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Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....

Décédée le 5 août, on l'a zappée non ? C'est pas de la mega-star mais en terme de souvenirs

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Les jaquettes de babo

ils sont presque tous morts à part Wily peut etre ?

Parmi têtes d'affiche, oui.

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Les jaquettes de babo

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La Normandie est rouge et rouge !

Oh non, pas encore le Commandant Cousteau !!!

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L'atome.

Paul Bedel, "Paul dans sa vie".
Passant récemment dans le Cotentin, nous nous demandions s'il était toujours en vie et comment il allait.

L'année dernière, je suis passé avec mes parents auprès de son jardin. Il était tout en friches, ça ne présageait rien de bon.

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La Normandie est rouge et rouge !

En effet, ce n'était pas son genre de laisser son jardin à l'abandon. Merci à Rémi Mauger de nous avoir faire connaitre cette personne estimable.

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Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....

Tu as tout faux. Paul Bedel était loin d'être un exilé dans son Cotentin et je préfère ne pas comprendre le sens de ta phrase Zemmourienne.

Oh non, pas Christopher Lloyd

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Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....

Ta phrase laisse tout de même penser que si on devient "étranger dans son propre pays" c'est que d'autres prennent la place et "qu'on n'est plus chez nous". Il me semble malgré tout que, à l'image de "l'homme qui plantait des arbres" de Giono, Paul Bedel avait trouvé une forme de bonheur en vivant sa vie comme il le désirait, aux côtés de ses soeurs. Evidemment, Rémi Mauger montre le bon côté de cette vie sans descendance et nul se sait quels regrets il avait, ou pas, de ne pas avoir fondé une famille.

Sur le sujet je vous invite à lire ce qu’en pensait Jean Pierre Le Goff dans la : France d’hier. Quand il a vu le film, il s’est rappelé que la vie de Paul est tout ce qu’il avait voulu fuir en allant faire des études à Caen plutôt que de rester dans le cotentin.
La nostalgie, c’est l’oubli.

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