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Oui tu as raison. Après, pour moi, toute personnalité politique a forcement un petit penchant à l'autoritarisme, impossible autrement. mais oui il a des nuances de dictateur.

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"Rien n'est ni bon, ni mauvais, mais c'est notre esprit qui le rends ainsi" William Shakespear dans Hamlet.

Alors c'est peut-être la définition de dictateur, le sujet.

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Tel est mon bon plaisir.

LE sujet je sais pas, mais oui chacun sa sensibilité sur ce qui fait plus ou moins un dictateur. De toute façon, on prive les gens du sens des mots (par "on" j'entends le système capitaliste). Par exemple, il n'y a qu'a voir à quel point les mots "démocratie", "liberté" ou "anarchie" sont galvaudé dans le sens qui arrange le système. Mais comme "dictateur" chacun sa sensibilité pour en définir les contours.

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"Rien n'est ni bon, ni mauvais, mais c'est notre esprit qui le rends ainsi" William Shakespear dans Hamlet.

Le contour du dictateur est défini par le fait que ton individualité n'en a pas.
Le dictateur est en toi.
Tu ne seras jamais en lui.
Il y a 39 ans je me serais jamais vu ou cru interdire des choses , me faire obéir.
Je me dois de le faire.J'explique toujours pourquoi., cependant, par l'acceptation de l'ordre par le libre arbitre, d'un enfant.Il comprend son intérêt..
Ça s'appelle grandir, et j'observe un fossé entre les points de vues d'adultes parents ou non.Pendus à un prêt ou non.Ayant une automobile ou non.
Un monde.Varié, en France je m'en réjouis.Tout comme je me réjouis de -réactiions parfois saines de mes stimulus Pavloviens=mes âneries anonées. - mon bashing, mais pas de celles malsaines, car s'inscrivant dans un bashing de "clivage clanique", qui aliène l'individu à une société.
Tant mieux.

C'est pas faux

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"Rien n'est ni bon, ni mauvais, mais c'est notre esprit qui le rends ainsi" William Shakespear dans Hamlet.

J'aimerais bien être celui qui met des millions lu des milliards d'individus au fond d'eux différents et aux vécus différents d'accords.....
Un bazar insoluble.
Faire qu'eux pour le plus grand nombre pourrait être une solution.
Par exemple un second tour de présidentielle, qu'on voit aux 1/5 de mécontents, 2/5 pas mécontents mais pas non plus satisfaits, met déjà du monde dans les rues, alors le terrible 50,5% qui gagne et laisse 49,5% (votants) sur le carreau.
C'est juste , à l'arrondissement grossier la moitié du pays qui est en désaccord.
Bien, mais bon Au mieux pour le plus grand nombre....
Et si les Présidentielles se joueraient en 1 tour? ça éviterait les négociations et tractations d'alliances, forcément pas au profit des électeurs , moutons dans ce cas de reports de voix, mais au profit des partis et des partisans, sous la table balayant les miettes.

Lol, non mais je suis gentil moi (a defaut d'etre super, ca j'en sais rien), et Macron n'est pas du tout ma tasse de thé non plus.

C'est juste la superposition des deux phrases que je trouvais rigolote (sans parler que j'ai un doute sur la façon dont tu épelles le nom de famille de William). Après il y a peut etre un sens profond a son propos qui m'echappe, pas de souci avec ca.

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- Paris Drakkars - Malherbe

Jamais lu , en entier, une seule de ses œuvres mais on le connaît par des ressorts sociaux et psychologiques entre l'amour, le pouvoir , Shakespeare devait pointer, et ainsi souligner la subjectivité, l'interprétation du même fait, de façons aussi différentes que d'individus, dans l'idéal de mauvaises foi et qui est une source de drames potentiellement inépuisable et tendant vers l'infini.
Cette citation démonte , schématise en vue d'en développée les ressorts tel un horloger de la mécanique précise d'un drame Shakespearien, un vrai rouleau compresseur.
L'incompréhension. La manque d'empathie. Les intérêts non divisibles et sources de conflits.
Même avec toute la meilleure objectivité du monde l'opposition est parfois inévitable.
Avec un peu de mauvaise foi, de distorsions , on peut maintenir la paix.Au prix d'une vérité assassinée. Ça finit quand même par péter.
Je soupçonne ce porteur du nom du premier Duc de Normandie et roi dAngleterre d'avoir été un fin analyste de l'âme, de la psychologie et des conflits internes (to be, or not to be?) et externe (je miserais colistier sur un petit assassinat dans ses pièces ), mêlant ainsi une fine expertise politique et des jeux de l'amour je suppose aussi.
En bref de Racine , Corneille, Sophocle Giraudoux, Molière, Tchekhov ont fait du théâtre la scène des inter relations entre les conflits des différentes psychés. Quand on rajoute que leur perception, par amour -qui rend aveugle- par soif de pouvoir-qui prive d'amour-, on a un cocktail molotov, qui a fait sa renommée, et celle des autres dramaturges , qui dans des styles bien à eux (encore la subjectivité) ont recyclé finalement toujours les mêmes ressorts (le drame objectif, inextinguible et lours de conséquence).
Comme un blues, ou une valse, même structure, mais un peu différent à chaque fois.

Résumé contre-céphalée:
Daf Afghan pour Para c'est Tamoul:

William Shakespeare avait identifié la dualité objectif/subjectif comme ficelle aussi variée que l'âme humaine lui permettait d'écrire des drames théâtraux, textuels, qui ont assez fait sa renommée pour qu'on l'évoque ce soir.Et dont les ressorts doivent être solides.

Arrêtes, sérieux.

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- Paris Drakkars - Malherbe

Ah c'est toi qui appelle France Bleu !

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http://hion.skyblog.com

Nan, le mec du standard me refuse parce que Je suis pas assez bourré.

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Tel est mon bon plaisir.

Bien évidement, jamais dis le contraire.

La liberté d'expression c'est bien, mais ça fait pas tout. et c'est loin d'être La liberté fondamentale comme on nous le montre souvent. La liberté de pouvoir se nourrir, de pouvoir se faire une maison, de faire des choix pour ses enfants me semble par exemple plus important. Pas sur que la france soit le pays ou on est le plus libre la dessus, je pense même qu'il est dans les pires.

On détruit un paquet de libertés individuelles sous couvert de protection collective.

Mais encore faut il vouloir prendre ces libertés pour voir qu'elles n'existent plus.

La république française issue de la révolution découle aussi, non seulement de principes démocratiques, mais aussi au droit à chacun d'avoir sa terre et d'en vivre.
Liberté de pensée, mais éparpilleme des terres.
l'exile a raison, un droit fondamental humain civilisé (pas au sens techno mais au sens humain) est d'être, et de vivre de son produit de travail, un toit, un foyer, un jardin pour la soupe.
Ces valeurs rabâchées, sans évolution sont très conservatrices, dictatures et pays pauvres dans lzures oeuvres paternalistes, mais dans nos sociétés démocratiques et techno logique ment avancées elles devraient être acquise, et garanties selon les mêmes arguments conservateurs, face aux autres valeurs.
Le choix. Juste le choix Sans emmerder son voisin..
Il me semble que la démocratie repose sur cette valeur.

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Mais ta gueuulleee Basile
!

Tout ceux qui n'avait pas encore choppé le covid se retrouve positif depuis 2 semaines dans mon entourage, c'est fou.

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If you can't have it you make hell.