François de Malherbe a écrit:
basile a écrit:
en tant de guerre.
Tu n'as guère de temps pour te relire !
Après, tu es le seul à te lire, en même temps.
Non, même pas systématiquement.Le seul à écrire. Se relire est une activité d'oisif.
Juste pas le temps de se relire.Mais tant de choses à lire.
À l'heure d'internet j'agrée que c'est un fléau, où l'info doit circuler vite, alors qu'à une époque pas si lointaine, l'auto relecture enlevait ses fauyes d'ortgographe, mais permettait de prendre le recul nécessaire pour harmoniser ses vecteurs de pensée, en hiérarchisant ses arguments, desquels on sortait un plan fluide qui dès sa lecture donnait une bonne idée des grandes lignes.Les détails et les chiffres, pertinents pour argumenter son cardinal, amenaient donc à l'organigramme logique tenant lieu de plan qui permettait , zn synthèse , de conclure.
Un livre enluminé à la main, était le chef d'œuvre d'une vie.
Loin de là ma prétention.Mais il y a , dans l'histoire , le long d'une chronologie étalée, déjà beaucoup d'éléments qui donnent des clés qui expliquent le présent. Quand à l'avenir, je me le réserve, de par son implication stratégique, et les faits qui en arrivent àu puzzle qui, si la Russie de Poutine passe à côté parce que ce n'est que coïncidences, ils sont un peu gniais.Car pas mal d'éléments interdépendants convergent.
Développer cela à partir du Rus' , du roy l'inverse une Lituanie, l'histoire de l'Ukraine et de la Russie, à travers les courants politiques tiraillant , spatialement comme idéologiquement un carrefour du Monde, comme les symboles divers l'expriment.Finissant en zone tampon, le seul cas d'un nationalisme, certes limité aux frontières, qu'on ne peut , finalement, imputer qu'à des réactions extrêmes exercées par contrainte, peut être excusable, tel un territoire occupé revendiquant sa liberté, un militaire prisonnier dont son devoir est de s'évader.Des 4 points cardinaux de la boussole de Macron, une position centrale, pourrait être une richesse si le voisin russe n'avait pas pris ce pays comme sa propriété exclusive, au lieu d'accepter l'inverse et d'exclure la volonté d'un peuple souverain. L'histoire commune (les 90 ans de l'holodomor, Tchernobyl) est de la poudre aux yeux pour un plan stratégique apparu peu avant le regain d'intérêt russe.Qui va finir par imploser si les oligarques ne s'associent pas en gouvernement, avec, si intelligence, des philosophes, des économistes, des sociologues respectés et j'en passe formant ainsi un gouvernement où un de ceux là serait élu, sous contrôle des autres, aussi l'autocratie serait sinon éradiquée, sinon réduite.
Compliqué d'imposer en Russie une des derniers modèle inchangé d'une des dernières démocratie arrivée dans la chronologie de l'ère humaine, et qui tient encore dans sa constitution originelle. :Les USA. Modèle pour un grand territoire, Fédéral.
Tollé.
Mais centrer le pouvoir et unifier des disparités force est de constater que les Tsars ont raté, les soviétiques ont raté et Poutine va se rater.
La Russie devrait se fédérer dans des régions cohérentes, représentées aux chambres.
Rêver de la Grande Russie a des relents de caca et, à vrai dire les discours poutiniens relevent d'idéologies et symboliques qui n'apporteront rien au plis grand nombre des russes et encore moins du monde.
Des idéologies qui divisaient avant, pendant, après les Bolcheviks et la Douma post Gorbatchev.
Sans dévoiler mes conclusions et le point crucial en argument, la dialectique idéologique/territoriale des ex-pays de la doctrine Jdanov passe par , tel le propose Erick Erickson et ses conflits devant trouver une solution , un équilibre pour se trouver un Moi solide, des conflits et qui se règleraient par l'antithèse de la thèse, d'une façon aussi radicale que l'empreinte était forte et subie.
La part d'inconnues dans mon analyse est à quel point la synthèse sera digérée et en combien de temps.Et à la suite de cette synthèse (Europe-Russie) adviendra à qui voudra son futur au sein , ayant objectivement pesé le pour et le contre.
In Poutine absent favorisera la théorie et à vrai dire tendra sa limite vers l'infini.
Au delà des déstabilisations autochtones soutenues si elles sont t arrangées, écrasées sinon arrangeantes, convergences&opportunités contre séparatismes et périphéries, la symbolique de l'Europe centrale et de l'Est de la nuit des temps nourrira la cartographie russe du siècle prochain coire déjà duXXIeme siècle, ;
De la bipolarisation à la dipolation :Il est vain , à l'heure actuelle de partitionner le monde en 2 parties est et ouest, , et toujours selon Poutine qui remontera son ancien empire on arrivera fatalement un jour à une russie centre du monde, non pas sur la carye E.M. qu'on tend sur la table comme un E.M. au QG du PC Op., mais strategiquement, symboliquement et au vu de l'invesrissement des Oligarques (gaz comme des choses que peu, j'ai pas dis que j'étais, ont) seul savent et ont initié, une fois l'Ukraine , la transnistrie et les pays baltes acquis, si ils ne peuvent avoir le choix, la dipolairisation du monde.Si la bipolarité relève d'un paradoxe, philosophique et idéologique, le dipolarité relèverait donc ainsi d'un choc électrique , dû aux électrons, libres, de par son opposition Nord/Sud.Il ne nous échappe pas que cette force électron magnétique génère l'ozone à qui nous devons le di-oxygène, source de vie sur Terre. Ce ne sera plus un problème. Les brevets.
La dipolarite engendrera une dynamique unilatérale, comme l'électricité qui attire les protons vers les électrons.Le sud sera-t-il prêt? La l'accompagnement énergétique promis cet hiver par la présidence française de l'Europe sera elle aux niveau ? Le fier peuple du Nord sera prêt, lui qui y est déjà(base, énergie et logistique, et des petites recherches que Hitler n'aurais pas renié) et l'occupe au point de créer un incident pour passer sous silence son vrai bit : l'annexion de la mer de Barents, écologiquement polluée (chimie, nucléaire) en laissant les autres membres du conseil artique à cesser tout contact lui laissant lesnmains libre au moment de la présidence russe., à capter, avec le pragmatisme qui lui est propre, à happer le reste du monde.
Au contraire de la convergence vers Moscou , centralisé, on assisterait à l'exvergence du pôle Nord, centre du Monde : Les 2 continents nonnpas l'un et l'autre du monde, mais jamais été aussi proches.La logistique est prête, la propagande vite vue et resterait, cela m'échappe encore, la possibilité de rendre cet environnement hostile en un Eldorado.
C'est cela qui fera tiquer les pays à haute valeur morale et culturelle ajoutée.
Sans Poutine, avec des oligarques pas aussi soucieux de passer une trace dans l'histoire, c'est un projet à abandonner (sauf le gaz, que la Chine a fait desnpieds et des mains, demandant une place au conseil Afrique au nom de sa proximité dans la géographie et l'histoire-et finalement obtenue à titre d'observateur).
La mer de Barents, actuellement dois présidence russe risquerait bien dans un avenir proche est un enjeu stratégique majeur mondial.l'Ukrainen était prévisible et les médias tombent des nues.Femen, pour nous les Homs.C'est urgence bien sûr, mais les exercices de manœuvres russes, au fur et à mesure de l'augmentation de son arsenal n militaire semble de plis en plis gourmand.
Les soutiens russes internationaux(je parle pas d'États voyoux et ânon reconnus à l'ONU mais de nos politiques : un Z dont se revendiquent les forces d'occupations, et d'autres ) feraient mieux de ne pas voir le contre-pouvoir populiste face à l'établissement français, mais donc la capacité de nuisance de l'ogre qui, à l'ouest de ses frontières voit le diable, au sud udes colonies et au sud
finalement pas d'équivalent).