C'est en effet une chose d'être très fort avec les équipes de jeunes (tout le monde a le même âge) et de casser la baraque ensuite chez les seniors en professionnel.
C'est un débat sempiternel.
Dans les années 1990, je me souviens parfaitement que je suivais un nom qui revenait à chaque fois parmi le cénacle des observateurs : celui du tout jeune lyonnais...Steed Malbranque, capitaine des moins de 16 nationaux, puis des moins de 18 (et même des Espoirs). Il a certes réalisé une bonne carrière professionnelle, mais les papiers (enfin les échos) étaient toujours dithyrambiques à son sujet. C'était la nouvelle pépite du foot français, appelée à devenir un jour le capitaine et leader des Bleus.
Depuis, j'ai arrêté de suivre les jeunes

L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.