Posté : 08 nov. 2008 12:48
Moi j'aime bien cette radio, m'enfin je passe jamais beaucoup de temps dessus :
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Forum des supporters du Stade Malherbe Caen
https://www.forumsmc.com/forum/
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David Watts a écrit :Les chroniques de Daniel Morin et de Didier Porte sont disponibles séparément. Pas besoin de se farcir Trinidad presque tout les jours mais il n'y a pas Vincent Rocca malheureusement.
ici et ici.
Puis les Paniques, j'adule aussi. Saviez-vous que le professeur Mauduit est un Condéen (/Noireau) d'origine ?
David Watts a écrit :Saviez-vous que le professeur Mauduit est un Condéen (/Noireau) d'origine comme Dumont D'Urville et Bigdudu de le Forum ?
Karibou a écrit :Voici une séléction perso des divers programmes radiophoniques qu'il m'arrive d'écouter, ceci en guise d'introduction à un topic ou nous pourrions eventuellement se signaler ou commenter les émissions intéressantes.
France Inter
2000 ans d'histoire
Au Fil de l'histoire
Eclectik Dimanche(interview invité)
Interception (reportages)
Esprit Critique(chronique culturelle)
Et pourtant elle tourne (magazine d'information)
J'ai mes sources (magazine sur les médias)
Le Zapping de France Inter
Nonobstant(interview invité)
Le masque et la plume(critique culturelle)
On aura tout vu (cinéma)
Un temps de Pauchon (reportage court)
Rendez-Vous avec X (analyse historico-politique)
France Culture:
Feuilleton littéraire
A plus d'un titre
A quoi Pensez-vous?
l'Avventura (cinéma)
Lignes de fuite (chronique Plenel)
l'oeil du larynx (chronique Rollin)
les lundis de l'histoire
Masse critique (industrie culturelle)
les nouveaux chemins de la connaissance (philo)
l'éloge du savoir
Les pieds sur terre (reportages)
Projection privée (interview invité cinéma)
Sur les docks (documentaire)
Une vie, une oeuvre
les vendredis de la philosophie
Zone de libre échange (débat)
La norme retenue pour le premier appel à candidatures de la radio numérique est le T-DMB. Cette norme coréenne utilisée essentiellement pour la télévision mobile personnelle a été retenue par le gouvernement français pour y diffuser les premiers programmes de... radio numérique. Nombre de professionnels du secteur, en particulier les radios associatives, et certaines radios commerciales de catégorie B se sont émues des coûts de diffusion qui vont être engendrés par l'utilisation du T-DMB. Car si cette norme est gourmande en ressource hertzienne, elle l'est aussi par les coûts d'exploitation résultant de la diffusion des radios par des systèmes de multiplexes. Aux craintes des petits opérateurs s'ajoutent également la garantie du pluralisme et les couvertures très limitées proposées pour le moment, à savoir les métropoles et quelques grandes agglomérations françaises. Les campagnes restent les grandes perdantes de la radio numérique et sont pour le moment tenues à l'écart de cette nouvelle technologie.
Une seconde norme de radio numérique était cependant disponible. Cette norme européenne, le DRM, (Digital Radio Mondiale) a été testée avec succès en France et dans divers pays à travers le monde. Inscrite dans le décret de loi sur la radio numérique en décembre 2007, elle n'a pourtant pas été retenue par le CSA, ce dernier estimant que trop peu d'opérateurs souhaitaient l'exploiter, et qu'il n'existait pas de récepteurs capables de recevoir le DRM. Les pressions des acteurs historiques de la radio, et de quelques réseaux en faveur du T-DMB ont été très importantes. L'avantage du déploiement du T-DMB pour ces grands médias audiovisuels réside dans la garantie de pouvoir conserver pour eux le modèle économique en place et de limiter, voir bloquer l'arrivée de nouveaux entrants, donc de nouveaux programmes. La place sur les multiplexes est limitée et les coûts de diffusion relativements élevés, de quoi freiner les candidats à l'obtention de fréquences numériques.
Pour écouter la radio numérique, les grands opérateurs regroupés au sein du Groupement pour la Radio Numérique (GRN) promettaient l'arrivée très prochaine de récepteurs à des coûts raisonnables, équipés d'écrans couleurs permettant de lire les informations associées au programme diffusé. Selon nos confrères de Radio Actu, pour le moment aucun calendrier précis n'a été donné pour l'arrivée de ces récepteurs, qui ne seront pas équipés d'écrans pour les terminaux d'entrée de gamme.
Du côté de la norme DRM, la technologie ne s'est pas arrêtée malgré le choix du CSA, et une situation assez ubuesque se fait jour avec l'arrivée en janvier 2009 du premier récepteur grand public de radio numérique en DRM. Si l'on peut regretter que ce récepteur ne soit pas multinormes, on saluera l'effort de développement réalisé par UniWave Developpement SAS, une société francaise qui a travaillé en collaboration avec la firme Oxygen Ltd. de Hong Kong. Disposant d'un écran LCD couleur, avec un menu intuitif permettant de décoder les données associés et les images diffusées par les stations, ce récepteur permet , en plus du DRM , de recevoir la FM, les grandes ondes, les ondes moyennes et les ondes courtes. Le récepteur UniWave peut lire et enregistrer en format MP3 et MP4 et dispose d'une SD Card et d'un port USB. Au chapitre de la réception on peut signaler une très bonne sensibilité.
Ce récepteur est le premier d'une longue série qui va très vite s'enrichir avec l'arrivée de nouveaux composants développées en particuliers en Corée et en Chine, et qui devraient permettre très vite la réception de la radio numérique dans son ensemble. Encore un petit effort à faire du côté du CSA pour que la radio numérique puisse être reçue dans les zones rurales dans des délais raisonnables et que toutes les normes disponibles soient intégrées dans les appels à candidatures. Déjà de nouvelles normes comme le DAB+ sont disponibles et d'autres comme le , DRM+ arrivent, il s'agit juste d'anticiper et de viser le long terme pour que la radio soit disponible sur tous les supports numériques allant du Web à l'hertzien. La survie du média radio est à ce prix.