Re: J27 : Matraquons leur ASSE !
Posté : 26 févr. 2017 19:25
Les notes de Ouest France :
L’homme clé :
RODELIN (7 sur 10). Il n’a pas toujours pesé, mais tout aura été juste dans son après-midi. Avec, en première ligne, cette magnifique tête décroisée qui trouve le petit filet et laisse Ruffier sans réaction (32’). Il voulait améliorer ses statistiques, c’est chose faite. Il en est désormais à six buts et trois passes décisives, ce qui commence à parler. En quatre jours, l’attaquant réunionnais a surtout rapporté six points à Malherbe. Deux victoires 1-0 dans des matches cruciaux, avec, à chaque fois, le bon geste face au but pour faire la différence. La confiance irrigue de nouveau son jeu, et cela s’est senti hier sur des transmissions souvent judicieuses. Il aurait même pu ajouter une passe décisive si Karamoh avait été plus adroit (85’). Remplacé par LEBORGNE (88’).
VERCOUTRE (6). Sur les 90 minutes, aucun arrêt à réaliser pour l’ancien Lyonnais, toujours chahuté par le public stéphanois. Explosif pour sortir dans les pieds de Beric (11’), il s’est montré autoritaire dans les airs.
GUILBERT (7). Face à un client (Monnet-Paquet), il s’en est d’abord très bien sorti, avant de souffrir davantage. L’impression d’ensemble est positive, comme depuis qu’il est là. Du tranchant dans ses interventions, pour preuve ces 23 ballons gagnés, ainsi que des bonnes percées.
DA SILVA (7). Exemplaire dans l’agressivité et l’application pour un match sans aucune fausse note. Comme souvent, il a récupéré beaucoup de ballons (22).
YAHIA (7). De nouveau impérial dans les airs et précieux au duel, il est sorti blessé. BEN YOUSSEF (51’) l’a très bien suppléé, avec plusieurs interventions décisives (59’, 83’) et 18 ballons récupérés en quarante minutes !
ADÉOTI (7). Une mésentente avec Yahia qui aurait pu coûter cher (11’). Du sérieux par ailleurs, sauf sur une action où il laisse Beric le devancer (63’). Sa belle frappe de 30 m manque de peu le cadre (54’).
BESSAT (7). Sa troisième passe décisive de la saison pour la tête de Rodelin est millimétrée (32’). Il a éteint le jeune Rocha-Santos, avant d’être un peu plus inquiété par Pierre Gabriel. Des allers-retours incessants dans son couloir.
DELAPLACE (7). Un match très convaincant dans la capacité à se projeter vers l’avant. Également décisif sur plusieurs retours défensifs, il est proche de marquer sur un tir lobé qui heurte la barre (48’).
SEUBE (7). Pas mal de ballons grattés, quelques actions chaudes coupées, des premières relances parfois intéressantes et peu de déchet. « Papy » peut encore être précieux.
FÉRET (5). Méconnaissable en 1re période, au point d’agacer son coach. Il a d’abord perdu la quasi-totalité de ses ballons, annihilant parfois des bons coups. Quand l’une de ses passes a enfin été dans le bon tempo, cela a débouché sur l’ouverture du score (32’). Mieux après le repos, sans coup d’éclat.
SANTINI (4). Une seule tentative vers le but stéphanois, sur une frappe du gauche complètement manquée. Pour le reste, des remises qui manquent de justesse et un nouveau match compliqué. Remplacé par KARAMOH (70’), qui a fait parler sa vitesse mais a surtout manqué deux énormes occasions en l’espace d’une minute. D’abord en ratant son contrôle, puis en voyant sa frappe repoussée par Ruffier (85’). Sans conséquence.
L’homme clé :
RODELIN (7 sur 10). Il n’a pas toujours pesé, mais tout aura été juste dans son après-midi. Avec, en première ligne, cette magnifique tête décroisée qui trouve le petit filet et laisse Ruffier sans réaction (32’). Il voulait améliorer ses statistiques, c’est chose faite. Il en est désormais à six buts et trois passes décisives, ce qui commence à parler. En quatre jours, l’attaquant réunionnais a surtout rapporté six points à Malherbe. Deux victoires 1-0 dans des matches cruciaux, avec, à chaque fois, le bon geste face au but pour faire la différence. La confiance irrigue de nouveau son jeu, et cela s’est senti hier sur des transmissions souvent judicieuses. Il aurait même pu ajouter une passe décisive si Karamoh avait été plus adroit (85’). Remplacé par LEBORGNE (88’).
VERCOUTRE (6). Sur les 90 minutes, aucun arrêt à réaliser pour l’ancien Lyonnais, toujours chahuté par le public stéphanois. Explosif pour sortir dans les pieds de Beric (11’), il s’est montré autoritaire dans les airs.
GUILBERT (7). Face à un client (Monnet-Paquet), il s’en est d’abord très bien sorti, avant de souffrir davantage. L’impression d’ensemble est positive, comme depuis qu’il est là. Du tranchant dans ses interventions, pour preuve ces 23 ballons gagnés, ainsi que des bonnes percées.
DA SILVA (7). Exemplaire dans l’agressivité et l’application pour un match sans aucune fausse note. Comme souvent, il a récupéré beaucoup de ballons (22).
YAHIA (7). De nouveau impérial dans les airs et précieux au duel, il est sorti blessé. BEN YOUSSEF (51’) l’a très bien suppléé, avec plusieurs interventions décisives (59’, 83’) et 18 ballons récupérés en quarante minutes !
ADÉOTI (7). Une mésentente avec Yahia qui aurait pu coûter cher (11’). Du sérieux par ailleurs, sauf sur une action où il laisse Beric le devancer (63’). Sa belle frappe de 30 m manque de peu le cadre (54’).
BESSAT (7). Sa troisième passe décisive de la saison pour la tête de Rodelin est millimétrée (32’). Il a éteint le jeune Rocha-Santos, avant d’être un peu plus inquiété par Pierre Gabriel. Des allers-retours incessants dans son couloir.
DELAPLACE (7). Un match très convaincant dans la capacité à se projeter vers l’avant. Également décisif sur plusieurs retours défensifs, il est proche de marquer sur un tir lobé qui heurte la barre (48’).
SEUBE (7). Pas mal de ballons grattés, quelques actions chaudes coupées, des premières relances parfois intéressantes et peu de déchet. « Papy » peut encore être précieux.
FÉRET (5). Méconnaissable en 1re période, au point d’agacer son coach. Il a d’abord perdu la quasi-totalité de ses ballons, annihilant parfois des bons coups. Quand l’une de ses passes a enfin été dans le bon tempo, cela a débouché sur l’ouverture du score (32’). Mieux après le repos, sans coup d’éclat.
SANTINI (4). Une seule tentative vers le but stéphanois, sur une frappe du gauche complètement manquée. Pour le reste, des remises qui manquent de justesse et un nouveau match compliqué. Remplacé par KARAMOH (70’), qui a fait parler sa vitesse mais a surtout manqué deux énormes occasions en l’espace d’une minute. D’abord en ratant son contrôle, puis en voyant sa frappe repoussée par Ruffier (85’). Sans conséquence.