[J38] - En Avant Malherbe !
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
I never forget a number. Names? In one ear and out the other. Places? Nope. Faces? That's rich. But, numbers? I have a gift. I guess that's why I'm an accountant.
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
the punishers a écrit :NickP a écrit :Fred.. je lis à mi-mot qu'il ne VEUT PAS jouer en L2.
Si on descends , il part sur: si on se maintient, revalorisation salariale!
ca va Pascal, quoi de prévu pour ce long week end ?
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the punishers
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Re: [J38] - En Avant Malherbe !
SHYSHY a écrit :the punishers a écrit :NickP a écrit :Fred.. je lis à mi-mot qu'il ne VEUT PAS jouer en L2.
Si on descends , il part sur: si on se maintient, revalorisation salariale!
ca va Pascal, quoi de prévu pour ce long week end ?
Je sais pas ce qu'il fera, mais toi qu'as tu prévus ?
Pour moi, une belle balade sur mont Saint clair!
Just an illusion , "el condor".
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
Attention Pascal, la randonue n'y est pas autorisée !
Make Le Forum great again !
Re: [J38] - SMCAEN / PSG
bigdudu a écrit :"En Avant Malherbe" pour concilier les 2 ?
Faut encore changer de titre: Maintenant c'est " En Avant Medef"
Je vais pas réussir a m'y faire a cette nouvelle situation qui me donne envie de vomir.
- Guigui
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Re: [J38] - En Avant Malherbe !
Le groupe parisien : Areola, Trapp - Berchiche, Kimpembé, Kurzawa, Marquinhos, Meunier, Rimane, Thiago Silva - Adli, Draxler, Lo Celso, Diarra, Nkunku, Pastore, Rabiot, Thiago Motta - Mbappé, Weah, Di Maria.
L’équipe probable : Areola - Berchiche (ou Kurzawa), Thiago Silva (ou Kimpembe), Marquinhos, Meunier - Draxler, Lo Celso, Diarra (ou Rabiot), Pastore, Di Maria - Nkunku (ou Weah)
L’équipe probable : Areola - Berchiche (ou Kurzawa), Thiago Silva (ou Kimpembe), Marquinhos, Meunier - Draxler, Lo Celso, Diarra (ou Rabiot), Pastore, Di Maria - Nkunku (ou Weah)
Berrichonne, ma cochonne, on te tamponne !
- globule_smc
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Re: [J38] - En Avant Malherbe !
une petite semelle sur Thiago Silva dès le début...ça refroidit tout le monde, et c'est dans la poche
Kash a dit : Hénin, il est de la famille de Justine Hénin ?
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
L’équipe probable : Samba (g.) - Guilbert, Da Silva, Djiku, Mbengue - Féret (cap.), Sankoh, Aït Bennasser - Kouakou, Santini, Rodelin. Entraîneur : Patrice Garande.
Remplaçants (à choisir parmi) : Dreyer (g.), Genevois, Armougom, Avounou, Deminguet, Peeters, Repas, Stavitski.
Absents : Vercoutre (épaule), Crivelli (pubalgie), Bessat (adducteurs), Diomandé (suspendu), Le Joncour, Dabo, Leborgne, Nkololo, Bazile (choix).
https://www.ouest-france.fr/sport/football/sm-caen/football-sm-caen-un-groupe-de-19-joueurs-avec-deminguet-pour-paris-5767070
Remplaçants (à choisir parmi) : Dreyer (g.), Genevois, Armougom, Avounou, Deminguet, Peeters, Repas, Stavitski.
Absents : Vercoutre (épaule), Crivelli (pubalgie), Bessat (adducteurs), Diomandé (suspendu), Le Joncour, Dabo, Leborgne, Nkololo, Bazile (choix).
https://www.ouest-france.fr/sport/football/sm-caen/football-sm-caen-un-groupe-de-19-joueurs-avec-deminguet-pour-paris-5767070
Modifié en dernier par Moriarty le 18 mai 2018 17:43, modifié 1 fois.
Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
On perd la demie contre le psg et on joue la finale contre eux.
Ca va commencer à se voir....
Ca va commencer à se voir....
Vous aimez le lait ?
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
Au SM Caen, la délivrance ou les heures sup’ et l’angoisse
Ligue 1. SM Caen - Paris Saint-Germain, samedi (21 h). Incapable de se maintenir avant, Caen joue de nouveau son avenir sur un dernier match face à Paris. Il regardera aussi vers Toulouse.
« Un jour, Guy Roux nous avait mis une phrase au tableau dans le vestiaire : « l’intelligence, c’est l’art de savoir s’adapter ». Je m’adapte. » Pour résumer le présent, Patrice Garande a convoqué le passé et de lointains souvenirs auxerrois jeudi midi. Un an après la folle soirée au Parc des Princes, Malherbe retrouve le frisson d’une 38e journée à enjeu face à l’ogre parisien. La situation sportive est différente, le contexte singulier en coulisses.
Quarante-huit heures avant de jouer leur survie en Ligue 1, joueurs et staff ont vu le SM Caen changer de président. Et l’homme fort des seize dernières années poussé vers la sortie. « Que ça m’agace, que je ne sois pas d’accord, ça change quoi , interroge l’entraîneur caennais. La situation, je la connais, mais mon travail, c’est de maintenir le club en Ligue 1. Si c’est le cas samedi, j’aurai des choses à dire sur le bilan de ce qui a été fait, et j’aurai ma liberté d’expression sur le reste. Mais aujourd’hui, mon rôle, ce n’est pas celui-là. »
Le message est clair et a été livré en ces termes aux joueurs : « Occupons-nous de ce qui dépend de nous » . C’était le sens de la séance de jeudi, effectuée à d’Ornano. « Au milieu de la pelouse, je leur ai dit : « la vérité, l’essentiel, c’est là, samedi à 21 heures ». Je ne vous dis pas que c’est simple, mais on essaye de rester concentré sur notre métier. »
« Beaucoup de probabilités que l’on reste en Ligue 1 »
Justement : Malherbe est-il capable de réunir sur un match ce qu’il n’a plus depuis deux mois et demi ? « Oui, ils sont capables de le faire. Ils ont montré contre Monaco qu’ils avaient envie de finir le travail, même si on n’a pas gagné , dit Patrice Garande. Strasbourg jouait Lyon et personne n’aurait parié sur eux. Ils l’ont fait devant 35 000 personnes, alors qu’ils restaient sur 11 matches sans succès… Il faut déjà se conditionner pour cela, comme on l’avait fait face à Lyon (1-0) en Coupe de France. »
Unique exemplaire d’une victoire caennaise depuis début mars. Dans un d’Ornano attendu plein, un match nul suffit cette fois à Malherbe, qui aura aussi le regard tourné vers Toulouse (voir ci-contre). « On n’a aucune certitude sur le fait que ça s’arrête samedi. Mais j’essaye toujours d’être le plus réaliste possible. On a 37 points, Toulouse en a 34 et doit faire les choses. Il y a beaucoup de probabilités pour que l’on reste en Ligue 1. »
Quel que soit le chemin, on ne retiendra que la fin. Patrice Garande, lui, convoque « le vécu » des siens dans cette situation. Et appelle à « une unité totale » du terrain aux tribunes, au moment où « ce n’est pas l’euphorie générale » dans le groupe. « Sur la pelouse, on doit avoir l’attitude pour générer cela. On ne peut pas demander aux gens de mettre le feu dans le stade si on fait le même match qu’à Nice. La seule chose que je demande à mes joueurs, c’est de voir onze mecs qui jouent leur peau sur le terrain. Qui montrent qu’ils veulent sauver le club, qu’ils n’ont pas envie de mourir. Ça doit se voir. Et ça se verra au bout de dix secondes. »
Paris, lui, arrive à d’Ornano avec sa ribambelle d’internationaux, moins Cavani, Neymar, Alves et Verratti. Le cœur léger, la tête déjà en Russie. « On s’est sauvé à Paris l’an dernier, et cela paraît plus accessible cette fois. Tout le monde parle du fait que Paris est en vacances, mais il faut se méfier de cela. Ça reste une équipe où il n’y a que des internationaux. Moi, j’essaye de sensibiliser mes joueurs sur leur fierté et leur orgueil. Je n’ai pas envie d’être l’entraîneur qui fait descendre le Stade Malherbe et il ne faut pas qu’ils soient les joueurs qui fassent descendre le Stade Malherbe. »
Ligue 1. SM Caen - Paris Saint-Germain, samedi (21 h). Incapable de se maintenir avant, Caen joue de nouveau son avenir sur un dernier match face à Paris. Il regardera aussi vers Toulouse.
« Un jour, Guy Roux nous avait mis une phrase au tableau dans le vestiaire : « l’intelligence, c’est l’art de savoir s’adapter ». Je m’adapte. » Pour résumer le présent, Patrice Garande a convoqué le passé et de lointains souvenirs auxerrois jeudi midi. Un an après la folle soirée au Parc des Princes, Malherbe retrouve le frisson d’une 38e journée à enjeu face à l’ogre parisien. La situation sportive est différente, le contexte singulier en coulisses.
Quarante-huit heures avant de jouer leur survie en Ligue 1, joueurs et staff ont vu le SM Caen changer de président. Et l’homme fort des seize dernières années poussé vers la sortie. « Que ça m’agace, que je ne sois pas d’accord, ça change quoi , interroge l’entraîneur caennais. La situation, je la connais, mais mon travail, c’est de maintenir le club en Ligue 1. Si c’est le cas samedi, j’aurai des choses à dire sur le bilan de ce qui a été fait, et j’aurai ma liberté d’expression sur le reste. Mais aujourd’hui, mon rôle, ce n’est pas celui-là. »
Le message est clair et a été livré en ces termes aux joueurs : « Occupons-nous de ce qui dépend de nous » . C’était le sens de la séance de jeudi, effectuée à d’Ornano. « Au milieu de la pelouse, je leur ai dit : « la vérité, l’essentiel, c’est là, samedi à 21 heures ». Je ne vous dis pas que c’est simple, mais on essaye de rester concentré sur notre métier. »
« Beaucoup de probabilités que l’on reste en Ligue 1 »
Justement : Malherbe est-il capable de réunir sur un match ce qu’il n’a plus depuis deux mois et demi ? « Oui, ils sont capables de le faire. Ils ont montré contre Monaco qu’ils avaient envie de finir le travail, même si on n’a pas gagné , dit Patrice Garande. Strasbourg jouait Lyon et personne n’aurait parié sur eux. Ils l’ont fait devant 35 000 personnes, alors qu’ils restaient sur 11 matches sans succès… Il faut déjà se conditionner pour cela, comme on l’avait fait face à Lyon (1-0) en Coupe de France. »
Unique exemplaire d’une victoire caennaise depuis début mars. Dans un d’Ornano attendu plein, un match nul suffit cette fois à Malherbe, qui aura aussi le regard tourné vers Toulouse (voir ci-contre). « On n’a aucune certitude sur le fait que ça s’arrête samedi. Mais j’essaye toujours d’être le plus réaliste possible. On a 37 points, Toulouse en a 34 et doit faire les choses. Il y a beaucoup de probabilités pour que l’on reste en Ligue 1. »
Quel que soit le chemin, on ne retiendra que la fin. Patrice Garande, lui, convoque « le vécu » des siens dans cette situation. Et appelle à « une unité totale » du terrain aux tribunes, au moment où « ce n’est pas l’euphorie générale » dans le groupe. « Sur la pelouse, on doit avoir l’attitude pour générer cela. On ne peut pas demander aux gens de mettre le feu dans le stade si on fait le même match qu’à Nice. La seule chose que je demande à mes joueurs, c’est de voir onze mecs qui jouent leur peau sur le terrain. Qui montrent qu’ils veulent sauver le club, qu’ils n’ont pas envie de mourir. Ça doit se voir. Et ça se verra au bout de dix secondes. »
Paris, lui, arrive à d’Ornano avec sa ribambelle d’internationaux, moins Cavani, Neymar, Alves et Verratti. Le cœur léger, la tête déjà en Russie. « On s’est sauvé à Paris l’an dernier, et cela paraît plus accessible cette fois. Tout le monde parle du fait que Paris est en vacances, mais il faut se méfier de cela. Ça reste une équipe où il n’y a que des internationaux. Moi, j’essaye de sensibiliser mes joueurs sur leur fierté et leur orgueil. Je n’ai pas envie d’être l’entraîneur qui fait descendre le Stade Malherbe et il ne faut pas qu’ils soient les joueurs qui fassent descendre le Stade Malherbe. »
Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
Je ne souhaite qu'une chose pour la compo d'équipe !
Sorbon et Benezet titulaires.
Sorbon et Benezet titulaires.
Si jamais ce message devait être copié/collé un jour sur un autre forum, je déclare que j'ai été victime d'une usurpation d'identité et que c'est pas moi
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
PSG : qui veut jouer à Caen ?
La dernière sortie de la saison n'enchante guère les Parisiens. Les mondialistes veulent faire l'impasse pour se préserver.
À quoi ressemblera l'équipe du Paris-Saint-Germain alignée ce samedi soir ? On peut se poser la question tant les Parisiens vivent cette fin de saison comme un long chemin de croix. Et la plupart d'entre eux, qui disputeront la Coupe du monde en Russie dans moins de trois semaines (du 14 juin au 15 juillet), feraient bien l'impasse sur cette ultime sortie de la saison. En effet, ils n'ont qu'une crainte : la blessure. La grave lésion de Dani Alves, victime d'une entorse du genou droit et d'une désinsertion du ligament croisé antérieur le 8 mai contre Les Herbiers (2-0), en finale de la Coupe de France, les a traumatisés puisque le Brésilien a dû déclarer forfait pour le Mondial. Ils ont aussi en mémoire la tuile arrivée à Neymar, le 25 février contre Marseille (3-0). Certes, la star du PSG est rétablie de son entorse à la cheville et de sa fissure du cinquième métatarsien du pied droit, mais «le Ney» est lancé actuellement dans une course contre la montre pour être au top en Russie.
Interrogé vendredi lors de sa dernière conférence de presse de veille de match pour savoir si des joueurs lui avaient demandé de ne pas jouer ce samedi soir, Unai Emery n'a pas répondu, se contentant de dire : «On a travaillé pour préparer le match avec tout l'effectif.» Ce qui n'empêche pas que certains lui aient fait comprendre qu'ils verraient d'un bon oeil de s'économiser ou de rester sur le banc à Caen. Edinson Cavani ne figure pas, par exemple, dans le groupe des vingt joueurs retenu par l'entraîneur espagnol du PSG. Le meilleur buteur parisien de la saison (avec 40 buts en 48 matches) se ressent toujours du coup à un pied reçu lors du match face aux Herbiers. On peut aisément imaginer que si l'enjeu avait été tout autre, Cavani aurait sûrement pu tenir sa place.
Emery veut respecter la compétition :
Pour cette ultime sortie de la saison, Unai Emery doit donc se passer de Cavani, mais également de Neymar, rentré au Brésil jeudi finir sa convalescence en vue du Mondial, ainsi que de Marco Verratti, opéré d'un adducteur, et de Dani Alves, prochainement opéré et absent environ six mois. Le futur ex-coach du PSG a affirmé vendredi qu'il voulait «finir sur un succès et respecter la compétition et tous les adversaires» car il sait que le duel face à Caen peut avoir des incidences sur celui entre Toulouse et Guingamp dans la lutte pour le maintien.
Néanmoins, il pourrait être tenté d'aligner en majorité des footballeurs qui seront en vacances au coup de sifflet final, comme Berchiche, Kurzawa, Diarra, Motta, Rabiot, Pastore ou encore le jeune Weah. Di Maria et Mbappé apprécieraient, de leur côté, de ne pas être alignés. Seront-ils entendus par leur entraîneur ? Allez, encore un effort et c'est fini.
La dernière sortie de la saison n'enchante guère les Parisiens. Les mondialistes veulent faire l'impasse pour se préserver.
À quoi ressemblera l'équipe du Paris-Saint-Germain alignée ce samedi soir ? On peut se poser la question tant les Parisiens vivent cette fin de saison comme un long chemin de croix. Et la plupart d'entre eux, qui disputeront la Coupe du monde en Russie dans moins de trois semaines (du 14 juin au 15 juillet), feraient bien l'impasse sur cette ultime sortie de la saison. En effet, ils n'ont qu'une crainte : la blessure. La grave lésion de Dani Alves, victime d'une entorse du genou droit et d'une désinsertion du ligament croisé antérieur le 8 mai contre Les Herbiers (2-0), en finale de la Coupe de France, les a traumatisés puisque le Brésilien a dû déclarer forfait pour le Mondial. Ils ont aussi en mémoire la tuile arrivée à Neymar, le 25 février contre Marseille (3-0). Certes, la star du PSG est rétablie de son entorse à la cheville et de sa fissure du cinquième métatarsien du pied droit, mais «le Ney» est lancé actuellement dans une course contre la montre pour être au top en Russie.
Interrogé vendredi lors de sa dernière conférence de presse de veille de match pour savoir si des joueurs lui avaient demandé de ne pas jouer ce samedi soir, Unai Emery n'a pas répondu, se contentant de dire : «On a travaillé pour préparer le match avec tout l'effectif.» Ce qui n'empêche pas que certains lui aient fait comprendre qu'ils verraient d'un bon oeil de s'économiser ou de rester sur le banc à Caen. Edinson Cavani ne figure pas, par exemple, dans le groupe des vingt joueurs retenu par l'entraîneur espagnol du PSG. Le meilleur buteur parisien de la saison (avec 40 buts en 48 matches) se ressent toujours du coup à un pied reçu lors du match face aux Herbiers. On peut aisément imaginer que si l'enjeu avait été tout autre, Cavani aurait sûrement pu tenir sa place.
Emery veut respecter la compétition :
Pour cette ultime sortie de la saison, Unai Emery doit donc se passer de Cavani, mais également de Neymar, rentré au Brésil jeudi finir sa convalescence en vue du Mondial, ainsi que de Marco Verratti, opéré d'un adducteur, et de Dani Alves, prochainement opéré et absent environ six mois. Le futur ex-coach du PSG a affirmé vendredi qu'il voulait «finir sur un succès et respecter la compétition et tous les adversaires» car il sait que le duel face à Caen peut avoir des incidences sur celui entre Toulouse et Guingamp dans la lutte pour le maintien.
Néanmoins, il pourrait être tenté d'aligner en majorité des footballeurs qui seront en vacances au coup de sifflet final, comme Berchiche, Kurzawa, Diarra, Motta, Rabiot, Pastore ou encore le jeune Weah. Di Maria et Mbappé apprécieraient, de leur côté, de ne pas être alignés. Seront-ils entendus par leur entraîneur ? Allez, encore un effort et c'est fini.
Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
Moriarty a écrit :L’équipe probable : Samba (g.) - Guilbert, Da Silva, Djiku, Mbengue - Féret (cap.), Sankoh, Aït Bennasser - Kouakou, Santini, Rodelin. Entraîneur : Patrice Garande.
Remplaçants (à choisir parmi) : Dreyer (g.), Genevois, Armougom, Avounou, Deminguet, Peeters, Repas, Stavitski.
Absents : Vercoutre (épaule), Crivelli (pubalgie), Bessat (adducteurs), Diomandé (suspendu), Le Joncour, Dabo, Leborgne, Nkololo, Bazile (choix).
https://www.ouest-france.fr/sport/football/sm-caen/football-sm-caen-un-groupe-de-19-joueurs-avec-deminguet-pour-paris-5767070
Je croyais que Guilbert voulait uniquement des battant sur le terrain...
Pas convaincu que Ait Bennasser, Rodelin & Feret soient de ceux la
Re: [J38] - En Avant Malherbe !
Ce n'est pas Guilbert qui fait l'équipe.
Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.
