cimetière
profites en pour nous faire un de tes sondages bidons:
Quel est le plus grand moment comique de la télévisions française:
1) Sim, déguisé en bébé, qui se fait soupoudrer le cul de talc avec les rires de Thierry Rolland en fond.
2) La première fois que Vincent Lagaffe fit irruption dans la classe de Fabrice en immitant un chimpanzé.
3) Toutes les imitations de Bourvil par André Lamy.
4) Rolland Magdane dans Collaroshow et Cocoricocoboy.
5) Les histoires belges de Guy Montagné.
6) Laurent Gerra immitant Céline Dion sur le plateau de Studio Gabriel.
7) Roger Pierre aux côtés de Jean-Pascal est fofie fafier dans "incroyable mais vrai"
8 ) Jean Roucas dans le Bébête show.
9) Michel Leeb avec son fameux accent africain ("ce ne sont pas mes lunettes, ce sont mes nalines")
10) Didier Gustin qui imite Patrick Sebastien qui imite Bourvil dans lune pub pour du saucisson
Quel est le plus grand moment comique de la télévisions française:
1) Sim, déguisé en bébé, qui se fait soupoudrer le cul de talc avec les rires de Thierry Rolland en fond.
2) La première fois que Vincent Lagaffe fit irruption dans la classe de Fabrice en immitant un chimpanzé.
3) Toutes les imitations de Bourvil par André Lamy.
4) Rolland Magdane dans Collaroshow et Cocoricocoboy.
5) Les histoires belges de Guy Montagné.
6) Laurent Gerra immitant Céline Dion sur le plateau de Studio Gabriel.
7) Roger Pierre aux côtés de Jean-Pascal est fofie fafier dans "incroyable mais vrai"
8 ) Jean Roucas dans le Bébête show.
9) Michel Leeb avec son fameux accent africain ("ce ne sont pas mes lunettes, ce sont mes nalines")
10) Didier Gustin qui imite Patrick Sebastien qui imite Bourvil dans lune pub pour du saucisson
Modifié en dernier par titou le 27 avr. 2006 13:57, modifié 1 fois.
Attention, un train-train peut en cacher un autre.
Repose en paix, Yves.
Tu m'a presque appris à marcher. Tu m'as donné le goût du foot, tu as été le premier supporter malherbiste que j'ai rencontré. Tu étais un fan absolu, toujours confiant, toujours optimiste, fidèle parmi les fidèles. Ta gouaille de normand, ton humeur joviale et ton visage toujours souriant me reviennent douloureusement à l'esprit depuis ce matin.
Nos gains au loto sportif, la gentillesse avec laquelle tu me prenais sous ton aile, les fruits frais que tu ramenais de ton potager, ta silhouette si reconnaissable, tes echappées belles sur ton vélo antique, la tendresse avec laquelle tu avais décidé de t'occuper de ta mère mourante, tes mots gentils, tes blagues épiques, ton courage à la tâche, ta tenue toujours très folklorique du bureau de vote sont autant de souvenirs qui me rappellent péniblement à quel point tu étais quelqu'un de bien et à quel point tu vas manquer à ce petit village dont tu étais l'âme, à toi seul.
Tu ne fréquentais pas le forum, tu n'as certainement jamais allumé un ordinateur, même, mais je trouve que tu mérites ta place ici, parce qu'avec ta disparition, le SMC perd un de ses plus fidèles soutiens, un de ses plus grands passionnés, un de ses plus gentils supporters.
Tu ne reverras pas Malherbe en L1, comme tu l'aurais tant voulu. Nous ne fêterons jamais la future remontée du club, comme nous nous l'étions promis. Tu ne verras plus jamais d'Ornano, que tu aimais tant.
Je ne te verrai plus, et ça me fait un mal de chien.
Anatole France disait que "Mourir, c'est accomplir un acte d'une portée incalculable."
Tu ne connaissais sûrement pas Anatole France, tu ne lisais pas Nietzche et tu te foutais pas mal du retrait du CPE et de la loi Borloo. Mais tu étais drôle et terriblement gentil, et c'est une douleur que de te perdre.
Tu vas me manquer, enfoiré. Tu me manques déjà.
Tu m'a presque appris à marcher. Tu m'as donné le goût du foot, tu as été le premier supporter malherbiste que j'ai rencontré. Tu étais un fan absolu, toujours confiant, toujours optimiste, fidèle parmi les fidèles. Ta gouaille de normand, ton humeur joviale et ton visage toujours souriant me reviennent douloureusement à l'esprit depuis ce matin.
Nos gains au loto sportif, la gentillesse avec laquelle tu me prenais sous ton aile, les fruits frais que tu ramenais de ton potager, ta silhouette si reconnaissable, tes echappées belles sur ton vélo antique, la tendresse avec laquelle tu avais décidé de t'occuper de ta mère mourante, tes mots gentils, tes blagues épiques, ton courage à la tâche, ta tenue toujours très folklorique du bureau de vote sont autant de souvenirs qui me rappellent péniblement à quel point tu étais quelqu'un de bien et à quel point tu vas manquer à ce petit village dont tu étais l'âme, à toi seul.
Tu ne fréquentais pas le forum, tu n'as certainement jamais allumé un ordinateur, même, mais je trouve que tu mérites ta place ici, parce qu'avec ta disparition, le SMC perd un de ses plus fidèles soutiens, un de ses plus grands passionnés, un de ses plus gentils supporters.
Tu ne reverras pas Malherbe en L1, comme tu l'aurais tant voulu. Nous ne fêterons jamais la future remontée du club, comme nous nous l'étions promis. Tu ne verras plus jamais d'Ornano, que tu aimais tant.
Je ne te verrai plus, et ça me fait un mal de chien.
Anatole France disait que "Mourir, c'est accomplir un acte d'une portée incalculable."
Tu ne connaissais sûrement pas Anatole France, tu ne lisais pas Nietzche et tu te foutais pas mal du retrait du CPE et de la loi Borloo. Mais tu étais drôle et terriblement gentil, et c'est une douleur que de te perdre.
Tu vas me manquer, enfoiré. Tu me manques déjà.
"Life's a bitch and then you meet one."
En fait, Yves est le type mort dans des conditions assez horribles, hier, à la sucrerie de Cagny, ensevelli sous des tonnes de sucres.
Ce fait divers m'aurait presque fait sourire, sans doute, s'il ne s'était pas agi d'un ami, d'un de ces types qui font le charme de nos campagnes et animent nos villages poussiéreux. Avec lui, c'est tout un pan de mon enfance qui s'en va....
Ce fait divers m'aurait presque fait sourire, sans doute, s'il ne s'était pas agi d'un ami, d'un de ces types qui font le charme de nos campagnes et animent nos villages poussiéreux. Avec lui, c'est tout un pan de mon enfance qui s'en va....
"Life's a bitch and then you meet one."