene a écrit:
Bon, on sent bien qu'il n'est pas en terrain de connaissance,


Il n'y connait rien mais il parle quand même.

Onfray = Charlot

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JE SUIS HAKUNA MATATA


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Sep 2009 20:10 
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Messages: 31652
Localisation: La Commune.
Tu t'es reconnu dans ce passage ?

Citation:
Je vois dans le sport un épiphénomène judéo-chrétien qui légitime le plaisir dans, par et pour la souffrance, la douleur... Se surpasser, se dépasser, baver, transpirer, courir, s'essouffler, cracher, suer, tout ça pour quoi? Quel résultat? Des bleus, des courbatures, des fractures parfois, des plaies, des bosses - et de la jouissance fabriquée avec de la douleur, très peu pour moi...


Je parle à Diogène, bien sûr.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Sep 2009 20:14 
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Inscription: 10 Jan 2006 20:13
Messages: 31652
Localisation: La Commune.
Par contre, Onfray évoque bien la coexistence entre Diogène et Simplet :

Citation:
Agrégé de philo ou débile léger se retrouvent ici sur un terrain d'égalité.[code][/code]

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 05 Sep 2009 20:20 
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Messages: 6924
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Non pas vraiment, mais c'est le discours classique de la sociologie critique du sport : le corps libéral soumis au rendement, à la souffrance etc...

Mais à mon sens, il devrait opérer une première distinction évidente entre sport (compétition, classement, rendement) et activité-physique. Cette seconde catégorie contient par définition les sports "fun" où prévalent l'expérience, la sensation, le plaisir plutôt que le record, la hiérarchisation des performances et le dépassement de soi.

Toute la philosophie d'Onfray s'articule autours de la question suivante "que peut le coprs". Alors que le sport et les activités physiques et artistiques constituent l'une des manifestation les plus visibles du corps en action, on peut regrette que le philosophe ne creuse pas cette question. Mais à l'évidence, je crois pas que le sport l'intéresse plus que ça, mais au moins, sans surprise, l'alignement derrière la sociologie critique est plutôt cohérente par rapport à sa position quoique s'il creusait un peu, il pourrait trouver des approches moins caricaturales chez certains sociologues du sport.


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Répondre en citant le message  MessagePosté: 06 Sep 2009 12:59 
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Diogene a écrit:
Non pas vraiment, mais c'est le discours classique de la sociologie critique du sport : le corps libéral soumis au rendement, à la souffrance etc...


Oui. Le seul qui, à ma connaissance, ait une approche un peu plus consistante de la chose est Ehrenberg qui, dans Le Culte de la Performance, parle du foot et plus particulièrement des "clichés" que véhiculent certaines théories sociologiques : "C'est le préjugé[sport=opium du peuple] le plus conservateur sur l'infériorité populaire qui constitue l'horizon culturel et politique de ce genre d'analyse sociologique : peuple-enfant, arriéré, imbécile ou dangereux."

Lorsque j'aurai le temps, je référencerai cet excellent ouvrage.

Yvonnick, sociologue de gouttière

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Sic gorgiamus allos subjectatos nunc


Dernière édition par Yvonnick le 04 Oct 2009 17:24, édité 1 fois.

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 04 Oct 2009 11:50 
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Musique - référencé par FdM - Hubert-Félix Thiéfaine - Solexine et Ganja - p. 10 Voir
En réécoutant des vieux trucs (mais toujours aussi excellents : "quand la bière est tirée il faut finir son pack" :lol: ), on se remémore des petits détails. Il en est ainsi de ce morceau savoureux de Thiéfaine sur lequel il faut bien tendre l'oreille pour entendre, en toile de fond, les commentaires de Jacques Vendroux lors de la séance de tirs aux buts du match RFA-France de 1982 à Séville (vous allez me prendre pour un monomaniaque avec cette rencontre !)
Le drame revécu par des bribes de direct (à partir de 4'10 environ):
"Attention à Stielicke qui prend son élan...
Arrêté par Jean-Luc Ettorri ! Arrêté par Jean-Luc Ettorri ! Ettorri qui arrête le pénalty tiré par Stielicke ! Les Français sont en ballotage favorable là pour la suite de cette épreuve...Ah lala, alors que Stielicke, lui, est en train de pleurer..." [...]
[...]"On revoit le tir"[...]
"Les Français sont[...]Oh Schumacher [Choumacker] arrête ! Oh Six vient de rater !
Oh, quel malheur !
Après Stielicke, c'est Six qui rate !
Stielicke s'était pris la tête à deux mains et s'était[...]Oh lala..."

Je me suis souvent interrogé sur la présence de cette bande sonore à cet endroit, alors que Thiéfaine entonne un rire moqueur et soumis aux substances illicites.
Une dénonciation du foot = sport de cons ? Alors que ce match avait pris des proportions de quasi affaire d'Etat ? Ou bien relativisation des peines subies ?

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Répondre en citant le message  MessagePosté: 04 Oct 2009 12:25 
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Simply the Best a écrit:
Diogene a écrit:
Bon, on sent bien qu'il n'est pas en terrain de connaissance,


Il n'y connait rien mais il parle quand même.

Onfray = Charlot


un peu, beaucoup comme toi et peu importe le sujet en ce qui te concerne

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Localisation: La Commune.
Musique - référencé par FdM - Pink Floyd - Fearless - p. 10 Voir

Liverpool never walks without Pink Floyd !
Comment ne pas évoquer, naturellement, ce morceau de l'album Meddle, composé en 1971 ?
Le Royaume-Uni, berceau du rock et du football, produit d'heureuses conjonctions de la sorte. La bande à Waters, à l'instar de celle de Jagger, par exemple, a baigné dans cette culture unique du pub et du foot, dans laquelle tout petit anglais s'initie héréditairement. Sous la houlette de Bill Shankly, le Liverpool FC du début des seventies a posé les jalons de ce qui sera quelques années plus tard l'ogre continental. Les "Reds"(qui viennent d'adopter une tenue intégralement rouge afin d'impressionner ses adversaires), se sont déjà emparés de leur fameux hymne (qui est également celui du Celtic Glasgow) "You'll nerver walk alone", chanson composée à la fin de la 2e Guerre mondiale.
Le "Kop" entonne l'hymne à chaque rencontre et c'est ce chant, surgissant des puissantes poitrines des fans de Liverpool, qui est audible à la fin de "Fearless". Magique !

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