Un autre son de cloche pour faire contrepoids au discours dominant, 1089 scientifiques qui déclarent
Il n'y a pas d'urgence climatiqueChacun qui a l'ambition de penser librement et d'exercer son esprit critique pourra se faire son opinion. Mon opinion n'est pas faite mais je me méfie de toute propagande, surtout en voyant que les anciens communistes de toutes obédiances se sont reconvertis dans l'écologie, se la sont accaparée (je suis écolo depuis trés longtemps), sont en train d'en faire une doctrine antihumaniste (l'homme cause de tous les maux), antidémocratique (planification étatique et gouvernement mondial non élu) et apocalyptique (rappelant les prophéties marxistes de la fin du capitalisme). Je crains que l'écologie ne soit instrumentalisée à la fois par les postcommunistes et par les capitalistes.
A la question "comment expliquez vous l'écart entre la petitesse d'un phénomène (0,4 degrés celcius d'augmentation de la témpérature depuis 1945) et l'énormité de la façon dont il est présenté au public ?" François Gervais répond : "Pour un esprit rationnel c'est en effet incompréhensible. Sauf si on met en regard le chiffrage de la banque mondiale de 89 000 milliards de dollars à lever d'ici 2030 pour la "
finance climatique". Ce montant pharaonique pose au moins deux questions : qui tient à profiter de cette formidable manne ? Et qui paierait ?"
Près de 100 000 milliards de dollars, en effet, quand il y a de pareilles sommes en jeu, il ne faut pas être naïf, il y a des intérêts qui se manifestent et qui produisent du discours, voire qui financent ceux qui produisent un discours qui peut se revendiquer d'un label scientifique. Le fonctionnement du GIEC par exemple, pour ce que j'en ai lu, ça ne semble pas triste. Peut-être que la forte variabliité naturelle du climat terrestre (sous nos lattitudes nous sommes passés du sahara à la banquise à plusieurs reprises) est une aubaine pour exploiter les peurs de la population.
Il n’y a pas d’urgence climatique
Ce message urgent a été préparé par un réseau mondial de 900 scientifiques et professionnels. Les sciences du climat doivent être moins politisées, tandis que les politiques climatiques doivent s’inspirer davantage de la science. Les scientifiques doivent tenir clairement compte des incertitudes et des exagérations dans leurs prédictions de réchauffement climatique, tandis que les dirigeants politiques devraient évaluer de façon dépassionnée les coûts réels ainsi que les bénéfices projetés de leurs mesures.
Des facteurs naturels aussi bien qu’anthropiques causent le réchauffement
Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre change depuis que la planète existe, avec des phases naturelles chaudes et froides. Le Petit Âge glaciaire n’ayant pris fin que vers 1850, il n’est pas surprenant que nous connaissions à présent une période de réchauffement.
Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
Le monde s’est réchauffé à une vitesse moitié moindre que celle que le GIEC avait prévu en se fondant sur la modélisation du forçage anthropique et de l’équilibre radiatif. Cela nous indique que nous sommes encore loin de comprendre le changement climatique.
Les politiques climatiques s’appuient sur des modèles inadéquats
Les modèles présentent de nombreuses lacunes et ne constituent pas, même de loin, des outils valables pour une politique mondiale. Ils exagèrent l’influence des gaz à effet de serre tels que le CO2. De plus, ils ignorent le caractère positif d’une atmosphère enrichie en CO2.
Le CO2 est la nourriture des plantes, le fondement de toute vie sur Terre
Le CO2 n’est pas un polluant, il est en réalité essentiel à la vie sur Terre. La photosynthèse est un immense bienfait. Davantage de CO2 est un bénéfice net pour la nature, car celui-ci verdit la Terre. Le CO2 additionnel dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale à l’échelle globale. Il a également un effet positif sur l’agriculture, dont les rendements augmentent dans le monde entier.
Le réchauffement climatique n’a pas accru les catastrophes naturelles
Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifierait les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ni qu’il les rendrait plus fréquentes. Il existe en revanche des preuves abondantes que les mesures de limitation des émissions de CO2 sont à la fois néfastes et coûteuses.
Les politiques climatiques doivent tenir compte des réalités scientifiques et économiques
Il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc aucun fondement à la panique ou l’alarmisme. Nous nous opposons fermement aux projets à la fois néfastes et irréalistes qui viseraient à réduire à zéro les émissions de CO2 en 2050. À l’avenir, si la science crée de nouvelles connaissances et la technologie crée de nouvelles capacités, et elles le feront certainement, nous aurons amplement le temps d’actualiser nos politiques. L’objectif d’une politique globale doit être celui de la prospérité pour tous, grâce à une énergie fiable et bon marché. Ce n’est que dans une société prospère qu’hommes et femmes ont accès à une bonne instruction, que les taux de naissances sont modérés et que les gens prennent soin de leur environnement.