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Ça ne veut rien dire. C'est plus une question tactique au départ puis de force de l'équipe pour rouler et revenir que de mental. Et quand Thomas est tombé, le peloton roulait bien mais pas à fond comme quand un coup de bordure permet d'éliminer des concurrents. Pinot réfute d'ailleurs cette histoire de moral.

Le coup de la bordure a été bien joué, il y a plusieurs facteurs stratégiques et au moment propice ils sont là ik faut agir vite.Cela a pu permettre d'écumer ou écrémer, avec le rond-point, en théorie, la moitié des poursuivants.
Le rond point était apparemment piègeux, car le faux plat en descente a pu influencer certains en se disant c'est mieux, un peu comme une planche de Pascal bouchée d'un côté et pas de l'autre.Il y avait déjà eu une attaque après un rond+point mais pas assez de vent pour la bordure.
Ce sont les 2 facteurs rond-point pour diviser puis vent + bordure pour étirer.
Ces trucs doivent être connus du peloton professionnel et aguerri, mais comme dans la vie, on n'agit pas toujours parfaitement et on peut baisser la garde.
Anticiper cela est d'une astuce stratégique pro et l'initier est machiavélique, bien joué. On peut comprendre que certains ne l'aient pas vu.Même des malins auraient pu se faire avoir.
Pinot a raison sans doute en disant qu'après cela même avec un moral en béton revenir était hyper dur, mais se défendre là dessus montre une justification de soi qui, du coup, manque de personnalité.
Le coup fait un peu loterie, c'est pour ça que j'ai pensé à la planche de Pascal(la bille qui tombe à travers un triangle pour finir dans un des 10 trous), on pourrait modéliser le coup avec une planche et un triangle avec un côté plus long qu'un autre.Ceux qui ont anticipé ont pu rester collé en pédalant un bon coup.
Mais le tour n'est pas fini et avec les Pyrénées ont pourra voir fes échappées avec des avances encore plus grandes.

Avant les grandes étapes de montagne, un petit coup d'oeil au classement général montre que les 25 premiers, dont les Français Alaphilippe, Pinot, Bardet, Barguil, Gaudu et G. Martin, se tiennent en 6' (Martin est 25ème à 5'59"). Le 26ème est à 11'20". Parmi eux, quelques coureurs comme Barguil vont perdre volontairement du temps, lors du c.l.m.par exemple, pour pouvoir s'offrir une échappée dans les étapes de montagne, ou en se relevant après avoir travaillé pour leur leader, comme Gaudu (Pinot), Mollema (Quintana), Konrad (Buuchmann) ... En résumé, seuls une quinzaine de coureurs (et sans doute moins d'une dizaine après 2 étapesde montagne) joueront le général ou le classement des jeunes (Gaudu ?).

Totalement inutile pour quiconque de se battre pour le maillot blanc, il est promis à Bernal.

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tu ferrais bien de t'y mettre à la rando, sinon tu vas finir au Cap d'Agde comme bouée tractée !

Il n'y a pas de dotation pour les 3 premiers ?

Les champs Elisés sont loin...

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Alors tocard de service, Mayer en mousse, mais de l argent dessus car la mousse est positionné vers le nord: ainsi on perd pas le nord...
C est beau ce que j écris lol[/quote]

Pascal, ça s'écrit "élysées" et pour s'en souvenir il faut juste se souvenir que c'est d'origine grecque, et que les grecs ils mettent des y (i grec) partout (sauf dans Sophocle)

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If adolf hitler flew in today
They'd send a limousine anyway

Par contre Pascal a raison pour ce qui est de la majuscule.

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http://hion.skyblog.com

En revanche, par contre est déconseillé par l'Académie.

au lycée Galatasaray aussi, vu le nombre de fois que mon père nous a repris quand on disait par contre. J'en arrive à corriger les gens quand je l'entends tellement c'est devenu un réflexe pavlovien

Par contre, c'est quoi cette histoire avec "par contre" ?

HELLO JOHNNY WEISSMULLER

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Alors tocard de service, Mayer en mousse, mais de l argent dessus car la mousse est positionné vers le nord: ainsi on perd pas le nord...
C est beau ce que j écris lol[/quote]

Les nombreuses digressions autour de cette 12ème étape sans en aborder l'intérêt me confortent dans le sentiment que la plus prestigieuse épreuve au monde peut devenir un vrai pensum. Sans comparaison possible avec les épreuves d'un jour. Ce Tour est soporifique sauf quand le n°1 s'en mêle. Les "favoris" eux, comptent leurs billes. A vos calculettes messieurs.

Sans blague, le Tour est moins passionnant que les grandes classiques ? Quelle découverte !