l exile a écrit:
Non pas tout le monde, je n'opprime pas les nazis, au pire je me défendrait contre eux.
Mais la discussion est sans fin puisque tu pense qu'il est nécessaire d'avoir un pouvoir éclairé et régulateur pour que l'humain vive correctement, alors que moi pas.
Ta vision de l'état rejoint un principe de l'église chrétienne comme quoi l'homme est mauvais par nature et qu'il doit être constamment dirigé, mais par d'autres hommes...
Pas Chrétien en soi viscéralement, mais la foule se tourne très souvent vers un chef quiprend les décizsions à leur place et les protège des plus intelligents et/ou plus fort que la meute.
l exile a écrit:
Nous n'avons pas à tolérer ou pas, la tolérance implique le fait que nous sommes supérieurs et que nous accordons, ou pas, des droits. Mauvais exemple que de prendre les nazis dans ce cas là...
Celui qui est violent n'a pas forcément raison, mais ceux qui sont les plus nombreux non plus.
Les lois contre la violence ne l'on jamais empêcher d'exister, d'ailleurs les états ne se privent pas de taper sur leur voisin s'il ne l'aime pas.
Parce que la peur de la violence créer la prévention de la violence, et presque toujours, par la violence.
La violence n'est pas une opinion, elle doit demeurer une réaction.
Le pouvoir n'est pas à conquérir, il est à détruire.
D'ailleurs l'état condamne la violence des autres, surtout celle qui le vise, seul lui est apparemment légitime pour l'utiliser. Et je ne parle pas que de celle commise en son sein, qui est souvent dérisoire par rapport à celle qu'il exerce à l'extérieur, du moins dans le cas d'une démocratie.
La plupart du temps l'état ne défend pas ses citoyens, mais bien lui même. Il est très fort pour créer l'amalgame et obtenir leur soutient.
L'état protège aussi la population en évitant casse matérielle et les rassemblement de la poignée d'enragés qui perturbent plus qu'autre chose une pacifique manifestation.
Tout le monde est content, sauf ceux qui le sont jamais...