jesperolsen a écrit : La politique de l'autruche va durer encore combien de temps ?
Je crois que tu peux attendre tes excuses jusqu'à la St-Glinglin . L'équipe dirigeante du SMC en a rien à foutre de ce que pense les "supporters" depuis 3 ou 4 ans.
Toujours rien ?
Il offre la primeur de ses commentaires pour les actionnaires ?
Il doit de toutes façons expliquer sa saison catastrophique en tant qu'entraîneur. Descente, élimination au première tour de coupe de la ligue par la plus mauvaise équipe de L1, élimination au 2ème tour de CDF de par une L2. Ah ouais, quand même ... Chapeau.
Mais il doit aussi expliquer ses résultats pitoyables en tant que manager. L'effectif ne semblait pas armé pour faire mieux que la saison passée. Il a même semblé être affaibli par de nombreux départs non Compan-sés.
Le pire, c'est que peut-être même qu'un Jemaa aurait suffi ... Comment Dumas a pu ne pas voir qu'on manquait d'un joueur autour de Savidan pendant les 3/4 de l'année ? Et encore, il me semble que c'est à la faveur de blessures qu'il a pensé à lancer Yatabaré ...
Putain de regrets de merde. Y'avait quand même largement moyen de rester en L1 sans les erreurs du manager Dumas. Même avec un entraîneur mauvais comme Dumas.
Fais gaffe JJ si Dumas est dans le coin.
Il paraît qu'il a toujours des clubs de golf dans son coffre, et qu'il n'hésitera pas à s'en servir en dehors des greens ... C'est en tous cas ce qu'il soutenait il y a environ 2 ans.
Il pourra toujours arguer qu'il occupe la première place pour avaoir utilisé le plus fréquemment le mot "couilles" dans la saison et celui qui s'est foutu le plus des journalistes avec ses réponses ironico-cyniques.
Jesper, ça fait vach'ment froid dans l'dos quand tu retraces l'ensemble du parcours de la saison là...
Je croyais que ma palme de l'inconsistance et de l'incohérence des propos ne pouvait pas échapper à Franck Leboeuf, lui qui en 1998 critiquait tout ceux qui ne soutenaient pas Jacquet et l'EDF et qui en 2008 tire à boulets rouges sur Domenech.
Mais non, Dumas fait mieux, c'est vrai.
En demandant du courage, mais de son côté en fuyant continuellement ses responsabilités.