Mais non, ta puissance (et notre démographie exponentielle) n'est due qu'à une ressource découverte hier à peine : le pétrole.
Les économistes n'ont jamais réussi à comprendre ce fait tout simple, parce que toutes leurs équations l'omettent.
Tu réfléchis à une échelle absurde (ta propre existence), en bon épigone des écoles de l'économie classique.
Tu en fais quoi de ta richesse produite sans carburant ?
Quedal, tu retournes au système esclavagiste de l'Antiquité.
Faut vraiment que je réactive le sujet sur l'Effondrement, où tout est étayé, en long, en large et en travers ?
Au pif, un lien sur Internet :
http://energie-climat.obspm.fr/debats/a ... 0restituer.
"Conclusion 1 : Personne n’avait les moyens, il y a un siècle, de se payer avec le seul fruit de son travail, l’équivalent de cent domestiques pour se déplacer, se nourrir, se divertir, faire sa cuisine et sa vaisselle. Aujourd’hui, l’énergie mécanique ne vaut rien, parce que le pétrole coule à flot. Mais attention, nous sommes au pic de production.
Conclusion2 : Un litre de pétrole, qui coûte 1 à 2 euros, apporte autant de travail que deux hommes-jours qui, s’ils sont payés, coûtent, au minimum 300 euros. L’abondance de l’énergie bon marché explique l’essentiel des progrès, dont les progrès sociaux, que nous avons connus depuis le 19è siècle !
Conclusion 3 : Pour régler le problème climatique, l’énergie fossile consommée en France doit être divisée par 4, ce qui signifie, à technologie constante, quelques dizaines "d’équivalent esclave" par personne. Ce ne serait pas vraiment le retour à l’âge de pierre, mais il faut se préparer."
Bref, achète du bitcoin si tu veux pour t'illusionner, c'est en effet le refuge actuel trouvé face à la dépréciation inévitable de la monnaie fiduciaire, tellement elle est injectée par les banques centrales.
Mais tout ça, c'est un leurre, bien assis sur du sable. Il ne peut y avoir que de la spéculation...C'est inévitable (on pourrait dire "humain"), alors que rien n'est tangible.
La réalité physique seule est à prendre à compte.
Les soubresauts de ce type à la Bourse ne sont que les commencements des débuts des prémices d'un autre krach qui me fait beaucoup moins envie.
Mais nul ne peut s'en extraire.
Quand les placards sont vides...ils sont vides ! Aurait dit Monsieur de La Palice.