graham a écrit:
Comme quoi la concurrence libre et non faussée si jamais elle existait ne pourrait que se perpétuer que si l'Etat intervient pour briser les monpoles privés. Et pour ce faire, mieux vaut ne pas attendre que les firmes privées soient devenues tellemen tpuissantes qu'elles pourront refuser les mesures décider par l'etat pour briser leur monopole. Le libéralisme est un totalitarisme.
Ton argumentaire tiens la route mais je ne le partage pas sur tous les points de vue et nottamment celui que je cite.
L'Etat intervient déjà dans les sociétés libérales contre les monopoles (lois anti-trust aux US, cas Microsoft). Ce qui n'est pas vraiment le cas en France où les monopoles ont été légion (FT, ) et certains le sont toujours (EDF, SNCF). Imposer un fournisseur (énergie, transport, communication) c'est n'avoir strictement aucun choix, pour moi ça, c'est du totalitarisme.
Les états là aussi mettent fin à un monopole. Je prend un exemple, grâce à l'Europe on arrive à une certaine liberté dans le choix de nos fourniseurs télécoms ce qui a favorisé la croissance technologique (ADSL2+, VoIP...), la création ou le développement d'entreprises dans le secteur, donc de l'embaûche.
Il ne faut pas oublier que c'est le marché qui fait l'entreprise. Et non l'inverse.
Donc la roue tourne pour tout le monde, même pour les plus grosses entreprises "capitalistes". General Motors est sur le point de faire faillite pourtant c'était le plus gros constructeur automobile du Monde. Apple il y a 10 avait presque les deux pieds dans la tombe. Alors non, le libéralisme c'est pas le totalitarisme, c'est le Darwinisme à l'échelle économique.