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Posté : 12 sept. 2010 11:34
par Akage
Les ronostiques de la cupe ?

Posté : 12 sept. 2010 11:35
par Benoit Cauet
Les mémoires de St Simon?

Posté : 12 sept. 2010 11:36
par Diogene
ppffffff

Posté : 12 sept. 2010 11:37
par Benoit Cauet
Malleus Maleficarum?

Posté : 12 sept. 2010 11:39
par Benoit Cauet
Je me fais rire tout seul. Imaginer des pavés du XVe siecle rédigés en latin et débutant par ça, je me poile.


Quel con ce Benoit Cauet.

Posté : 12 sept. 2010 11:47
par Magenta
Extension du domaine de la lutte

Posté : 12 sept. 2010 11:50
par Diogene
Bah oui, il y a tout Houellebecq là : malaise des cadres, sexe, cynisme...

Posté : 12 sept. 2010 11:51
par Magenta
Livre acheté, mais j'ai juste lu les deux premières pages. Je l'ai rangé et je n'ai jamais pensé à le sortir.

Posté : 12 sept. 2010 11:58
par Magenta
Pendant un instant, Roubaud s’intéressa, comparant, songeant à sa gare du Havre. Chaque fois qu’il venait de la sorte passer un jour à Paris et qu’il descendait chez la mère Victoire le métier le reprenait. Sous la marquise des grandes lignes, l’arrivée d’un train de Mantes avait animé les quais; et il suivit des yeux la machine de manoeuvre, une petite machine-tender, aux trois roues basses et couplées, qui commençait le débranchement du train, alerte, besogneuse, emmenant, refoulant les wagons sur les voies de remisage.

Posté : 12 sept. 2010 12:03
par David Watts
La bête humaine ?

Posté : 12 sept. 2010 12:29
par Magenta
Oui

Posté : 12 sept. 2010 12:37
par David Watts
C’était une journée d’avril froide et claire. Les horloges sonnaient treize heures. Winston Smith, le menton rentré dans le cou, s’efforçait d’éviter le vent mauvais. Il passa rapidement la porte vitrée du bloc des « Maisons de la Victoire », pas assez rapidement cependant pour empêcher que s’engouffre en même temps que lui un tourbillon de poussière et de sable.

Posté : 12 sept. 2010 12:39
par David Watts
Oui.

Posté : 12 sept. 2010 17:32
par arcisse
Ca pourrait être du Hugo ?

Posté : 12 sept. 2010 17:39
par Benoit Cauet
Mmmm... Ca ne me dit rien.

Benoit Cauet, à presque fini de tout lire Victor Hugo.